L'Orpheline Du Destin (Wattys2019)

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« Si Vous Attendez Toujours Qu'on Pense À Vous, Qu'on Vous Comprenne, Qu'on Vous Aide, Qu'on Vous Aime, Vous Serez Jamais Heureux Car Chacun À Ses Propres Problèmes. Alors Mes Amours Soyez Comme Un Soleil Qui Rayonne Sans Rien Demander À Personne, Il Réchauffe De Sa Douce Chaleur Tous Ceux Qui Le Souhaitent Et Ne Demande Rien En Retour »

DANS LA PEAU DE IYANE

Abdoul s'il te plait arrête tu me chatouilles là 😂😂😂

C'était ça le deal continu Abdoul en la chatouillant.

Iyane était morte de rire. Elle n'arrivait plus à parler tellement elle était morte de rire.

Aujourd'hui après le ménage Iyane a préparé un bon yassa poulet

Et c'est après le repas de midi qu'ils s'étaient mise à se chamailler comme des enfants. Leur salon était transformé en un champ de bataille et les coussins volés de partout. Ils s'amusaient comme des enfants.

Oh quel couple formidable !

Chérie dis moi tu veux manger quoi au dîner

Je sais pas chéri moi je peux rester sans manger ni boire du moins que tu es là c'est super.

La nuit Iyane a voulu aller à la plage pour manger de la grillade de poisson et Abdoul était totalement d'accord avec elle. Alors C'est vers 21h qu'ils ont quitté leur appartement pour aller à la plage. Ce soir il ont décidé de prendre une tente pour être plus à l'aise. Après avoir savourer leurs bon Poissons Iyane sort les boissons qu'elles avait acheté. Il était entrain de boire son boisson quand Iyane la bouscule et aussitôt tout le contenu du jus se verse sur lui. Avant même qu'il eut le temps de réagir. Iyane était déjà hors de la tente. Et c'est parti pour une autre chamaillerie. Elle était entrain de courir quand Abdoul la rattrape.

Excuse moi Chéri je suis désolée dis Iyane en mettant ses bras sur son visage.

Regardez moi celle la 😂😂 mais aujourd'hui tu vas le payer très cher. Aussitôt dis aussitôt fait Abdul la soulève comme un Bébé et se dirige vers la mer. Iyane n'arrêtait pas de crier et de se débattre dans les bras de son homme, mais rien Abdoul continuait toujours d'avance directeur la mer.

Je vais te jeter dans l'eau tu vzs rien comprendre.

Oh mon Dieu je suis désolée mon amour.

DANS LA PEAU DE KALTOUM NDIAYE

La solitude est une chose bien étrange. Elle vous envahit, tout doucement et sans faire de bruit, s'assoit à vos côté dans le noir, elle vous caresse les cheveux pendant votre sommeil. Elle s'enroule autour de vous, vous serre si fort que vous pouvez à peine respirer, que vous n'entendez presque plus la pulsation du sang dans vos veines, tandis qu'elle file sur vos peau et effleure de ses lèvres le fin duvet de votre nuque. Elle s'installe dans votre cœur, s'allonge près de vous la nuit, dévore comme une sangsue la lumière dans le moindre recoin. C'est une compagne de chaque instant, qui vous serre la main pour mieux vous tirer vers le bas quand vous lutter pour vous redresser. Vous vous réveillez le matin et vous vous demandez qui vous êtes. Vous n'arrivez pas à vous endormir le soir et tremblez comme une feuille. Vous doutez, vous doutez, vous doutez. Je dois, je ne dois pas, je devrais. Pourquoi je ne vais pas. Même quand vous êtes prêt à lâcher prise. Quand vous êtes prêt à vous libérer. Quand vous  êtes prêt à devenir quelqu'un de nouveau. La solitude est une vielle amie, debout à vos côtés. Dans le miroir, elle vous regarde droit dans les yeux, vous met au défit de mener votre vie sans elle. Vous ne pouvez pas trouver les mots pour lutter contre vous même, lutter contre les mots qui hurlent que vous n'êtes pas à la hauteur, que vous ne le serez jamais vraiment, jamais vraiment. La solitude est un compagne cruelle maudite. Parfois elle ne veut pas vous lâcher.