CHAPITRE 6

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Moi : Ouais et alors? Ça te pose un problème parceque c'est une des seules meufs qui tombe pas à tes pieds? *agacé*

Hilal : Oulala elle t'a piquée cette meuf ou quoi ? Me dis pas que tu l'aimes ?

Moi : Non, mais si c'était le cas ça te poserait un problème ? *énervé*

En sah il m'énerve Hilal. Il croit tout savoir sur tout le monde, ça me fait chier les gens comme ça.

Hilal : Pas du tout. J'ai pas le temps pour les meufs, encore moins pour les filles dans son genre.

Moi : Qu'est-ce que tu veux dire encore ?

Hilal : Tu les connais pas, les meufs, Ali. Au début elles font les timides, les gentilles...Mais dès que tu t'attaches, hop. Tu te fais niquer. *Rires*

Moi : N'importe quoi. T'as juste pas trouvé la bonne.

Hilal : Y'en a pas de bonne, Ali ! Ce sont toutes des keh. Surtout celle là. Je la vois venir. Elle m'a l'air pété de thune, mais je suis sûr qu'elle cache bien son jeu.

Moi : Elle est belle..

Hilal : *haussement d'épaules* T'attaches pas trop vite. Sinon tu vas souffrir. Le vrai amour, ça existe pas Ali. *Il me tape sur l'épaule* Ça n'existe pas et ça n'a jamais existé.

Et il s'éloigne en allumant une cigarette.

DANS LA PEAU D'INAYA.

Ayden et moi on jouais à la play, c'était trop marrant même si je perdais tout le temps.

Soudain, ça sonnait à la porte.

Moi : J'y vais.

Ayden : J'allais te le dire, mdr. J'vais aux toilettes, j'reviens.

Je me suis levée et je suis partie ouvrir la porte.

C'était Hilal.

J'avais un peu la haine contre lui, il a bien vu que le mec du McDo allait me frapper mais il n'a pas réagi. Heureusement qu'Ali était la, il m'a l'air d'être bien, d'ailleurs, ce Ali.

Hilal : Il est où Ayden? T'es toujours obligée de venir ouvrir à sa place ou c'est quoi? T'es la portière de la famille ?

Non mais pour qui il s'est prit, lui? Quel imbécile. Tout son charme est retombé, ses yeux bleus que je trouvais splendides me paraissaient banals tout à coup.

Moi : Bonsoir, d'abord. Ah oui pardon tu ne connais pas la politesse.

Hilal : Ta gueule, joue pas à la désirée avec moi. Je te vois venir, petite américaine de mes deux.

Moi : Non mais t'es malade? Tu es qui pour me parler comme ça ?

Hilal : Bon j'aimerais bien rester sur le paillasson à écouter ta belle petite vie mais le problème c'est que ça m'ennuie, donc fais moi entrer et boucle là.

Moi : Ouais c'est ça casse toi plutôt.

Je lui ferme la porte au nez et repart comme si de rien n'était. Il est vraiment con ce mec. Je l'entends qui toque à la porte et qui parle fort mais je n'y prête pas attention. Finalement, ce garçon n'a rien spécial

Je vais dans ma chambre et m'endors en lisant une chronique sur Wattpad.

Le lendemain.

Inaya, retour parmis les siensOù les histoires vivent. Découvrez maintenant