Sûria- Les amants Maudits

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Décembre 2015, Paris

J'avais la gorge comme nouée j'ai eu beaucoup de mal à avaler ma salive, alors je me suis approcher de lui et je l'ai embrasser il m'a serrer fort contre lui, tellement fort que je sentais les battements de son cœur. Nous étions comme déconnecté, dans un autre monde, plus rien ne comptais, je pense qu'à ce moment-là il aurait pu y avoir un million de personnes autours nous, cela ne nous aurait pas déranger. Ramy avait ce don, cette façon de me regarder qui me rendait unique.

Je me suis approcher de lui tout doucement j'ai attraper son visage entre mes mains et je l'ai embrasser sans m'arrêter, je ne voulais plus me décoller de lui et lui non plus, l'émotion était beaucoup trop forte, beaucoup trop intense, beaucoup trop importante, c'était nous, aussi fou que cela puisse être l'ambiance qui régnait définissait notre couple, nous étions fou amoureux l'un de l'autre et même un aveugle pourrait le voir.

Nous avons ensuite manger, puis nous sommes allées nous couchées, la soirée c'est terminer comme elle avait commencer, je me sentais si bien dans ses bras puissant, lorsqu'il me murmurait qu'il m'aimait à l'oreille, lorsqu'il m'embrassait à en avoir les lèvres rouges et gonflées, lorsqu'il me répétait à quel point je suis douce et belle, puis, épuiser, nous nous sommes écroulées dans les bras l'un de l'autre.

[...]

J'éteint le jet d'eau puis retourne dans la chambre avec une serviette autour de la taille, Ramy était toujours allonger dans le lit, je savais que nous n'allions pas sortir aujourd'hui, alors j'ai opté pour un débardeur et un shorty, je me suis ensuite diriger vers le lit pour réveiller mon mari en douceur avec des petits bisous dans le cou.

- Ramy: Humm

Il ouvre les yeux puis m'entraîne avec lui en me faisant basculer, il m'embrasse sur le front, puis plonge sa tête dans mon coup afin d'humer mon odeur.

- Ramy: Hum t'as pris ta douche ?

- Oui.

- Ramy: T'aurais du m'attendre.

- rire

- Ramy: Je vais prendre ma douche et après je t'emmène déjeuner dehors, alors prépare toi.

- D'accord.

Moi qui pensait ne rien faire de la journée c'est rater, je suis aller m'habiller j'ai fait un effort vestimentaire, je me suis même maquillée les yeux. Ramy est arriver quelques minutes plus tard tout beau. Nous avons alors pris la route.

[...]

À notre retour du restaurant, une migraine épouvantable c'est emparé de moi, j'arrivais plus à tenir debout, comme toujours, Ramy était au petit soin pour moi, il devait travailler alors il m'a emmener avec lui dans son bureau, j'étais assise sur ses genoux emmitoufler dans une grosse couverture pendant qu'il passait des appels et lisait ses mails, je l'ai entendue parler anglais et espagnol il était terriblement sexy, je souriais toute seule comme une idiote, je me rendais compte que mon mari est un homme avec un véritable charme, il est tellement beau, même dans mes rêves les plus fou je n'aurais jamais penser épouser un homme aussi beau, je me demande comment les autres femmes peuvent le percevoir, si il se fait draguer dans la rue, puis, inconsciemment, je me suis mise à douter pas de lui, mais de moi, je me rend compte qu'il faut que je sois plus coquette, que je fasse plus attention à ma façon de m'habiller, je veux lui plaire, je veux qu'il soit heureux de me retrouver le soir en rentrant du travaille. Je veux qu'il m'aime et qu'il me désire autant que moi.