Une Vie De Merde

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1h plus tard

PDV changbin :

Avec Félix on était sur le trajet pour aller voir Ienni et chan. Souvent dans les bus les gens lâcher des « oh le pauvre » ou « il sont gay ces deux-là, beurk » pas vraiment discret quand ils nous voyaient. Sa commencer à vraiment me taper sur les nerfs. Quand on est descendu du bus il y a un monsieur asse âgé nous a accosta et nous a dit :

Papi : hey les deux jeunots.

Changbin : oui ?

Papi : vous êtes en couple, parce que deux hommes ensemble ce n'est pas normal. Puis avoir un petit ami handicaper son doit être fatiguent et vous deux ensembles c'est déguelace.

Il nous fit une tête semis outré semis dégoutée. Là je commencer à vraiment bougonner intérieurement.

Changbin : ta gueule le vieux. On fait ce qu'on veut ce n'est pas ton problème, conard.

Je lui fis un bon gros doigt d'honneur et repartit sans le regarder. Et puis les politesses pour se vieux crouton je l'ai es très vite oublier. Je sotie de mes songes quand j'entendis des sanglots qui provenez de Félix. Je m'arrêtai et me mis face à Félix qui pleurée à chaud les larmes. Je m'accroupis et lui caressa les joues.

Changbin : chaton, pourquoi tu pleur ?

Félix : le vieux à raison, un petit ami handicaper c'est fatiguant.

Changbin : hey chaton, déjà tu ne l'écoute pas le vieux papi grincheux c'est qu'un conard et puis peut-être que c'est plus fatiguant d'avoir son petit ami handicaper. Mais moi je m'en fous, je t'aime plus que tout au monde, point bar. M'en fout que tu sois handicapé ou pas. D'accord, donc mintenen tu écoute plus ce genre de personne.

Il me fit oui de la tête, je le pris dans mes bras et le berça doucement et lui sécha ses larmes. Je le regardai dans les yeux puis posa mes lèvres sur les sienne. Il répondit à mon baisé, je t'intensifiai puis on se sépara par manque d'aire.

On arriva à l'immeuble de chan, on rentra mais on avait oublié qu'il n'y avait pas d'ascenseur.

Félix : merd.

Changbin : j'ai une solution.

Félix : va si c'est quoi ?

Changbin : je vais te porter jusqu'au 2eme étage puis je redescendrais chercher le fauteuil.

Félix : t'es sur, chui lourd quand même.

Changbin : mais non t'inquiète mon cœur.

Je me mis devant lui, me retourna et m'accroupis.

Changbin : monte sur mon dos, accroche-toi à mes épaules

Il enroula ses bras autour de mes épaules, me leva unpeu et attrapa ses jambes des deux cotée de mon bassin. Puis je me relevaientièrement et commença à marcher jusque à leur appart. 

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un nouveaux chap ^^