Sûria- Les amants Maudits

37

37

Décembre 2015, Paris

Le mois de décembre venait de faire son arrivée, ma vie au côté de Ramy était tout simplement magnifique, bien-sûr, tout n'était pas toujours facile nous étions pas toujours d'accord sur absolument tout mais il me comprenais, il me soutenais, il me protégeait, et par dessus tout, il m'aimait. Je n'ai pas douter une seule fois de son amour, chaque jour, Ramy me prouvait qu'il m'aimait avec des attentions multiples, parfois, il me réveillait avec des bisous et m'amenait mon petite déjeuner au lit, ou alors, durant la journée, je recevais d'énormes bouquet de fleur, il ne signait jamais et le soir lorsqu'il rentrait il faisait comme si de rien était, alors que je savais pertinemment que c'était lui.

Il continuait de me gâter autant, il m'offrait de tout, des parfums, des robes, des chaussures, le matin lorsqu'il voyait que ma bouteille de parfum était vide, il rentrait le soir avec un nouveau flacon. Lorsqu'il sortait, il m'envoyait des messages environs toutes les demi-heures pour savoir si tout allait bien, si je n'avais besoin de rien, je n'arrivais plus à me passer de lui, j'avais besoin de lui constamment, mon amour envers Ramy était chaque jours un peu plus fort, chaque jours un peu plus intense. J'avais besoin de lui au quotidien, lorsque Ramy n'est pas là, une partie de moi est avec lui, et lorsqu'il est à mes côté, je me sent complète. Mais nos preuves d'amour n'étais pas que matériel, nous nous dévoilons beaucoup plus, durant nos rapports ou même ailleurs, il me parlait de lui, peu à peu, nous nous approchons de sa maladie, il me confiait certaine chose, Ramy était mon confident, j'étais le journal intime et lui la clef, il détenait la clef de mon coeur et moi tous ses secrets.

Tout allait bien, ma famille allait très bien, mes amis aussi, je me suis beaucoup rapprocher de Saosane et Ramy de son mari Fawzi, il venait manger chez-nous durant les week-end ou inversement, j'était heureuse, si je pouvais le crier, je l'aurais fait, crier....si seulement je pouvais.

[...]

- Ramy: Ah t'es là.

Je tends mes bras ver lui, il s'allonge sur moi en me serrant fort dans ses bras.

- Ramy: Tu m'as manquer mon bébé.

- Toi aussi.

Il m'embrasse un peu partout sur le corps puis s'allonge à mes côtés.

- Ramy: Tu sens bon, t'as pris ta douche ?

- Oui.

- Ramy: Dommage, on aurait pu la prendre ensemble.

- Cette nuit sa ta pas suffit ?

- Ramy: Si je pouvais, on ferait sa partout, tout le temps !

Je lui tape l'épaule et l'embrasse sur le front puis descend préparer le dîner, au menue, gratin de pomme de terre, avec une tarte au citron et une salade de fruit, quelques chose de simple et bon, Ramy redescend habiller d'un qamis, il fait ses prières puis retourne au salon le téléphone scotché à l'oreille et son Mac Book sur les genoux.

- Ramy: D'accord.

- [...]

- Ramy: On se voit demain.