Avertissement : bon vous avez compris au bout d'un moment je pense...
Scènes non contractuelles, merci de ne pas reproduire cela chez vous, ou peut-être que si peu importe.
Je me suis emportée, j'ai complètement pété les plombs, en roue libre totale, navrée d'avance pour ce qui va suivre...
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🎶 Musiques conseillées : Play with fire - Sam Tinnesz et Boyfriend - Dave Cameron
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Lorsque l'avion atterrit enfin sur le tarmac de l'aéroport, Jordan et Gabriel s'étaient rhabillés, échangeant un dernier baiser passionné avant que les portes ne s'ouvrent. Ce moment serait gravé à jamais dans leurs esprits. Gabriel descendit le premier de l'avion, un large sourire au coin des lèvres, suivi de Jordan. L'air frais les surprit, contrastant avec l'intensité de leur vol. La nuit claire et les lumières artificielles de l'aéroport illuminaient leurs silhouettes épuisées.
Ils avancèrent ensemble vers la limousine officielle de Gabriel, où Dimitri les attendait patiemment sur le tarmac, visiblement intrigué par la présence de Jordan. Gabriel salua son chauffeur et monta dans la voiture, Jordan à ses côtés. Sans donner la moindre explication, il déclara simplement :
« Dimitri, s'il vous plaît, ramenez Monsieur Bardella chez lui. Il va vous communiquer l'adresse. »
La voiture démarra, plongeant dans le silence apaisant de leur présence mutuelle. Les lumières de Paris, qu'ils avaient admirées depuis les airs, se reflétaient maintenant sur leurs visages, chacun repensant aux souvenirs brûlants de leur acte passionné. Gabriel, le regard perdu à travers la vitre teintée, admirait la vie nocturne de la ville, chaque scène extérieure offrant un spectacle réconfortant et enchanteur, comme une ode à leur moment merveilleux.
Jordan, lui, ne regardait pas le paysage. Son regard était rivé sur Gabriel, empli de tendresse et d'amour inconditionnel. Il observait son visage paisible, calmement appuyé contre la vitre. Il ne réalisait peut-être pas encore ce qui venait de se passer. Il ne réalisait pas encore qu'il venait de d'ouvrir son coeur, pour la première fois avec une telle intensité. Mais il s'en fichait pas mal, il voulait profiter de ses dernières minutes de trajet en sa présence.
Jordan jeta un regard dans le rétroviseur de la voiture, s'assurant que Dimitri restait concentré sur la route, puis posa délicatement sa main sur la cuisse de Gabriel, le sortant aussitôt de ses pensées. Ils se regardèrent, les yeux brillants d'un amour puissant, leurs regards seuls auraient pu illuminer tout Paris. La tendresse dans les yeux de Jordan laissait malgré tout transparaître une lueur plus sombre, alors que ses caresses se rapprochaient de l'entrejambe de Gabriel. Celui-ci écarquilla les yeux, surpris. Jordan répondit en exerçant une légère pression sur l'intérieur de sa cuisse. Gabriel tressaillit à ce contact. Il dégaina son téléphone et rédigea un message à l'homme assis à quelques centimètres de lui :
« Vous êtes insatiable, Monsieur Bardella. »
Jordan sourit, une lueur joueuse dans le regard, et répondit d'une main :
« Vous non plus. Je sens que vous bandez, Monsieur Attal. »
Gabriel écarquilla les yeux, visiblement surpris par la franchise du message. C'était vrai. Bordel. Un nouveau message s'afficha sur l'écran de son téléphone :
« Surtout, restez silencieux. »
Gabriel n'eut pas le temps de réagir qu'il sentait déjà les doigts habiles de Jordan défaire – encore – la ceinture de son pantalon, puis son bouton, avant que ses doigts ne glissent sous l'élastique de son caleçon, rencontrant rapidement la fermeté de son intimité. Gabriel haussa un sourcil, se mordant la lèvre inférieure sous la pression exercée par les doigts de Jordan.
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[Bardella x Attal] À leur propre jeu
FanfictionDeux hommes politiques se trouvent pris dans un tourbillon de scandales et de manigances politiques. Parviendront-ils à résister à leurs propres jeux de pouvoir ?