Après le départ de son collègue et ami (Hizashi Yamada) aux États-Unis, Aizawa Shota se retrouvait tout seul. Enfin, façon de parler puisque celui-ci se retrouvait à présent en pleur, devant le corps inerte de sa femme et avec des jumelles dans ses...
Le calme régnait pour une fois dans la maison des Aizawa-Yamada. Chaque personne avait une occupation. Les deux garçons, Souta et Haruki, avait pris comme habitude d'aller dans la chambre de l'un ou l'autre pour lire et se « relaxer ». Les trois autres filles elles faisaient des choses complètement opposées, Akane écoutait de la musique à en saigner des oreilles et jouait à la switch avec Yui dans le salon en attendant le repas du midi qu'Hizashi était en train de préparer. Yoko, elle et bien, elle ne faisait rien. C'est d'ailleurs ce qui attira l'attention de son père.
Shota : Yoko ?
Pas de réponse de la part de la jeune fille.
Shota : Yoko ? Est-ce que ça va ? S'inquiète-t-il.
Cette fois-ci, elle réagit.
Yoko : Hein ?
Shota : À quoi tu penses depuis quelques jours ? T'as l'air absente.
Yoko : Ri-
Shota : Ne me ment pas. La coupe-t-il.
Yoko : Je me suis disputée avec Hitoshi, mais ce n'est rien de grave.
Shota : Si ce n'était pas grave, tu ne t'en préoccuperais pas.
Yoko : Mhh.
Shota : Qu'est-ce qu'il s'est passé ?
Yoko : Il avait plein de moyens pour réussir et il à choisi d'être égoïste. Il m'a déçue... pendant la course je comprends, mais pas quand on est en travail d'équipe ! Ça m'exaspère.
Shota : Je vois ce que tu veux dire mais essaye de te mettre à sa place. Il ne peut pas voir les choses autrement puisqu'on ne fait que de se méfier de lui.
Yoko : Je vais y réfléchir...
Dans une chambre à l'étage tout était calme. Deux garçons étaient en train de s'embrasser langoureusement sur un lit, dont l'un était un noiraud et l'autre un blond vénitien. Le noiraud prit l'initiative de toucher le blond -à des endroits sensibles- qui lui, encrait ses mains dans la longue chevelure du noiraud.
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Hizashi : À table !
Les deux jeunes hommes étant aspirés par leur désirs sexuels n'avaient pas entendu l'appel de l'adulte.
