Je m'approche de mon professeur principal, Mr. Cardigan. Les derniers élèves sortent et nous laissent seul. Le dernier ferme la porte de notre classe, il n'a pas dût voir qu'il restait encore le prof et moi-même. Je discute avec lui à propos de mon orientation, et lui explique que je souhaite rester dans cette école pour mes prochaines années, et faire une première S (Scientifique) l'année prochaine. Sachant que j'hésitais auparavant, je lui rend la feuille signée. Je lui dis également du fait que je ne sache pas vraiment ce que je veuille faire après le lycée, je n'ai aucune idée de métiers pour l'instant. Même si j'ai fait l'année dernière un stage chez une avocate, et que ce stage m'avait vraiment plût, peut-être envisagerais-je des études de droit. Mais pour le moment, je ne sais pas si c'est vraiment ce que je souhaite alors j'essaye de ne pas trop le dire.
- Il n'y a pas de problème, me répond-t-il gentiment, tu as encore un peu de temps mais c'est vrai qu'il va falloir commencer à y penser.
Il met sa main droite sur mon épaule gauche. J'ai tout d'abord un geste de recul, mais ne retire pas sa main même si je trouve que c'est un geste complètement déplacé. Il me rend tout à coup nerveuse et me fait presque peur. En un seul coup, son regard change, et deviens très étrange, comme s'il venait d'avoir une idée spéciale. Il me fait alors très peur, et je commence à m'affoler. Il me sourit. Pas un sourire aimable. Un sourire qui en dit long sur ses pensées. Je panique.
- Ça ne te dérange de rester ici un peu ? me demande-t-il.
Ma respiration s'accélère. Mon cœur bât tellement vite dans ma poitrine qu'il menace de s'en échapper. Je lui dit, un peu trop rapidement pour que cela paraisse normal.
- Pourquoi ? Mes amies m'attendent en bas.
- Elles peuvent bien t'attendre encore un peu plus, ça ne va pas prendre longtemps.
Je m'affole totalement là, il a comme un regard et une voix pervers. Je trouve ça dingue et refoule cette idée de ma tête sans la refouler complètement. Je n'ai aucune envie de rester dans cette pièce où l'ambiance est très lourde. Je dois avoir une tête étrange car il me dit :
- Reste tranquille, laisse-toi faire et tout ira très bien.
Mes yeux balayent la salle de classe, totalement vide, et se posent sur la porte, fermée. Je reste plantée là sans rien dire et l'idée que j'avais essayée de faire partir s'installe en moi comme fixée à jamais dans ma tête. Mon cœur fait un bon dans ma poitrine. Je recule d'un pas en repoussant sa main qui se trouvait sur mon épaule. Il se rapproche d'un grand pas, réduisant considérablement l'espace qui nous sépare. On est tellement proche que je sens sur mon front son souffle. Il me domine de pratiquement une tête et est assez costaud. J'entends et sens son souffle rythmé alors que le mien ne cesse d'accélérer et est irrégulier. Je ne sais pas ce qu'il va se produire, ce qu'il attend de moi, ou même ce qu'il veut faire de moi. J'ai peur et suis tétanisée. Il me prend alors par la taille très violemment. Je me débats autant que mes tristes muscles me le permettent, mais il a trop de force. Il me tient tellement fort que je ne peux plus bouger ! Je lui lance, paniquée :
- Qu'est-ce que vous faite ?
- Reste tranquille je te dis, me répond-t-il sèchement.
Il descend sa main droite de plus en plus jusqu'à me toucher les fesses. Non, il ne les touche pas, mais les tripote ! Je me débats de toutes mes forces et cris. Ce n'est pas possible ce genre de trucs. Ça n'arrive pas normalement. Pourquoi moi ? Je le pousse, crie, et crie encore. Il n'y a personne, évidemment, tout le monde en en pause. Mais je crie tout de même à pleins poumons. Il me prend par les bras et me secoues tout en me disant très fermement de la fermer. Je ne sais pas quoi faire, quoi dire. Je me tais. Il me tient encore plus durement et déboutonne le bouton de mon jean et descend la fermeture éclaire. Je me débat de nouveau et crie encore plus fort. Je mets toutes mes forces à le repousser, sans succès.
- Non, s'il vous plaît. Je vous en supplie. Arrêtez, le supplie-je
Il me regarde et descend mon pantalon à mes chevilles. Il n'a plus ses mains pour me retenir. J'arrive à m'extirper de son emprise pour faire quelques mètres, mais il me rattrape. J'hurle à présent. Il va me prendre ma virginité. C'est peut-être puérile comme pensée mais je ne peux pas m'empêcher de penser que je vais faire ma première fois en me faisant violer. Je ne l'aurais jamais imaginé comme cela. Je commence à avoir les larmes aux yeux.
- Arrêtez ! S'il vous plaît, je vous en supplie, arrêtez, dis- je en m'effondrant en larmes.
- Tais-toi un peu.
Il me soulève et me fait asseoir sur la table la plus proche. Je le tape sans relâche, mais c'est comme si je ne faisais rien, c'est à peine s'il sourcille. Il ne me tient plus qu'à une main, mais je n'arrive pas à m'échapper de son emprise, je suis prisonnière.
- A L'AIIIIDE!!!!! criais-je. AIDEZ-MOIIII
Aucune réponse, aucun bruit, il n'y a jamais personne quand on en a besoin.
Je suis seule, avec ce pédophile. Il enlève son jean, et son caleçon. Non ce n'est pas possible, ce doit être un cauchemar, il faut que je me réveille !
- NOOON, je vous en supplie ARETEZ ! Je vous en supplie.
Je pleure. Il reste imperturbable à mes pleurs et à mes cris. Il doit me lâcher un instant pour repousser l'endroit de ma culotte qui cache ce qui l'interresse, seulement quelques centimètres l'empêche de me faire perdre ma virginité. Plus que quelques secondes.
- ARRETEZ, je vous en supplie ARRETEZ !!!
J'ouvre alors les yeux, morte de peur, encore en train de crier. Seul le visage de Rayane me fait revenir à la réalité.
Voici un chapitre différent mais utile pour la suite.
J'espère que vous aimez :) Dites-moi ce que vous en pensez svp et merci de voter si vous aimez ;)
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L'impossible Infini ∞
Teen FictionJe m'appelle Alice et j'ai 16 ans. Je suis ordinaire ; je n'ai rien d'exceptionnel. Je vais passer des vacances au Canada surprenantes, tout comme ce qui va en suivre. Qui aurait cru qu'un magnifique garçon aux yeux d'un bleu ensorcelant mais au car...