Après le départ de son collègue et ami (Hizashi Yamada) aux États-Unis, Aizawa Shota se retrouvait tout seul. Enfin, façon de parler puisque celui-ci se retrouvait à présent en pleur, devant le corps inerte de sa femme et avec des jumelles dans ses...
C'est seulement dans la soirée du dimanche que Souta rentra chez lui.
Hizashi : Alors, tu as passé un bon week-end ?
Souta : Ouais, on peut pas dire qu'il ait été reposant, je suis claqué !
Hizashi : Ah bon ? Qu'est-ce que vous avez fait de si épuisant ?
Souta : Euh... Dans un premier temps on est sortis et en rentrant on a joué aux jeux vidéo puis, on s'est maté des films jusqu'à tard dans la nuit. Et aujourd'hui on est sortis à la fête foraine. Explique-t-il en mentant sur quelques activités.
Hizashi : C'est sympa, vous vous êtes amusés !
Souta : Ouais.
Hizashi : Si tu cherches Shota, il est dans notre chambre.
Souta : Ah merci.
Il se rendit à l'étage pour retrouver son père. Il toqua à la porte avant de rentrer. Le plus vieux tourna sa tête vers l'objet de sa distraction.
Souta : Yo.
Shota : Ah, c'est toi ? Je ne t'ai pas entendu rentrer.
Souta : Mh. Tiens. Dit-il en lui tendant un petit emballage en papier. Y'a un gâteau qui t'attend dans le frigo aussi. Joyeux anniversaire, avec un jour de retard certes, mais joyeux anniversaire quand même.
L'adulte ouvrit son cadeau. C'était un porte-clés.
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Shota : Encore un porte-clés ?
Souta : On t'en a déjà offert un ?
En guise de réponse, son père lui donna sa clé de voiture où se trouvait en effet le porte-clés que Yui lui avait offert la veille.
Souta : Ah mince... bon, après, j'ai choisi celui-là parce que je sais qu'il te fera penser à moi en toute circonstance. J'aurais littéralement pu me ramener juste avec un gâteau et te sortir cette phrase mais ça aurait fait trop radin.
Shota : En tout cas, merci quand même. Je le mettrais sur les clés de la maison.
Souta : Ok. Mais tu fais quoi là ? Demande-t-il en voyant l'ordinateur de son père allumé sur plusieurs documents.
