Hedera. Tome 4 // Terminée

~ 8 ~

~ Nausica ~

Je regarde le sang couler des mains du garçon ou les couteaux se son planter. Pour une fois se n'est pas moi qui torture mais je regarde Clarisse le faire avec plaisir. Se garçon a essayer de me tué, il va le regretter.

Cela fais trois heures que nous sommes rentrée, trois heures qu'on le torture. Une bonne partie de la nuit est bien entamer mais nous n'avons toujours aucun indice sur sa base, sur monsieur Hedera, sur le centre de Hedera, sur Eugène, Misha ni même Elsa. Tout se qu'il fait, c'est de nous rire au nez.

Retenu sur une chaise en bois, entouré d'une corde qui lui cisaille la peau, malgré le sang qui coule devant c'est yeux, malgré les hématomes, un œil gonflé et tout le reste, il rigole et ça me met encore plus en rogne.

- ou est Hedera ? Je hurle en perdant mon sang froid.

Il explose encore de rire. Je me lève et lui asseigne une baffe tellement forte que j'ai l'impression que sa tête fais un tour sur lui même. Malgré tout il continue de rigoler, je lui donne une autre baffe qui le renverse en arrière.

- écoute. Dit-il en crachant du sang. Crois-tu vraiment que quelqu'un comme moi, qu'on a mis à patrouiller seule. Crois tu vraiment que je sais tout se que tu me demande ? Ils ne savent pas quoi faire de moi. Ils me mettent la ou il y a un trou de libre. Dit il soudain d'un ton devenu sérieux.

Je le regarde un moment. Il est toujours tenu assis mais tomber sur le côté et me regarde de biais.

- je sais bien tout ça. Tu n'es rien. Dis-je en grognant.

Il grogne à son tour mais voyant mes trais du visage changer, il baisse les yeux en signes de soumission.

Clarisse le releve et le remet droit sur sa chaise, des grimaces de la part du garçons m'informe qu'elle n'y est pas aller avec des pincettes.

- dit moi ou est t'as base, je m'occuperais du reste et j'arrête de te persécuter.

Il ne répond rien. Je n'arrive à rien.

- dit ou c'est !

- a quoi bon ! Dans les deux cas tu me turas quoi qu'il arrive.

- certe, mais pense que dans l'un des deux cas, t'as souffrance s'arrêtera plus rapidement. Dis-je deux doigts en l'air pour le faire réfléchir.

Il se rembruni et semble réfléchir un instant.

Quand enfin j'arrive à avoir une adresse de sa part, je me sens requinquer mais dans le doute d'une fausse adresse, je préfère le laisser en vie jusqu'au matin.

Je l'enferme dans une chambre avec Clarisse comme surveillante et je fais les cents pas dans le séjour sous les regards de Maya et Pati.

- OK, j'ai une adresse... Mais va savoir si il ne me mène pas en bateau encore une fois... Je vais y aller.

- maintenant ? Me demande Pati peu rassuré.

- oui. Je dit d'un ton déterminer.

- mais on est en plein milieu de la nuit et des flics patrouille à cause de toute cette agitations qu'on a créé sur le pont.

- il fait nuit je te l'accorde mais c'est même mieux et pour les flics, je ne me ferais pas prendre, par contre...

Je continue à faire les cents pas en réfléchissant.

- il est vrai que nous avons attirer beaucoup trop l'attention. Je vais partir voir la base en attendant préparer les affaires, nous partirons demain matins.