Chapitre 45

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C'est les vacances d'hiver. Comment dire que je suis clairement déprimée dés récents événements. J'ai plus trop envie de tuer Koro maintenant.

Je veux dire, avant je pensais que c'était un super méchant qui en avait après la Terre, sauf que c'est pas du tout le cas. Du coup, à part pour sauver l'humanité et la Terre, il y a pas de raison de le tuer. Si il était pas une expérience raté de l'autre taré de Shiro, il pourrait vivre librement.

Ça me déprime. Je veux pas le tuer mais je suis obligée. Depuis quand je me suis autant attachée au prof sérieux ?

-Tu ne manges pas Amako, c'est ton plat préféré, dit soudainement ma mère alors que moi et ma famille sommes à table.

-Désolé maman, j'ai pas très faim, mumurais-je.

-Mais tu as dit la même chose hier.

-Pardon de gâcher la nourriture, il faut juste que je réfléchisse à des trucs.

C'est donc comme ça que j'ai quitté la table, et que dans l'après-midi je suis sortie. Je dois m'aérer l'esprit sinon je pense que mon cerveau risque une fois de plus d'exploser.

Quand j'y pense mon cerveau connaît trop de fois le risque de finir en purée, je devrais faire quelque chose pour ça. Ouais ça pourrait être pas mal de réfléchir à une solution avant de choisir ce que je fais au sujet de Koro.

C'est pas comme si j'avais essayé de retrouver l'autre Shiro de mes deux, mais le prof Karasuma a expliqué la situation à mes parents et leur on demandé de garder un oeil sur moi.

Au final, ils ont pas vraiment eu besoin de me surveiller. Ils m'ont dissuader de le faire.

Sur le coup la dernière fois, mes émotions prenaient vraiment le dessus, et j'avais des idées complètement suicidaire.

Heuresement sur je suis revenue à la raison attends. Enfin, ça m'empêche pas de vouloir butter l'autre. Il me faut juste une organisation c'est tout.

Après tout les barbapapas m'ont envoyé pour régler leur problème diplomatique, donc ça devrait pas être un problème pour moi de créer une stratégie.

-Eh pousse toi ! Depuis tout à l'heure t'es sur la balançoire ! S'exclama un petit garçon mécontent.

-Mange tes morts ! Criais-je à l'encontre du garçon.

Ah oui je me suis posée sur une balançoire dans un parc du quartier qui d'habitude est pas fréquenté mais évidemment, il a fallu qu'un sale gamin me fasse chier. Non mais sérieusement, je me demande si la vie se moque pas de moi.

Les barbapapas ont dû m'envoyer sur Terre parce que enfaite il avait peur que la vie se moque d'eux à leur tour. Tiens, je savais pas que c'était contagieux.

Bref, après ma fabuleuse insulte le petit garçon s'est enfuie en chialant. Parfait, je vais pouvoir être tranquille. Mon cerveau a des insultes qui émane sympathique dit donc.

Enfin, faut vraiment que je trouve une solution. Dans le groupe de classe, personne ne parle de tentative d'assassinat, on dirait que les élèves évitent le sujet.

Sauf que je pense que c'est pas en évitant le sujet qu'on va régler le problème. Il faut prendre exemple sur moi, quand les barbapapas avaient un problème avec les tomates transgéniques, elles ont directement envoyé quelqu'un pour régler le conflit.

C'est nul de tourner autour du pot alors qu'on pourrait régler le problème en fonçant dans le tas. Quand j'y pense, on me reproche souvent ça. Je crois que c'est ce qu'il avait dit Karma.

Une barbapapa déjantéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant