Chapter 48 : D-1

48 1 0
                                    


•••

Pdv extérieur :

Une semaine était passé. Avec les cours, les adolescents n'avaient pas eu le temps de se préparer pour le mariage à venir. Il était à présent vendredi soir. Ils étaient en train de débattre sur quoi faire.

Souta : Mais pourquoi vous voulez aller au centre commercial ?! J'ai déjà tout ce qu'il faut moi !

Akane : Oui ben pas nous !

Souta : Dans ce cas allez-y sans moi ! Pas la peine de me traîner là-bas !

Haruki : Comme tu veux.

Souta : Enfin quelqu'un de logique.

Akane : Bon, qui nous emmène ?

Emily : Euh... je peux conduire mais j'aurais du mal. On conduit de quel côté déjà ?

Haruki : Gauche.

Emily : Déjà que je suis dangereuse au volant, je préfère ne pas prendre de risques.

Haruki : Je peux conduire si vous voulez.

Souta et Yoko : Hein ?! S'exclament-ils choqués.

Akane : On peut passer le permis à 16 ans aux states.

Yoko : Ah oui, c'est vrai !

Haruki : On a le droit à la conduite accompagnée !

Akane : Bon, bah let's go alors !

Le petit groupe s'en alla. Souta se retrouvait à présent tout seul avec ses parents.

Souta : Bon... Qu'est-ce que je fais moi ? Se demande-t-il à lui-même en s'étirant.

Il tourna ensuite son regard vers ses parents.

Shota : Quoi ? C'est pas nous qui allons te dire se que tu vas faire.

Souta : Ah ! Je sais c'est bon ! Je vais anticiper avec grand père. Ça fait un bail qu'on s'est pas parlé. Il va me gueuler dessus, c'est sûr. Il va me mettre une droite aussi. Enfin bref, je vais l'appeler quoi ! Vous êtes prêts pour demain ?

Shota : Plus ou moins oui.

Souta : Allez ! Ai plus d'entrain ! C'est ton mariage aussi hein ! Sois plus heureux olala !

Shota : Mh.

Souta : Pauvre Hizashi, ça doit pas être facile tous les jours !

Hizashi : Mais non, ne dis pas ça ! Ton père est une personne incroyable. Je suis très heureux de devenir son mari !

Souta : Ah ça, j'en doute pas !

Shota : Pourquoi tu dis ça ?

Souta : Bah parce que ça se voit que vous vous aimez vraiment. Tu cèdes quasiment à tout ses « caprices » comme t'aimes si bien dire. Je suis sûr que si c'était pas lui ton mari, t'aurait jamais accepté de faire de fête, ni de te marier en fait.

Les Aizawa-YamadaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant