𝐏𝐎𝐃𝐄𝐑𝐎𝐒𝐀 - T4

40. With my fingers

ᖴIᖇEᔕTOᑎE

Je fais mes adieux à la fin du commencement. 

– Djo

— Oh putain...

Le gémissement de Hope m'arrache un long frisson à l'épiderme et ses doigts, qui massacrent mes cheveux, m'excitent plus que je ne le suis déjà. 

Ma langue râpe ses plis totalement trempés, pendant que mes dents sucent son clitoris jusqu'à ce qu'elle se tende de douleur. Ses hanches ne touchent plus le matelas tant elle les soulève pour m'en faire goûter davantage. Mes mains agrippent l'arrière de ses cuisses déjà bleutées par la force que je mets avant que je ne relève ma tête. Je laisse couler ma salive sur ses plis, ses cris berçant mes oreilles. Puis mes lèvres viennent attraper la sienne, la laissant se mouvoir de son goût et j'attrape sa langue, la faisant danser avec la mienne. Ses jambes s'écartent davantage puis je m'introduis jusqu'à la garde avant de souffler d'apaisement. 

Il n'y a nulle part au monde où je me sentirais mieux qu'entre les cuisses de Hope, ses muscles resserrant ma verge comme si elle craignait que je disparaisse. 

Ses ongles griffent chaque parcelle de ma peau, sa bouche proclame qu'elle est à moi et son sexe pulse partout autour de moi avec tant de force que je me sens déjà jouir en elle. Mes boules se contractent dès que je sors en elle pour plonger plus loin. Mes lèvres descendent jusqu'à sa poitrine, la savourant comme un putain de dessert qui a hanté mon esprit pendant plus de trois ans. 

Qui pensait que le gamin de cinq ans réussirait à faire crier la gamine dont il était amoureux ? Bordel, moi qui pensais ne plus jamais la revoir, ne plus jamais avoir d'elle, ne plus être en manque d'elle... 

Les mains de mon amoureuse viennent prendre mon visage en coupe pour le relever vers le sien. Sa bouche frôle délicieusement la mienne, savourant le plaisir que l'on se donne.

— Détruis-moi, siffle-t-elle en plantant ses ongles dans mes joues. Putain, Firestone, fais-moi mal.

Et j'exécute ses ordres. 

En la retournant, son dos se cambre, ses parfaites fesses en l'air juste pour moi. Ma queue cogne plus fort en elle, mes doigts remontent le long de son estomac, glissant vers sa poitrine avant de venir enserrer sa gorge et je la redresse. Sa plainte m'arrache un sourire insolent alors qu'elle se déhanche au-dessus de moi. 

C'est une évidence, j'ai toujours besoin d'elle. 

De m'accrocher à elle. 

De laisser mon sang dans ses veines. 

Je m'ancrerai à toi Hope, ton corps deviendra le mien et nous ne formerons qu'un. 

Ma main libre descend dans son entre-jambe, la doigtant pendant que ses mains viennent entourer ma nuque. Ma bouche embrasse son dos, ses tempes, le creux sensible de ses oreilles et je la laisse danser sur ma queue à la recherche de son propre orgasme.

— Tu vois trésor, je souffle dans son oreille sensible, je nous préfère dans cette position. Nous ne sommes pas faits pour la guerre.

Mes doigts s'enfoncent plus loin, ses ongles arrachent la peau de ma nuque et mes cheveux avec.

— Pas vrai ?