Sarah
La lettre de Damon
«ma chère Sarah
Si ces mots parviennent à ton cœur, c'est que la vie, avec sa cruauté, nous a infligé une séparation que je n'aurais jamais pu imaginer. Mon départ est inévitable. Mais sache que mon amour pour toi restera éternel, gravé dans les étoiles qui veilleront sur ton chemin, même lorsque je ne serai plus là pour te tenir la main.
Je t'écris ces mots avec une douleur si profonde qu'elle semble me ronger l'âme. Les mots s'accrochent à ma gorge comme des chaînes invisibles, lourds de regrets et de souvenirs que je chéris et que je redoute en même temps. J'ai mal en pensant à tout ce que nous aurions pu être, à toutes les promesses murmurées dans l'intimité de nos nuits. Chaque battement de mon cœur résonne comme un adieu tragique, une mélodie funeste qui annonce la fin de notre histoire.
Je sais que ma vie de criminelle t'a fait payer un prix injuste. Tu es devenue une victime collatérale de mes choix désespérés, une âme innocente piégée dans le chaos que j'ai créé. Pour cela, je te demande pardon du fond de mon cœur meurtri. Pardonne-moi d'avoir attiré le danger dans ta vie paisible, d'avoir fait de toi une proie involontaire dans ce jeu mortel où les enjeux sont si élevés. Même si j'aurais donné n'importe quoi pour te protéger, le destin a choisi d'écrire notre histoire avec des larmes.
J'ai trébuché dans les méandres sombres de ma propre existence, cherchant désespérément la lumière dans un monde devenu obscur. Mais malgré mes démons intérieurs qui me dévorent, tu as été ma bouffée d'air frais, mon oasis dans ce désert aride où l'espoir semblait s'éteindre comme une flamme vacillante. Ta présence était un baume sur mes blessures invisibles, et chaque sourire échangé était une étoile qui illuminait mes nuits les plus sombres.
Pardonne-moi aussi de ne pas t'avoir aimée comme tu le méritais. Mes obligations m'ont poussé à te laisser seule face à l'angoisse et à la solitude. Je regrette chaque instant où j'ai pris tes sourires pour acquis, chaque moment où j'ai laissé mes démons prendre le dessus sur notre bonheur commun. Tu méritais tant plus que les miettes d'amour que j'ai pu t'offrir ; tu méritais un amour flamboyant et entier, quelque chose qui aurait pu te combler au-delà des mots.
Et maintenant, alors que je m'éloigne de toi comme un spectre chassé par la lumière du jour, je porte avec moi la douleur insupportable de cette séparation. Mon cœur se brise à chaque pensée de te laisser derrière moi. Mais sache que même dans l'obscurité la plus profonde, mon amour pour toi brillera toujours comme une étoile égarée dans la nuit infinie. Je partirai avec l'espoir désespéré qu'un jour tu pourras trouver en toi la force de me pardonner et d'avancer vers la lumière que tu mérites tant.
Je suis désolé d'avoir été celui qui t'a fait pleurer, celui qui a apporté l'ombre dans ta vie radieuse. Si seulement je pouvais revenir en arrière et changer le cours des choses... Mais tout ce que je peux faire maintenant, c'est regretter silencieusement notre amour perdu et prier pour ton bonheur dans ce monde sans moi.
Tu vas me manquer, tes blagues me manqueront, tes provocations me manqueront, tes menaces me manqueront, ta jalousie maladive me manquera. Tout de toi me manquera. Peut-être que je ne te l'ai jamais dit, mais chérie , tu es belle, splendide, telle une femme africaine, ton corps est parfait. chaque courbe raconte une histoire que j'ai toujours voulu explorer.
Je repense à ces moments où tu riais si fort que le monde entier semblait s'arrêter pour écouter ta joie. Tes mots piquants, qui parfois me mettaient au défi, étaient en réalité des éclats de lumière dans ma vie sombre. Tu savais comment jouer avec mes émotions, comment faire ressortir le meilleur et le pire de moi-même. C'était un jeu dangereux, mais j'y participais avec un plaisir coupable.
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Four vs Four (les insoumises)
AcakSarah (noire), Daisy (coréenne), Tina (indienne) et Mia (américaine blanche) sont quatre jeunes amies qui, avec l'aide de la tante de Mia, parviennent à intégrer l'université la plus prestigieuse des États-Unis. À Élite, on retrouve des étudiants fo...