Mon Loup (Terminée) EN CORRECTION

Chapitre 35 : Prends-moi.

Liam était assis dans la chambre, observant ses mains couvertes de veines, silencieusement. Sortant de la douche, une unique serviette blanche autour de la taille. J'observe sa peau tatouée, ses muscles parfaits, et son regard sombre.  Je me demande s'il pense encore à cette enfant. 

- Liam...

Il se relève et s'avance vers moi. Il ne porte qu'un jogging gris qui laisse dépasser le haut de son boxer. 

- Tu sais que je t'aime ? 

- Oui, je sais.

Un sourire sombre se dessine sur ses lèvres. 

- Bien, parce que pour les trente prochaines minutes, tu vas avoir l'impression que ce n'est pas le cas. 

Je n'ai même pas le temps de rétorquer quoi que ce soit qu'il me jette sur le lit. Je reste bouche bée, devant lui, et son attitude. Je crois que j'avais presque oublié, à quel point Liam pouvait être... dominant, et à quel point je pouvais aimé ça. 

- Je vais être plutôt mauvais, il continue, juste assez pour te faire hurler mon nom. 

Ses pupilles rouges observent chaque parcelle de mon corps. Il s'avance sur le lit et plaque sa main sur ma bouche, son torse écrasant le mien. Une certaine peur, et une terrible excitation qui saisit mes cuisses. Il retire son jogging puis son boxer dévoilant son sexe qui pend alors entre mes cuisses, posé contre l'entrée de mon vagin. Il saisis mes seins entre mains et les malaxe avec une agressivité séduisante. Il ne me laisse même pas le temps de respirer et enfonce son phallus en moi d'un coup violent qui me fait hurler. 

- Est-ce que ce n'est pas ce que tu attendais depuis si longtemps, que je traite comme ça, Princesse. 

J'hôche la tête avec un entrain trahissant mon envie de lui et le plaisir que ses va-et-vient me procurent. Mon corps d'ailleurs trahit mon émoi, mes cuisses trempées comme rarement facilitent son entrée. Mon cerveau ne pense plus qu'à une chose. . Sa langue, douce et chaude, danse avec la mienne, m'empêchant de gémir trop bruyamment. 

    Je le regarde, cet homme si beau et viril, et ses mouvements en moi, ses baisers me brûlent et mes ongles s'enfoncent dans mon dos, tentant de tenir, de contrôler ce sentiment dévorant qui monte en moi. La douleur a disparu, le plaisir me submerge. Il se retire finalement et se pose devant moi, son sexe au-dessus de mon visage. 

 Je sais ce qu'il veut de moi, alors j'ouvre la bouche en grand pendant qu'il se branle au-dessus mon visage. Ça dure quelques instants avant que son corps se raidisse, et que des longs jets de liquide blanc aspergent mon palais et mes joues. Il pousse un long râle rauque et reste prostré un instant, le liquide blanc coule sur mon visage et finit entre mes lèvres, ce qui s'échappe, il le prend entre ses doigts et le ramène entre ses lèvres. 

Ayant fini, je m'apprête à me relever pour retourner sous la douche, mais il m'attrape et me remet dans la même position. Son pénis est toujours aussi droit, prêt à repartir malgré l'orgasme. 

- Tu as oublié que j'étais un loup, Princesse, je suis bien plus endurant qu'un simple humain. 

Il ne me laisse pas rétorquer et pose ses doigts contre ma gorge, avant de rentrer en moi à nouveau. 

Il fait chaud, vraiment chaud, et nos corps brûlants se recouvrent de sueur. Mes mains glissent sur son dos maintenant trempé et s'arrêtent jusqu'à ses fesses rondes que je serre entre mes doigts et alors que je sens l'orgasme venir, il se retire avec dédain et m'observe. Je tente de le saisir mais il m'échappe avant de se lever. 

- Qu'est-ce que tu fais, je demande d'un ton suppliant tandis que je tente de le rattraper, mais il m'échappe. 

Il sors alors du lit, le sexe encore dressé et vient s'asseoir sur la chaise en face de son bureau qu'il avait retourné pour faire face au lit. 

- Si tu veux jouir, viens t'asseoir sur moi. 

Sa voix grave m'attirait encore plus. Je me levais alors du lit et m'approchais de lui. Arrivé à sa hauteur, mes jambes près de ses cuisses, je pris son sexe entre mes doigts un peu honteux, sans vraiment savoir pourquoi, pour le mettre dans la bonne position et me laissa tomber, de manière lente et hésitante. Ma bouche s'ouvre à chaque centimètre, libérant un petit cri. 

- Trop long putain, il lâche vulgairement. Il pose alors ses deux mains sur le haut de mes cuisses et y appuient avec force pour faire rentrer tout son sexe en moi. Je manque de tomber, mais ses bras puissants s'enroulent autour de moi et me rattrapent miraculeusement, et je retombe, les mains sur son torse. Mes bras enroulés autour de ses épaules, je relève les fesses et entreprends de descendre et de remonter, de longs va et vient sous mon contrôle. L'orgasme arrive finalement, les sensations emplissent tout mon corps, mes cuisses tremblent alors que la cyrprine, signe de mon désir sexuel envers lui, coulent le long de mon vagin et sur ses cuisses jusqu'au sol.  Ses mots se sont changés en grognements, des expirations comme celles d'un fauve tandis que les miens sont similaires au cri d'un petit animal se faisant égorger. 

Je halète sans pouvoir me contrôler, alors qu'il me soulève brutalement et me plaque contre le mur, me maintenant les bras posés contre ses cuisses. Son souffle brûlant contre la peau de mon cou me fait perdre la tête alors qu'il se retire à nouveau. Son visage est rouge et la sueur perle sur son front. Il replonge sa tête dans mon cou pour lé décoré de suçon sauvage, son souffle haletant accélère et finalement, il se retire, se retenant de jouir encore un peu. Mais je décide de ne pas le laisser faire. Je m'agenouille rapidement et prends son sexe dans ma bouche, le surprenant,  entreprenant des va-et viens qui le font cracher en moi dans un dernier râle bestial. 

- Putain, il murmure, j'aurais pu tenir un peu plus, et repartir pour un round. 

Un léger sourire se dessine sur mes lèvres. Il prends son sexe entre ses doigts, sexe encore dur et droit. Il était énorme, large et parcouru de veines. Son gland était rouge et gonflé, l'extrémité luisante de liquide séminal,

- Oh, il continua en feignant la surprise, on dirait bien que je peux encore continuer.