Fille d'un champion du monde [FINI]

Chapitre 6

Le lendemain

PDV AMÉLIE

Je sors de ma chambre après que les gars soient partis pour l'entraînement. Je cours les voir et m'assoie à côté de Pavard, Lloris et Pogba. Je regarde les autres faire leur tour de terrain en plus. Je tcheke Paul morte de rire.

Paul : Trop sadique meuf ! Même si j'oublie pas ta trahison !
Moi : Je t'ai pas trahi, j'ai sauvé ma peau. Ils sont à combien de tours la ?
Benjamin: 5.

J'eclate de rire.

Moi : ALLER, C'EST MOU TOUT SA, ON ACCÉLÈRE LA CADENCE !

Tout le monde me lance un regard noir ce qui redouble mon rire.

Hugo : Merci pour ma chambre.
Moi : Avec plaisir. T'es le mec de ma meilleure amie je te rappelle !

Je lui fais un clin d'oeil et il rit.

Paul : Tu remercie pas Amélie Ben ?
Benjamin : Déjà fait.

Paul me fixe mais part car il doit faire ces 10 tours de terrain que Didier lui a gentiment donné avec Presnel, Olivier et Adil. Tous les autres me regardent, donc, pour me protéger, je me mets derrière Ben et Hugo.

Moi : C'est a Paul que vous devez vous en prendre !

Ils éclatent de rire et me lancent juste de l'eau dessus. Sa va, je pense qu'ils ont compris le châtiment des autres. Je leur fais mon plus beau sourire et me rassoie aux côtés de Ben.

Moi : PLUS VITE !!! C'EST TOUT MOU !!

Je n'arrête pas de rire en voyant leur tête déconfite. Surtout Adil, Presnel et Olivier qui ont eu les 10 tours de l'état de leur chambre. Paul a eu dix tours de terrains en moins donc sa passe pour lui.

Moi : ALLER PRESNEL, T'A CRU QUE C'ÉTAIT UNE COURSE DE PERSONNE ÂGÉ OÙ QUOI?!?!

Les gars me tchekent et éclatent de rire. Ils finissent leurs tours de terrain et se mettent à bosser. Je ne peux m'empêcher de rire à la vue de leur tête. Mon parrain se dirige vers moi.

Didier : T'es sadique comme demoiselle !
Moi : Mais non.

Il rit et m'embrasse le front.

Didier : Tu as réussi à parler avec ton père ?
Moi : Il répond plus à mes messages. Il m'en veux.
Didier : Il est juste déçu. Sa va passer, il t'aime trop pour te faire la tête.

Je lui souris.

Didier : Quelqu'un sait pour ton père ?
Moi : Benjamin sait juste qu'il est très célèbre, c'est tout.
Didier : Tu l'aimes bien ?
Moi : C'est un gars adorable et gentil mais j'arrive pas à l'oublier.
Didier : Ben t'y aidera. Il est très compréhensif. J'y retourne.

Il m'embrasse le front et retourne sur le terrain. Il a sans doute raison pour mon père. Et pour Ben aussi. La ferme conscience, je t'ai pas causé. Tu viens de le faire pourtant. La ferme.

Benjamin : Tu viens princesse faire un match ?
Moi : J'arrive champion.

Nous formons les équipes de d'habitude et nous commençons à jouer.

Ellipse entraînement

Je monte dans ma chambre et prends une bonne douche. Je mets un jean noir et une chemise verte kaki. Je descends rejoindre les gars et nous dejeunons.

Olivier : Il faudrait que Amélie est une punition.
Moi : Tu vas faire quoi ? Me jeter dans la piscine ?
Olivier : Cela me semble une bonne idée.
Moi : Tu fais sa, tu es mort Girouette !

Ils éclatent de rire sauf Olivier qui prend un air offenser vraiment pas crédible.

Olivier : Je perd toute virilité avec ce surnom !
Moi : Tu l'étais à la base ? Je savais pas !

Olivier commence à me poursuivre à travers tout l'hôtel sous les rires des joueurs. Trop crever par sa séance de tour de terrain de ce matin, il abandonne. Je rejoins donc les gars victorieuse. Je m'assoie sur le canapé de la salle de jeu avec les gars qui se mettent à jouer à divers activités. Je décide d'envoyer un message à mon père.

A Mon papounet ❤ : Salut papa. Je sais que tu m'en veux de ne rien dire mais j'ai pas honte d'être une Zidane. Je suis désolée mon papounet. Les gars m'aident beaucoup à aller mieux même si je t'avoue que sa présence est encore présente dans mon esprit. Elle disparaît peu à peu pour laisser place à la joie et au bonheur. J aime beaucoup Benjamin Pavard. Quand je suis avec lui, je l'oublie. Bisous papa, je t'aime ❤.

Je range mon téléphone. J'espère qu'il va me pardonner.

Benjamin : Hey, sa va princesse ?
Moi : Oui, t'inquiète pas champion.

Il sourit et me montre du doigts le baby foot. Je le suis et nous faisons un deux contre deux. Ben et moi contre Antoine et Paul. Autant dire que c'est pas triste.

Antoine : Qu'es que tu comprends pas Paul dans la phrase, NE LAISSE PASSER AUCUNE BALLE !!! Il y a 6-1 et par chance, c'était une inattention d'Amélie qui souriait à Ben.

J'eclate de rire en compagnie de Ben. Nous finissons par gagner, 9-4. J'embrasse la joue de Ben et m'assoie sur le canapé quand je reçois un message.

De Mon papounet ❤ : Bonjour Amélie. Je comprends ta décision même si c'est bizarre. Je suis content, je te l'avais dit que les bleus t'aideraient. Quand à Benjamin, je suis heureux mais fais attention quand même. Ben est quelqu'un d'adorable qui va t'aider et qui te complète. J'espère que vous finirez ensemble. Je t'aime aussi ma poupée ❤.

Je souris. Merci papa. Je finis ma journée tout aussi heureuse et joyeuse.