1er Décembre, la neige commence a tomber, dans de petit flocons qui fondent une fois le betume atteint.
Certaine chose plus petite soit elle reste vraiment les plus belle merveille de la nature.Je suis heureuse d'être à l'intérieur de ce petit Café, mon chocolat chaud fumant entre mes mains je ne peux m'empêcher de rester les yeux fixé aa l'extérieur.
C'est peut être l'occasion de prendre quelque cliché.
Je bois d'une traite mon chocolat qui avait tiédie, dépose la monnaie sur la table et me dirige dehors il y a beaucoup de monde dans les rues.Noël approche à grand pas, et tout le monde s'active a trouver le cadeau idéal pour chacun.
Pour ma part n'ayant personne, je vais fêter Noël seule.
Amélia, ma seule amie est en France pour les fêtes de fin d'année en amoureux je me retrouve donc toute seule pour les fêtes.J'envie un peu les personnes qui le fêtent dans un foyez chaleureux, avec leurs proche.
La chaleur d'un foyer doit être vraiment agréable.Je quitte aussitôt mes pensées quand je bouscule quelqu'un part maladresse nos téléphones tombent dans l'action.
-je...excusez moi... Je n'ai pas fait attention.
Je récupère mon téléphone et le sien et lui tend. Il ne dit rien, enfin si il murmure un faible merci en prenant son téléphone, il a une capuche sur la tête et je ne peut donc pas voir qui il est.
Il part sans se retourner les mains dans les poches, j'hausse les épaules et remarque que la neige à finalement cesser. J'abandonne donc l'idée de faire quelque cliché et prend le chemin du retour.
Que c'est bon d'être chez soi, je me laisse tomber dans mon canapé, et allume ma télé pour regarder les épisodes de ma série préféré the walking dead. Alors que je suis en pleins watching de teleloche, mon fixe sonne.
Je fronce les sourcils d'habitude on m'appelle sur mon portable, alors je décide de décroché.
-Allô?
- Roxy sa fait plus de 20 fois que j'essaye de t'appeler sur ton tel c'est quoi ce délire !
-Amélia respire, tu parle aussi vite qu'un TGV ma parole.
-Pourquoi tu ne me répond pas ?
-mon portable n'a pas sonnée, attend je vérifie.
Lorsque je regarde mon téléphone je me rend soudain compte de quelque chose.
-Amélia... Je sais pourquoi tu ne pouvait pas me joindre.
-Accouche dépêche toi!
-tout a l'heure j'ai bousculé quelqu'un et dans l'action on a dut échanger nos téléphones.
-KYAAAAAAA! Dis moi que c'est un putain de beau gosse!
-je ne sais pas il était masqué par sa capuche.
-je n'ai qu'un mot à dire, NOËL !
-qu'est ce que tu raconte encore.
- c'est la magie de Noël, tu vas enfin rencontré quelqu'un!
-Mais oui c'est sa et moi je m'appelle Emma Watson tant qu'on y est. Sérieusement Lia' qu'est ce que je fais.
-ben fouille dans son téléphone pour découvrir qui il est.
-Non mais ça va pas la tête ! Jamais je ne ferais ce genre de truc.
-ho moi ce que j'en dis hein ! Ben tu n'as cas t'envoyer un message.
- Mais qu'est ce que je lui dis?
-ben je sais pas moi, bon je dois te laissez ma belle. Je suis sur que tu te débrouillera très bien sans moi je t'aime.
-Lia' at..
Elle a raccroché avant que je ne finisse ma phrase, je joue maladroitement avec le téléphone entre mes doigts.
Quand soudain il vibra entre mes doigts c'est mon numéros il m'appelle, mince!
Je décroche ou pas?
Je ne sais vraiment pas ... Bon tant qu'a faire, j'appuie sur le téléphone vert.
-A-Allo...
-bonsoir, je suis l'homme que vous avez bousculé tout a l'heure.
-Oui, je sais... Euh j'ai votre téléphone.
-et moi le votre mademoiselle Roxanne.
- vous avez fouillez dans mon téléphone.
-absolument pas mais une certaine Amélia vous harcèle de message.
-oui je sais elle vient de m'appelez... Je suis vraiment désolé.
J'étais vraiment gênée parce que je n'aime pas être au téléphone avec quelqu'un sa me stresse.
En plus de cela sa voix me disaient étrangement quelque chose.-nous pouvons faire le change si cela ne vois dérange pas nous pourrions nous rejoindre au parc des fleurs de lys, juste devant la fontaine.
-euh oui oui bien sur je suis là dans 10 minutes.
-je vous attend.
Et il raccrocha, j'avais le coeur qui tembouriner contre ma poitrine comme une batterie lors d'un concert D'AC DC.
J'enfila mon manteau et mon bonnet blanc enfila mes basket et partit rejoindre mon mystérieux inconnu.
Il s'avait mon prénom mais j'ignore le sien.
J'ai du mal à faire un pied devant l'autre sans tremblé d'impatience et de peur aussi, étant quelqu'un d'accès timide je ne rencontre pas beaucoup d'homme.J'arrive au parc les mains complètement gelée, il faut dire que le parc des lys n'est pas la porte a coter de mon appartement mais bon.
Je frotte mes mains complètement glacé entre elle et m'avance vers la fontaine, je le vois il est debout, une cigarette a la main, la tête lever vers le ciel, sa capuche sur le crâne.
Plus je me rapproche et plus mon envie de faire demis tour est présent.
Mon coeur tambourine si fort que je pourrais croire qu'il va sortir de ma poitrine, je me mord la lèvre inférieur d'appréhension.- bonsoir... Dis je d'une voix peu assuré.
Il baissa la tête sur ma petite taille c'est sur que du haut de mes 1m50 je ne fais pas le poids.
-Roxane je présume.
-C'est cela... Dis je en évitant tour contact avec ses yeux.
-vous n'avez pas fouillez? Dit il surpris en me voyant tendre le téléphone.
-votre vie privé ne me regarde pas.
- c'est étonnant. Vous devez être l'une de ses rares personnes qu'on qualifie d'honnête. Dit il en prenant le téléphone.
- sans doute, je peux récupéré le miens?
-tu es pres à quoi pour le récupérer ?
-Quoi? Dis je surprise en tournant ma tête vers lui.
-je rigole détendez vous.
Il dépose l'appareil dans ma main, en constatant que mes doigts sont gelée, je ne peux que frissoné en sentant sa chaleur caresse ma peau.
- vous êtes gelée.
-oui c'est à cause de la route, mais ne vous inquiétez pas j'ai l'habitude.
-je peux vous ramenez si vous le souhaitez.
Aie, panique à bord qu'est ce que je suis censé répondre a ça.
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Dangereuse Addiction (Norman Reedus)
Fanfiction"je savais que le côtoyé était néfaste, qu'il me briserait le coeur, que notre histoire était vouée a l'échec que même la magie de Noël ne pourrait rien faire pour nous car nous étions incompatible, et dangereusement différent, nos mondes étaient di...