Hedera. Tome 4 // Terminée

~ 26 ~

~ Cayetana ~

Le vaccin est positif, on a réussi. Enfin, les scientifiques on réussi.

Je suis rester du début jusqu'à la fin au chevet de Adeline malgré mon marché avec Becca. Je voulais lui tenir la main une dernière fois et je voulais prié pour que le vaccin fonctionne sans effets secondaire désagréable. Ça n'as pas été le cas...

J'ai eu peur, car le vaccin c'est mis à combattre l'adn étranger pendant plusieurs heures et Adeline à subit des convulsions incontrôlé, j'ai dû la laisser tranquille une fois les convulsions diminué et qu'elle c'est ensuite endormie de fatigue.

Ils ont ensuite prélevé son sang et contrôler son adn qui est devenu neutre.

Test réussi.

Je suis heureuse comme malheureuse. Ça y est, elle est libre. Peut-être qu'elle c'est effectivement servi de moi et donc elle va pouvoir vaguer à ses occupations et quelque part je l'espère pour ne pas avoir à lui brisé le cœur. Mais si c'est le cas, je m'en voudrais à vie, car c'est une fille bien et elle me plaît. Becca aussi me plaît mais c'est différent.

Je me laisse tiré en avant par Becca jusqu'à sa chambre de scientifique, elle est toute contente et exciter, elle me saute dessus et m'embrasse comme elle ne l'a jamais fais, elle commence à me déshabillé mais je l'arrête.

- je suis désolée, mais je veux voir comment va Adeline.

- Mais elle va bien. Me Dit-elle en levant les yeux au ciel.

- je veux m'en assurée.

- OK, très bien, vas-y, moi je t'attend ici...

- je reviens vite.

- tu as intérêt, je vais t'attendre nu comme un ver.

C'est à mon tour de levé les yeux au ciel. Le sex est un pouvoir. Rien que ça et ça nous fais changer d'avis, j'imagine déjà notre séance de galipette mais je me ravise, je veux voir Adeline.

- très vite !

- tu as intérêt ! Cris-t-elle quand je claque la porte derrière moi.

Quand j'arrive dans la chambre de réveil de Adeline elle est debout et elle me saute dans les bras.

- ils ont réussi, je suis guéri. Me Dit-elle en prenant mon visage dans ses mains. Je vais pouvoir t'embrasser comme jamais.

Je lui sourie, lui retire les mains de mon visage et la regarde avec souffrance. Je me prépare mentalement à la faire souffrire et ça m'est insupportable.

- il faut que je te dise quelque chose.

Son sourire s'efface. Je lui explique le marcher que j'ai fais et ces yeux bouillonne de colère.

- c'est du chantage. Pour qui elle se prend cette fille.

- j'ai accepter.

- j'aurais su ça, que je t'aurais dit non pour le vaccin. Dit-elle énerver.

- je ne pense pas, maintenant tu es libre, tu es humaine sans anomalie adn, tu peux faire se que tu veux.