Chapitre 58

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Pdv t/p

L'état de santé de Katsuki s'était dégradée à vitesse grand V ces deux dernières semaines, son sommeil était extrêmement perturbé, il se reposait à peine à cause des douleurs intense qui le lançais dans le bas dos à cause de ses reins. Il était plein de sueurs et semblait tiraillé dans tout les sens par son corps. Mais avant qu'on se couche il semblait aller mieux, et si ça m'avait apaisé sur le coup...

Je l'étais beaucoup moins quand j'ai vu sa respiration être extrêmement faible et difficile en plein milieu de la nuit lors d'un réveil inopiné.

J'ai eus beau le secouer dans tout les sens, il n'y avait rien à faire et semblait complètement dans les vappes.

-Katsuki répond moi !!

J'allume les lumières des chevets autour du lit, voyant son teins d'une pâleur encore jamais vue.

Mon cœur battait la chamade. Que devais je faire ?

Les mains tremblantes, j'attrape mon téléphone et trouve le numéro d'Eiji. Je savais qu'il laissait toujours son téléphone avec le son depuis qu'il sait pour la maladie de Katsuki, il m'a toujours dit que si j'avais besoins je pouvais...?

J'attends plusieurs sonnerie, me réveillant tant bien que mal.

Puis j'entends enfin le bruit incessant du bip téléphonique s'arrêter pour entendre la voix sortie du sommeil de mon ami.

-Eiji j'ai besoins de toi ..!!!

Eiji: t/p..? Que se passe-t-il pour que tu m'appelle à 3h45?

-C'est Katsuki Eiji ... j-je.. je sais pas quoi faire aide moi ...

Je fonds en larme, me disant que ce qui s'était passé la veille sur l'apaisement de son corps était sûrement ce dont tout le monde parle pour les grands malades... le relâchement du corps avant la mort...

J'entends les froissements des draps de l'autre côté du combiné, puis un bruit de ceinture.

Eiji: explique moi ce qu'il se passe j'arrive.

-Il respire presque plus Eiji... je...

Eiji: tu as appelé les secours ...?

-Non ..

Eiji: je vais les appeler d'accord ? Je suis là dans dix minutes. Respire calmement ok ? On va gérer il est fort.

-je sais plus... il est à bout... hier il avait l'air calme je ... si c'était la fin ..?

Eiji: je t'interdis de dire ca. Ouvre juste la porte d'accord ? J'arrive.

-Merci ..

Il raccroche ensuite et je regarde à nouveau mon copain, le couvrant d'un draps. Je sais pas s'il a froid ou chaud alors au vu de l'automne autant le couvrir...

Je me lève ensuite et me dépêche d'ouvrir en m'habillant d'un jeans et d'un sweat à Katsuki qui trainait. Je reste près de lui en tentant de le réveiller, en vain.

Eiji me rejoins une dizaine de minutes plus tard comme il l'avait énoncé au téléphone, le souffle court preuve de son chemin à la course.

Eiii: t/p..!

Il me prend doucement dans ses bras rassurant en regardant tristement son meilleur ami.

Eiji: il y avait les gyrophares des ambulances au coin de la rue au feu rouge, ils vont très vite arriver t'en fais pas...

Aux battements de nos cœurs Où les histoires vivent. Découvrez maintenant