Chapitre 42 - « La maman »

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/!\ Hey ! Avant votre lecture, je dois vous prévenir qu'à l'avenir je n'aurais plus le temps de corriger les chapitres de cette fiction, surtout que le bac est de moins d'un mois donc pas le temps... :( Ne m'en voulez pas s'il y a des coquilles ou que j'oublie de corriger des prénoms. /!\

+ Le gif ne correponds pas au chapitre mais il est trop beau alors... *-*

N'hésitez pas à commenter durant votre lecture ! Passez un bon moment. :)

*

Une semaine plus tard.

Tout était paisible.

Je n'aurais jamais pensé que j'aurais pu me rabibocher sur l'oreiller avec Sebastian mais ce n'était pas plus mal, cela nous avait fait du bien et notre relation était repartie de plus belle. J'avais également accepté de suivre Sebastian aux Etats-Unis de temps en temps mais pour le moment, c'était encore un peu problématique puisque j'étais au début de ma deuxième année de journalisme et je ne voulais absolument pas abandonner mes études au cas où.

Ce matin était encore plus paisible que les autres, j'avais l'impression d'avoir une vie de rêve.

Myrtille était à mes pieds, au bas du lit, jouant avec son jouet favoris tandis que j'étais assise, encore dans les couvertures ; mon ordinateur portable sur les cuisses, lisant mes nombreux mails, souvent des interviews que je refusais mais aussi des pubs. Pendant que je prenais du bon temps en buvant un café, Sebastian, lui était sur le balcon du salon, au téléphone avec sa mère. Et même s'il parlait suffisamment fort pour que je l'entende et qu'il avait tenté de m'enseigner le roumain à plusieurs reprises, je n'arrivais qu'à comprendre quelques rares mots, ce qui faisait qu'à force, je ne cherchais plus à l'écouter pour comprendre mais seulement pour le son de sa voix.

Faisant défiler les mails, je zyeutais rapidement avant de tomber sur la réponse d'un éditeur, mon cœur bondit hors de ma poitrine et je retins mon souffle en cliquant dessus. Mes lèvres s'étirèrent de chaque côté pour former un sourire lorsque je relisais plusieurs fois le mail, je restais silencieuse, retenant un cri de joie, gardant les moins jointes contre ma poitrine, les yeux probablement brillants.

« Sebastian ! criai-je, oubliant totalement le fait qu'il était au téléphone avec sa mère. »

Le brun finit par arriver quelques minutes plus tard, me questionnant du regard avant de sourire en notant le bonheur que j'affichais sur mon visage. Il s'assit à mes côtés, embrassa ma joue et fit venir ma chienne sur ses jambes pour jouer avec elle.

« Que se passe-t-il ?

- Un éditeur m'a répondu... Positivement ! m'exclamai-je avec un grand sourire béat.

- Pour de vrai ?

- Oui, pour de vrai !

- Laisses-moi voir ! »

Il sourit en coin et lui montrai le mail même s'il n'y comprenait probablement rien, alors je lui traduisais pendant qu'il lisait. Il finit par me voler un tendre baiser.

« Félicitations !

- Attends, tout n'est pas gagner ! Il faut encore qu'elle présente mon roman au comité de lectures et il est possible que la majorité soit défavorable à la publication.

- Ne soit pas pessimiste, je suis persuadé que c'est dans la poche. »

Il embrassa mon front puis enfila une de ses vestes.

« Je vais promener Myrtille ! »

J'acquiesçai.

Ainsi, je le laissai quitter l'appartement en compagnie de ma chienne tandis que je répondais soigneusement au mail que m'avait envoyé la fameuse éditrice. Ensuite, je m'affairais à appeler Tirana pour prendre de ses nouvelles, la mettant sur haut parleur pendant que je m'occupais de ranger les quelques affaires qui traînaient dans l'appartement. Je lui expliquai le cas pour l'éditrice avant que je ne dérive assez rapidement sur autre chose, pas que je ne trouvais ça négligeable mais c'était encore trop pour m'avancer sur quoi que ce soit.

Sweetheart | ✓Où les histoires vivent. Découvrez maintenant