Chapitre 12

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Deux jours après avoir quitté la cité d’Umma, Seth n’était plus qu’à quelques kilomètres d’Uruk. Il apercevait déjà les murs de la cité, ainsi qu’un temple d’un blanc pur. Sur la route, le paysage était de nouveau verdoyant, avec un ruisseau qui suivait de l’autre côté de la route : la rivière de l’Euphrate. Une fois à destination, le jeune homme laissa le mušhuššu à la bordure extérieure de la cité, là où personne ne le verrait. Il profita d’être ici pour observer les marchés qui possédaient davantage de marchandises contrairement à toutes celles qu’il avait vues jusqu’à présent dans le pays : des armes, des armures, des vêtements d’excellentes qualités, des herbes médicinales, des statuettes des divinités titulaires, et bien d’autres. Les rues étaient très colorées avec de nombreux draps accrochés sur les cordes, aux couleurs vives : vert, bleu, rouge, orange, blanc jaunâtre, et violet. Par ailleurs, au fil de son avancé, le dieu du chaos remarqua les nombreux canaux qui traversé la cité où certaines barques passaient ainsi que des ponts rejoignant les deux côtés.

Durant sa promenade, Seth se fit interpeller par certaines femmes et certains marchands. Le jeune homme tentait de repousser les humaines le plus doucement possible, et prenait le temps de s’arrêter à certains stands. Il passa un certain temps devant les stands d’armes et de vêtements, où il observait leurs qualités et caractéristiques. Après une bonne heure, l’égyptien repartit avec deux vestes noires sans manches noires aux bordures dorées, dont une avec les mêmes motifs que son ancienne veste qu’il ne portait plus depuis qu’elle était devenue irréparable, ainsi qu’un pantalon ample noir, trois longs tissus : un noir, un couleur moutarde, et un couleur turquoise. Il avait également acheté une paire de brassard en cuir possédant des bracelets en or, ainsi qu’un étui à dague bleu et doré accrochés par des chaînes. Seth avait pris aussi bien de nouveaux vêtements pour lui que pour Tiamat. Après tout, il fallait une tenue plus adaptée aux combats pour la jeune femme. Lorsqu’il était au marché, il en avait profité pour échanger avec les marchands qui lui avaient conté les différents mythes du pays, tels que : L’Enuma Elish l’histoire de la création, que Seth prit le temps d’écouter puisqu’il mettait en scène Tiamat et Marduck. Ainsi que l’histoire de la naissance des hommes qui ce coups si, mettait Enki et Tiamat en temps qu’allié.
Le premier récit conte à partir du début des temps, lorsque l'univers n'était qu'un tout indifférencié remplit par l'eau originelle. C'est alors qu'Apsû, qui représente l'eau douce, et Tiamat qui représente l'eau salée, engendrent plusieurs générations de dieux. Mais à la troisième génération, les derniers nés, bruyants et perturbateurs, attirèrent la colère de leur père. Celui-ci, avec l'aide de son conseiller et fils Mummu, décide de les détruire. Ea, le second nom d’Enki, l'un d'entre eux, apprend le complot et décide de le déjouer. Il plonge Apsû dans un profond sommeil, le tue avant d’enchaîner Mummu. Enfin débarrassé de ses ennemis, Ea engendre un fils, Mardouk, qui dès sa naissance est supérieur aux autres dieux.
De nouvelles perturbations provoquées par la naissance de Mardouk attisent la colère de certains dieux. Ces derniers parviennent à persuader Tiamat de venger la mort de son époux Apsû en les aidants à détruire les fauteurs de troubles. Tiamat créé alors une armée de monstres et en donne le commandement à Kingu, l’un de ses premiers fils. Dans l'autre camp Mardouk accepte finalement de combattre la déesse en échange de la place la plus élevée dans la hiérarchie des dieux. Marduk parvient à tuer Tiamat, la mer primordiale, et avec sa dépouille qu’il avait découpé en deux, il créa la voûte céleste, la Terre et leurs composantes : les montagnes avec leur corps inférieur, les fleuves : l’Euphrate et le Tigres, qui s’avèrent être les larmes gisant des yeux du cadavre de la déesse primordiale, les corps célestes "les constellations furent posées dans le ciel" avec la partie supérieure. La Lune fut créée pour régler le mois et le Soleil pour régler le jour.
Dans le ciel, Mardouck s'occupe de placer les demeures des dieux astraux et il fixe leurs courses célestes. Il décide aussi de fixer par un lien les deux parties du corps dépecé de Tiamat. Ainsi la voûte céleste est reliée au disque terrestre au-dessus de l'eau douce qui la porte. Enfin il forme les éléments naturels, place la terre au centre de l'univers et crée Babylone là où se situe le cœur de la déesse. Ea décide alors de créer l'homme pour qu'il serve les dieux,  avec le sang de Kingu qui lui permit de créé l'humanité.
Le second, conta au moment de la création, les dieux tous nés de la mère primordiale Nammu, le second nom de Tiamat, réside sur Terre où une première catégorie vit tranquillement alors qu'une seconde travaillait pour tous. Les seconds commençant à protester, Nammu demande à Enki de chercher à créer une créature dont le rôle sera de travailler à la place des dieux secondaires, et pour tous les dieux, rendant ainsi leur vie plus facile. Ce dernier ne tarda pas à trouver une idée et dit à sa mère de façonner cette créature avec de l'argile puisée à la surface de l'Abîme, dans un moule qu'il confectionna, avec l'aide de la déesse Ninmah l’épouse d’Enki et d'autres divinités, puis de leur donner ensuite vit. Cet ouvrage, l’Homme trouve un accueil très favorable de la part des dieux, qui se réunissent autour d'un grand banquet pour fêter l'évènement.
Au cours du repas, Enki et Ninmah sont passablement éméchés. Cette dernière lance un défi à son époux : elle donnera la vie à d'autres êtres humains qui seront « imparfaits » : asexués, femmes stériles, et autres, et met Enki au défi de leur trouver une tâche dans la société. Celui-ci y arrive haut la main. Puis il lance à son tour un défi identique à sa femme, en créant un être humain informe tel un « monstre », Ninmah n'arrive pas à lui trouver une tâche, et perd le duel.
Ceci perturbait légèrement le dieu, surtout le second, mais les humains ayant tendance à déformer les vérités, ou inventer des récits, il se contenta alors de ne pas les prendre comme argent comptant. Puis ils lui parlèrent des dieux titulaires : Anu le dieu du ciel et Inanna la déesse de la chasse et de l’amour. Certains commerçants ayant bien vu que le jeune homme n’était pas d’ici, ils profitèrent de sa présence pour le questionner : d’où il venait, ce qu’il venait faire ici, etc. L’égyptien s’était contenté de répondre qu’il était un simple voyageur venant d’Égypte.

Le soleil commençait à redescendre lorsque Seth atteignit l’Eanna, la ziggourat d’Anu. Le temple avait son sommet plus long que ceux des autres qu’il avait vu jusqu’à présent avec de nombreuses petites ouvertures en hauteur. Une fois à l’intérieur, une grande salle s’étendait avec des piliers alignés des deux côtés de la pièce, reliés entre eux par des draps. Tout l’intérieur était de marbre blanc, avec un autel en calcaire où se trouvait de l’encens, au centre du temple. L’égyptien se fit accueillir par un jeune homme à la peau claire, les yeux bleu ciel, et les cheveux d’un blanc pur attaché en petite queue de cheval, ainsi que des reflets bleuté. Il était vêtu d’une tunique bleue ciel aux manches amples, dont une qui n’était pas enfilée, portant également un tissu jaune qui tenait son ample bas blanc.

« Tu es Anu ? demanda Seth.
— Oui, et toi tu es Seth. »

Anu lui sourit, tandis que l’égyptien restait méfiant. Bien que le dieu du ciel était l’un des fils à Tiamat, il ne pouvait pas s’en empêcher... Anu lui demanda de le suivre avant de l’emmener dans le petit passage situé derrière l’autel, là où les humains ne peuvent pas accéder : la terre des dieux. Chaque temple en possède un, menant directement dans la maison d’un dieu titulaire. La bâtisse d’Anu était toute de marbre d’un blanc pur, et où les nuages étaient visibles par les petites ouvertures par-ci, par-là. Des vases avec des plantes et des fleurs étaient disposées le long des murs sur des meubles de calcaire, accompagnées de pilier en marbre. Afin de combler le silence le temps d’arriver là où le dieu souhaitait emmener l’étranger, Anu prit la parole.
« Contrairement à mon frère Enlil, je ne suis pas à cran. Si cela peut vous rassurer.
— J’espère bien. Puis au pire, je me défendrais. »

Après cette remarque, guidé par les piliers, ils atteignirent une grande salle, avec au centre une grande table ronde, contenant au milieu une grosse pierre de lapis lazuris… Tandis que le fils de Tiamat s’approchait de la table, il expliqua rapidement la situation à Seth. Lui et Enlil avaient la chance de faire partie des dieux les plus importants, faisant qu’Enki leur laissait une certaine liberté. Bien sûr, tant qu’ils n’interfèrent pas dans ses plans.

« Donc il sait que vous aidez votre mère ? demanda l’égyptien, étonné.
— Probablement. Enki est du genre à laisser filtrer des informations… Nous prenons tout de même le temps de les vérifier, et de nous en méfier, mais c’est bien pour montrer qu’il n’a pas peur. Et je pense que ça l’amuse…
— C’est avec ce genre de mentalité qu’il causera sa perte. Souffla Seth, n’aimant pas les personnes ayant ce comportement. »

Anu acquiesça face à cette remarque, mais rajouta que son frère rester malgré tout sur ses gardes.

« Disons qu’il est un peu comme notre père… Bizarrement, ils sont seulement trois à tenir de lui…
— Comment ça ?
— J’imagine que notre mère ne t’a pas vraiment parlé d’Apsû… Je ne peux malheureusement pas t’en parler sans l’accord de ma mère, il s’agit d’un sujet plutôt sensible. Mais il était du genre à croire que rien ne pouvait lui arriver, peu importe ce qu’il faisait. Jusqu’à ce qu’Enki lui prouve le contraire… »

Seth l’écouta en silence, tout en pensant que visiblement Tiamat en avait plus à dire que ce qu’il pensait... Décidément, elle lui cachait bien des choses… Cependant, il pouvait comprendre que son amie ne souhaitait pas parler de son mari, après tout, il s’est quand même fait assassiné par l’un de ses propres fils. Mais plus l’égyptien entendait parler d’Apsû, plus il sentait que quelque chose clochait… Bien qu’il savait qu’il pouvait être excessif, la manière dont Anu en parlait… d’un ton si dur… Se pourrait-il que le dieu du ciel en ait plus à reprocher à son père que juste le fait qu’Apsû avait voulu les tués ?

« J’imagine que tu es au courant de ce que ton frère a fait ? fit Seth, en le regardant de nouveau.
— Mummu ? Oui. Mais les concernées devait être soulagés… Du moins les filles d’Enki.
— Comment ça ?
— Eh bien… Il a abusé de ses filles, et quand Ninursag l’avait appris, elle lui a lancé une malédiction avant de le quitter. Mais a finalement levé le mauvais sort, pour se remettre avec lui.
— Euh… lâcha l’égyptien, dans l’incompréhension.
— J’ai beau savoir que notre sœur l’aimait plus que tout, je t’accorde la pensé que ce n’est pas logique, ni normale… »

Anu avait soupiré après ses mots, d’un air plein de dégoût au sujet de ce qu’Enki avait fait, et désespéré par sa sœur. Seth était dans le même état d’esprit que le fils de son amie, comment on pouvait se remettre avec la personne qui a pu abuser de ses propres filles ? Enki était vraiment une ordure. Finalement Anu alla poser sa main sur la pierre centrale qui se mit à s’illuminer.
« Je vais contacter les autres. Ils t’informeront sur leur emplacement, et l’éventuelle position de Mummu. »
Expliqua le dieu du ciel, tandis que le cristal projeta plusieurs écrans où se trouvaient dans chacun ses frères et sœurs. A peine contactés…C’était déjà la pagaille ! En effet, Lahmu et Lahamu les attributs féminins et masculins étaient tous deux paniqués, au sujet de Mummu. Ils bafouillaient que leurs pouvoirs étaient inefficaces face à leur frère. Gestionna craignait qu’Enki rabatte sa colère sur eux, tandis qu’Enlil leur disait de se taire et de se calmer, agacé. Ninlil, elle, elle restait calme avec Ki, tout en essayant de les détendre, bien qu’elles aient hontes du comportement des autres, tout comme Anu. Seth les regardait se chamailler, tout en paniquant, un peu surpris. Il ne s’attendait pas à ce que les enfants de Tiamat soient aussi… Bruyants. Ils parlaient dans tous les sens, entres ceux qui paniquaient, Enlil qui criaient à moitié, c’était totalement incompréhensible ! L’égyptien qui ne supportait plus tout ce vacarme, ainsi que leur enfantillage, fini par élever la voix.
« Vous allez arrêter, oui !? Vous êtes plus des gosses ! »

Aussitôt que le jeune homme eut haussé le ton, que le silence s’installa. Enlil le regarda de travers, s’étant également tue, n’aimant pas la manière dont Seth leur parlait.

« Parle-nous sur un autre ton.
— Seulement quand vous arrêterez de vous comporter comme des enfants. Vous connaissez le terme " civilisé " ? Alors prenez le temps de vous écouter les uns, des autres. »

Enlil grogna, mais s’arrêta lorsque Ninlil le lui demanda. Elle, Ki et Anu remercièrent l’égyptien d’être intervenu, il était le premier à réussir à calmer le jeu, et encore moins avec tant d’efficacité. Après un certain silence durant lequel tous s’étaient calmés, chacun prirent le temps d’expliquer à l’ami de leur mère ce qu’il devait savoir. Mummu est leur frère aîné, mais le cadet de Lahamu et Lahmu. Il est également le scribe de leur père, et possède le même pouvoir que lui et Enki : les eaux souterraines, il avait également quelques connaissances dans l’art du combat. Cependant, il était du genre à se battre de manière « sauvage », il ne réfléchissait pas et attaquait en se contentant de donner des coups à la fois rapides et puissants. Seth pensa qu’il devra donc se contenter d’être à l’affût et de le tester un peu pour pouvoir l’avoir rapidement. Sous cette réflexion, il observa les enfants de Tiamat. Ils ressemblaient tous un peu à leur mère, plus particulièrement Ninlil qui avait son regard et son sourire. La jeune déesse avait une frange proche de celle de sa mère, les cheveux de couleur pêche douce, les yeux de la même couleur que Tiamat et la même couleur de peau, mais un petit peu plus sombre et pâle. Elle portait une robe bleue nuit, laissant ses épaules à nues avant de laisser place à une paire de manche ample, accompagnée d’un drap sur ses bras de couleur violet. Un tissu semblable à celui de sa mère passait devant son cou, formant un foulard, avant de passer par derrière et de se rejoindre en une ceinture desserrée. Lahamu et Lahmu se ressemblaient fortement, et possédaient les même cheveux que leur cadette, en plus bouclés et plus court. Lahamu les avaient d’un rose pêche un peu sombre, tandis que sa sœur les avaient de couleur turquoise sombre. Leurs yeux étaient d’un bleu pur, ainsi que la couleur de peau de Tiamat, plus foncé. Lahmu portait une robe d’un cyan clair et Lahamu un simple bas en drap bleu gris. Ki avait les cheveux d’un rose très prononcé, une peau ayant l’air brûlé tellement elle était bronzée, et ses yeux étaient de la même couleur que ceux de sa mère. Elle était vêtue d’une robe à manche courte violette, avec une brassière verte autour de sa poitrine, laissant les bras nus avant de s’arrêter aux genoux. Gestionna quant à elle, elle avait des cheveux longs et bouclés avec des pointes par-ci, par-là, se coupant droites de couleur vert sombre. Sa peau était bronzé sombre, contrastant avec ses yeux rosé. Une robe faite comme ses sœurs, de couleur verte passait avec un gros décolleté descendait jusqu’à ses genoux, avec une ceinture de tissu bleu nuit. Par-dessus, elle portait une veste bordeaux aux manches amples avec le bout de la même couleur que sa ceinture.

Tout en finissant de les observer, Seth écoutait les quelques informations supplémentaires qu’ils lui donnèrent tels que les cités où chacun était vénéré. Puis, les enfants de Tiamat, hormis Enlil, le remercièrent pour avoir accepté de venir en aide à leur mère. Le dieu du vent ne dit rien, les bras croisés et le regard agacé : « ses frères et sœurs étaient tous naïfs. » Avait-il pensé. Bien qu’il était au courant que l’égyptien avait protégé sa mère un bon nombre de fois depuis Larsa, il ne pouvait pas se résoudre à lui faire confiance. Enlil était persuadé que Seth préparait quelque chose.

Une fois fini, Anu coupa la communication en laissant le cristal s’éteindre avant de se tourner vers le jeune homme.
« Désoler pour le bordel de tout à l’heure…
— C’est bon t’inquiète. On est pas forcément mieux en Égypte. »

Le fils de Tiamat sourit face à sa réponse. Puis il proposa à l’égyptien de rester pour la nuit, la soirée étant déjà bien entamée. Anu demanda donc à ses serviteurs d’aller préparer le dîner et une couche pour leur invité, ces derniers ce trouvant être de petites créatures blanches, toutes faites de plumes avec une partie reptilienne.

Du côté de Tiamat, durant la journée, elle avait atteint Adab avec Ninkigu. Sur le trajet ils avaient pu discuter, permettant à la jeune femme de demander des nouvelles de son frère.

Après la réponse positive du draconien, elle s’était remémorée durant un instant son enfance. Bahamut qui évitait l’eau à cause de son pouvoir lié au feu, tandis que Tiamat et Apsû le taquinaient. Elle riait, avant de sortir de l’eau, nue, avec sa peau couverte de ses écailles roses et dorées, tandis qu’Apsû préférait rester dans l’eau. Leur grand frère les taquinait également avec ses flammes, tout trois s’amusant de ce jeu dangereux confrontant l’incompatibilité de leurs pouvoirs respectif.

A ce souvenir, Tiamat eut un sourire triste… Ces jours heureux et insouciants étaient loin derrière elle désormais… Lorsqu’ils arrivèrent à Adab, Ninkigu proposa une halte jusqu’au retour de Seth. Il avait amené la déesse ici afin de profiter du terrain d’entraînement de la cité. Après tout, la jeune femme était encore loin d’avoir le niveau pour combattre avec une arme. Mais grâce à Seth, elle avait pu acquérir une certaine maîtrise qui ne demandait qu’à être peaufiné.

Ninkigu lui avait donc passé un bâton, avant d’en prendre un également avant de tester ce qu’elle avait acquis avec l’égyptien, tout en l’aidant à s’améliorer jusqu’au soir. La déesse avait encore beaucoup de chemin à parcourir avant d’avoir les compétences suffisantes !

À suivre…

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Voici la fin de ce chapitre ^^
J'espère que les récits, et le contenue vous auront plus. 

Sur ce, je vous dis à dans 2 semaines pour le chapitre 13 ^^

Story of Chaos "the beginning" - Premier JetOù les histoires vivent. Découvrez maintenant