Chapitre 27

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Au second niveau, Seth avait fini par arrêter son entrainement. Cela avait duré toute la journée ! Il était épuisé après toutes ces tentatives… Humiliantes. Heureusement, il commençait enfin à prendre le coup de main ! Désormais, l’égyptien était assis dans le grand bassin remplit d’eau chaude, accompagné de Ninkigu et Bahamut. Il n'y avait rien de plus relaxant, qu’un bain chaud.

« Ça va, Seth ? L’entrainement n’a pas été trop dur ? demanda Bahamut. »

A cette question, le draconien ne put s’empêcher de pouffer au souvenir de l’entraînement désastreux de son ami. Ce qui fit rougir de honte Seth, lorsqu’il l’entendit, tandis que le frère de Tiamat regarda le jeune dragon, étonné. Il ne l’avait jamais vu ainsi, que ce soit à sa présence, ou à la présence d’une autre divinité !
« C’était plus dur que ce que je pensais… répondit Seth, d’une mine boudeuse.
— Ça c’est sûr ! pouffa Ninkigu. »

Seth l’éclaboussa aussitôt, faisant rétorquer le draconien qui donna une situation amusante Bahamut.

« Vous vous entendez vraiment bien, vous deux. Sourit-il.
— Hein ? firent les deux concernés en se retournant. Euh… On suppose ?
— Eheh… rit doucement Bahamut.
— En fait, Majesté… commença Ninkigu. Pourquoi avoir demandé à ce que ce soit moi qui entraîne Seth ? Non pas que ça me dérange. poursuivit-il. Mais je ne pense pas être le plus qualifié… Deinyolosvul le serait bien mieux, non ?
— Deinyolosvul !? Tu veux rire ! - s’offusqua presque Bahamut -. Non seulement il se croit le meilleur, mais en plus il est bien moins souple et agile que toi. C’est le pire entraîneur que Seth pourrait avoir ! affirma-t-il.
— Certes… Mais il est plus fort que moi. fit Ninkigu.
— Arrête de te sous-estimer, Ninkigu. fit le roi.
— Mais – !
— Arrête de le laissait te rabaisser. le coupa Bahamut. Tu es meilleur. »

Le jeune dragon baissa les yeux en pensant au concerné. Combien de fois Deinyolosvul l’avait humilié ? Bien trop… Et d’autant plus en publique…

Seth ignorait qui était ce draconien, mais en écoutant l’échange de Ninkigu et Bahamut, il se doutait que le concerné était un problème. L’égyptien tapota donc l’épaule à son ami, lui souriant doucement lorsqu’il releva la tête vers lui.

« Je ne connais pas ce Deinyolosvul, mais je doute qu’il ait ton courage. lui fit Seth.
— Mhm… Je ne sais pas… répondit Ninkigu, peu sûr de ce fait.
— Ninkigu, c’est pas n’importe qui qui se serait interposé entre deux dieux pour se prendre un coup à la place de l’autre, qui aurait pu être mortel. C’est pas n’importe quel non divinité qui se serait battu contre un dieu comme Marduk, même en présence d’autres divinités. Et ce n’est pas toutes les non divinités, ou même sous divinités qui parleraient avec les dieux de manière aussi familière. énonça Seth, sérieux. »

Face à ceci, Ninkigu resta silencieux. Son ami n’avait pas tort… Mais cette familiarité était naturelle chez lui, après tout, il avait été élevé par Gula qui est une déesse. Bien que les dov ont toujours trouvé cette naturalité intolérable. Tandis que le jeune dragon ne disait rien, Bahamut souria, fière du draconien, et ravi que Seth lui ait dit ceci.

Le temps passa tranquillement, où le trio resta dans le bassin, profitant de la chaleur, jusqu’à ce qu’ils soient interpellé par des pas. Ils se tournèrent, avant de voir Ereshkigal. Elle les salua et s’arrêta à leur hauteur.

« Alors ? Tu as pu avoir des informations ? lui demanda Bahamut.
— Oui. Et tu vas me devoir des explications, Bahamut. répondit-elle, d’un air sombre. »

Le roi dragon resta silencieux, son sourire ayant disparût. Il se leva sans un mot, attrapant son bas avant de sortir du bassin pour partir avec la reine des morts, sous le regard interrogateur de Seth et Ninkigu.

Du côté des deux dirigeants, ils marchaient le long du couloir vide, échangeant. Ereshkigal rapporta ce qu’Enki savait, laissant une mine sombre à Bahamut…

« Alors, Bahamut ? Tu étais au courant, n’est-ce pas ?
— En effet… Mais ce n’est pas tout. Avança le roi dragon.
— Bahamut… Si tu veux que nous continuions notre collaboration, tu me dois la vérité. Lança la reine, sérieuse.
— Je m’en doute… Mais attends que l’on soit à l’abri des oreilles. »

Le frère de Tiamat emmena donc la jeune femme à la salle du trône, où il activa un sort pour empêcher qu’on les entende en dehors.

« Apsû n’est pas réellement notre frère. commença Bahamut.
— Hein !?
— C’est une création des dieux anciens… Créer pour justement qu’il les libère. poursuivit Bahamut. »

Le roi dragon donna plus d’explications à Ereshkigal, cette dernière l’écoutant, ébahis. Tout ce qu’elle savait, et tout ce que les autres dieux savaient, se retrouvait remis en question… Elle n’aurait jamais imaginé tous ceci… Cependant, tout devenait clair désormais. Mais alors que la jeune femme restait silencieuse, et perplexe, Bahamut ayant terminé ses explications, il l’observa, d’un regard très sérieux, quasiment menaçant.

« Ereshkigal, tu ne dois parler de tous ceci à personne. C’est d’accord ? »

La reine des morts le regarda, ne pouvant qu’accepter face à cet air des plus tyrannique. Le frère de  Tiamat était sérieux. Mais, bien que la question de l’emplacement de la porte reste un mystère, ainsi que cette histoire de noirceur, la déesse avait une vague idée des réponses.

Sous le temple d’Enki, Apsû avait les jambes croisées et posées sur le bureau tout en parlant avec Marduk. Les sbires étaient tous de sortie, à la recherche de Tiamat, Seth et Ninkigu.

« Si ils sont chez les dragons, les sbires ne les trouveront pas. fit Marduk, assis sur un banc.
— Sûrement. Mais ils seront obligés de sortir de leur cachette. - lança Apsû -. Bahamut leur a certainement parlé à mon sujet… Ils iront chercher des réponses là où tout a commencé. siffla-t-il.
— Vous allez leur tendre un piège ?
— Évidemment ! Mais je serais d’avis de leur tendre à leur sortie du gouffre.
— Pourquoi ? questionna Marduk, n’en voyant pas l’intérêt.
— Disons… Qu’à l’intérieur, se trouve quelque chose qui affaiblira Seth. - siffla sournoisement Apsû -. Et le toutou de Bahamut sera affaibli par l’eau. ricana-t-il. »

Marduk se demandait de quoi pouvait bien parler Apsû à propos de ce « quelque chose »… Mais alors qu’ils échangeaient, le chef des sbires entra, laissant le dieu serpent lui lancer un regard sombre.

« N’es-tu pas censé chercher Tiamat ? siffla Apsû.
— En effet. Mais je vous amène quelqu’un qui voulait vous voir. expliqua le chef.
— Qui donc ? demanda-t-il, méfiant. »

L’homme serpent se décala donc, laissant une créature entrer : un aigle léontocéphale. Il possédait quatre ailes noires, son corps recouvert de plumes noirs, tandis que le pelage sa tête de félin était d’un gris sombre, et ses yeux d’un vert émeraude.

« Mais qui vois-je… - siffla Apsû, d’un sourire mesquin -. Que fait Anzû, le serviteur d’Enlil ici ?
— Disons que je vous amène un objet intéressant… fit Anzû. »

Le serviteur d’Enlil sortit de son plumage une tablette, laissant Apsû se lever pour la prendre, avec un sourire des plus satisfait.

« La tablette du destin… - souffla-t-il doucement -. Dois-je conclure que tu as l’intention de t’opposer à ton maître ?
— Le simple fait de l’avoir volé fait de moi son ennemi. – répondit Anzû -. Je souhaite d’avantage de puissance… souffla Anzû, désireux.
— Et bien, bienvenue dans nos rangs. siffla Apsû. »

Tandis que les trois divinités étaient perdues dans leur complotassions, le chef des sbires s’éclipsa, d’un air sombre…

« Maître… Les choses ne s’arrangent pas… A ce rythme… Les anciens seront libres… murmura-t-il, le regard effrayé. »

Du côté d’Apsû, ce dernier se rassit après avoir rendu la tablette à Anzû, avant de s’adresser à Marduk.

« Marduk, je vais te donner une mission.
— Laquelle ?
— Trouve la dernière clé du sceau.
— Celle de la porte ? questionna Marduk.
— Non. Une autre clé… J’ignore où elle est, et à quoi elle ressemble… Mais une chose est sûre, Bahamut la connait. »

Marduk se leva donc, avec un sourire d’assurance.
« Comptez sur moi pour la trouver… Mais et pour la porte ?
— Je sais où aller pour la trouver. – siffla Apsû, vicieusement -. Quant à toi, Anzû, j’imagine que tu veux les pouvoirs de Seth ?
— Évidemment. sourit avidement le concerné.
— Alors lorsqu’il se rendra là où tous à commencé, tu l’attendras à la sortie du gouffre. Tu auras l’avantage. siffla Apsû, avec son sourire mesquin. »

Au nid des dragons, au premier niveau, Tiamat aidait Gula a préparé ses remèdes, accompagnée d’Inlahul. Quelques heures auparavant, la draconienne avait repris son entraînement avec la jeune femme, jusqu’à ce qu’elles décident de se reposer. Les trois jeunes femmes discutaient de toutes sortes de sujets, ainsi que du fait que Ninazu avait décidé de rester pour la journée, afin de passer du temps avec son fils. Mais alors qu’elles rangeaient les remèdes, deux voix familières parvinrent aux oreilles Tiamat.

« Bonsoir, mère ! »

La concernée se retourna, avec les deux jeunes femmes, avant de sourire.
« Enlil, Gestionna ! »

Ses deux enfants s’approchèrent, la laissant la prendre dans ses bras, tout en saluant Gula et Inlahul.

« Que faites-vous ici ? leur demanda Tiamat, en se reculant.
— Ninazu m’a demandé de venir. répondit Enlil.
— Et vu q’Enlila m’a prévenue, j’ai décidé de passer pour voir Ningishzida. – rajouta Gestionna -. En fait, mère… Ça a été avec lui ?
— Bien sûr ! Il nous a été très utile. Sourit Tiamat. »

Gestionna sourit et partit avec son frère rejoindre les deux portiers. Ninazu les salua avec son fils, avant de laisser la fille de Tiamat l’embrasser tendrement, puis de s’approcher de Ningishzida pour le prendre dans ses bras.

« J’étais inquiète… - lâcha-t-elle -. Ereshkigal ne m’avait ni demandé, et encore moins prévenue… Heureusement que ton père s’en est occupé, avec du retard. fit-elle avait un léger regard de reproche envers Ninazu.
— Roh, ça va, chérie. Il est grand maintenant. répondit Ninazu, ne voyant pas le problème.
— C’est un dieu guérisseur, pas un combattant. grogna Gestionna, visiblement contrariée. »

Enlil les coupa avant que sa sœur ne poursuive ses réprimandes, d’autant que Ningishzida n’aimait pas voir ses parents ainsi. Mine de rien, Gestionna était protectrice avec son fils…
« Bref. Pourquoi m’avoir demandé, Ninazu ? demanda Enlil.
— Je voulais te demander une autorisation d’invocation.
— Pour ?
— Humbaba. Ningishzida ne pouvant pas combattre, invoquer des démons lui serait utile. Expliqua Ninazu.
— Le gardien de ma forêt !? s’exclama Enlil, visiblement peu ravi.
— Mais ça ne sera que rarement ! - tenta de le rassurer le fils d’Ereshkigal -. Je sais que tu en as besoin pour protéger ta forêt.
— Bon… -se calma le dieu du vent -. Seulement si nécessaire alors. »

Ninazu  le remercia avec son fils, tandis que Gestionna fit mine de réfléchir. Enlil décida de repartir, n’ayant rien à faire de plus ici, après avoir été salué sa mère. Ningishzida partit ensuite aider Gula à la demande de son père, le laissant seul avec sa mère. Puis Ninazu se tourna vers sa femme, qui le fixé, visiblement contrarié.

« Quoi ? Tu comptes le surprotéger à cause des invocations ? lui lança Ninazu.
— Ca dépend. Tu lui as appris pour Lilithu et Adart-Lilithu ? demanda-t-elle, en croisant les bras.
— Evidemment.
— Mais tu es fou ! Notre fils est un garçon ! Il risque gros en les invoquant ! s’énerva Gestionna.
— C’est un dieu comme nous. – avança-t-il -. Elles s’en prennent seulement aux humains.
— Il n’empêche que c’est dangereux. – souffla la jeune femme -. Quand est-ce que tu t’es dit que c’était une bonne idée !? Avec ça, notre fils va se retrouver en première ligne ! Il va être en danger !
— Gestionna. – commença Ninazu, en prenant sa main -. Notre fils a treize ans. Ce n’est plus un gosse. Je sais que tu ne veux pas faire comme ta mère et t’imposer pour protéger ton enfant, mais le surprotéger ne l’aide pas. Et puis, c’est lui qui me l’a demandé. lui expliqua-t-il, calmement.»

Gestionna le regarda, étonné. Elle ne voyait pas leur fils demander quelques choses comme ça… Lui qui était de nature timide, peureuse, et qui craignait les conflits… Tout comme son père par le passé.

« Chérie… Depuis le temps qu’on essaye de lui faire prendre confiance en lui, je pense que ceci est un bon départ. Cela prouve qu’il veut changer. Affirma Ninazu.
— Oui, mais…
— Tu devrais l’encourager, au lieu de le surprotéger.
— Hum… Mais je suis inquiète… »

Ninazu la prit tendrement dans ses bras, afin de la rassurer, tandis qu’elle le laissa faire.

Deux jours passèrent, durant lesquels Tiamat et Seth poursuivirent leur entraînement respectif. Chacun s’était amélioré, gagnant en souplesse, en agilité, et en diverses capacités. Cependant, l’entraînement leur avait fait perdre du temps… Près d’une semaine s’était écoulée depuis leur arrivée ici. Il leur fallait rattraper leur retard. Et pour se faire, ils allaient tout d’abord se rendre aux abysses « là où tous a commencé ». Mais avant leur départ, Gula les stoppa, tenant deux tenues dans les mains.

« C’est pour nous ? demanda Tiamat.
— Oui. Ils ont été fabriqués avec les écailles d’Inlahul et Ninkigu. Sourit Gula.
— Euh… fit Seth, visiblement perplexe face à cette information.
— Nos écailles sont solides. Nous autres dov perdons nos écailles, comme les animaux qui perdent leurs poils ou leurs plumes. Cependant, une fois tombés, à l’aide d’un fil spécial, nos écailles peuvent être cousues pour créer des vêtements. sourit fièrement Ninkigu. »

Les deux divinités remercia Gula, Ninkigu et Inlahul, avant de les enfiler. Tiamat mit donc la robe bleu nuit, possédant un fort décolleté où trois points violets se trouvaient de chaque côté, et tenue par deux larges bretelles. Elle descendait jusqu’à ses genoux, et avait en bas à gauche un symbole, faisant comme un S avec un rond en haut et en bas, de couleur violet clair. À ses bras, elle avait des manches transparentes, le haut tenue par des brassards dorée, comme ceux qu’avait Inlahul, et le bout possédait un peu de fourrure de la couleur des cheveux de la draconienne. À ses pieds, la déesse portait le même style que ce qu’avait Seth, mais le tissus noir était remplacé par du violet et de la fourrure.

Quant à la tenue de Seth, il avait retrouvé sa tenue de départ, celle que Tiamat lui avait donnée, mais à quelques différences près. En effet, en plus d’une partie violette et l’autre blanche, la tenue possédait des manches s’arrêtant un peu avant ses coudes, elle arborait un tissu doré. La veste qui descendait jusqu’à la taille, était tenue par une ceinture rouge orangé, où deux bouts de tissus dépassés, descendant jusqu’aux genoux de l’égyptien, de manière à cacher ses sacoches. Au centre de ces tissus, se trouvait un motif jaune, qui faisait penser aux plaques qu’avait Ninkigu sur le dessous de son corps. Mais il y avait également de la fourrure au bout, de la couleur des cheveux du draconien.

Le jeune homme sourit une fois habillé. Pour que le haut ressemble autant à l’ancien, Ninkigu avait dû en parler à Gula. Il est vrai qu’il aimait beaucoup sa veste blanche et violette ! Et cette nouvelle tenue était bien plus belle que celle qu’il avait depuis son retour d’Égypte.

Tiamat regarda Seth, lui souriant et lui faisant part qu’elle le trouvait très beau dans cette tenue, tandis que le jeune homme rougit en la voyant.

« Et toi tu es magnifique… souffla-t-il timidement. »

La jeune femme rougit, le remerciant, tandis que Seth vint l’embrasser tendrement avant qu’ils aillent rejoindre Ninkigu à l’entrée. Le draconien reprit sa forme draconique et quitta le nid avec le couple sur son dos, volant à travers les nombreux tunnels jusqu’à la sortie. Tiamat s’occupa ensuite de guider le jeune dragon vers leur destination.

Survolant la vallée, les visages du couple affrontaient l’air, tandis que l’égyptien regarda en bas, stupéfait. Voir la nature défiler à cette vitesse, et la survoler était impressionnant. Il pouvait voir toutes les formes que cette dernière formait, que ce soit avec les palmiers, les fleurs, l’herbe, et d’autres éléments naturels. Ou bien encore avec la forme que prenait les cités avec leurs habitations et leurs ziggourats. Certaines formes ressemblaient à des labyrinthes, d’autres à des motifs, et… Une zone de roche sombre avec une rivière formait un long serpent.

A l’instant où Seth le vit, Tiamat fit s’arrêter Ninkigu. Ils étaient arrivés…

Que vont-ils découvrirent dans les entrailles de la terre ? Quoiqu’il en soit, ce qu’ils trouveront, sera à l’origine du commencement…

À suivre…

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Voilà le dernier chapitre de 2019 ^^

Que peut bien avoir raconté Bahamut à Ereshkigal ? Comment peut-il savoir ce qu'il lui a expliqué ?

Anzû aura profiter de l'absence d'Enlil pour lui dérober un objet des plus importants... Mais aussi des plus avantageux pour Apsû... Sans oublier qu'il souhaite tout comme Ninurta au tome 1, récupérer les pouvoirs de Seth...

Que vont trouver nos héros là où tous a commencé ? Qu'y-a-t-il là bas qui pourrait affaiblir Seth ? Parviendront-ils à venir à bout d'Anzu malgré ce que prétendait Apsû ?

Que peut bien être la clé manquante ? À quoi va-t-elle réellement servir ? Marduk la trouvera-t-elle?

Quant au chef des sbires d'Enki, il était des plus inquiet... Leur maître n'étant plus là, et devant protéger les siens du courroux d'Apsû, il ne savait pas comment agir...

Les réponses viendront au fur et à mesure de cette année 2020 qui arrive ^^

Sur vous dit à dans 3 semaines pour le chapitre 28 ! ^^ merci de votre lecture !

Story of Chaos "the beginning" - Premier JetOù les histoires vivent. Découvrez maintenant