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~ Nausica ~

On est arrivés juste à temps, ils étaient en train de se faire littéralement massacré. Après avoir sauvé Tana in-extremiste, je suis aller à la rescousse de Pati qui c'était pris elle même au piège avec sa toile d'araignée. Quand elle m'a vu son visage c'est illuminé comme si j'étais la sauveuse du siècle. Se qui est faux bien sur. Le sang des aliens coule dans le mien et celui de Misha mais peu importe, mes amis je les sauves avec fierté.

Quand Misha et moi somme dans les parages les aliens hésite, ne savent plus quoi faire, car ils remarquent en nous les même familiarité qu'eux. Ils agitent les bras vers nous dans des gestes agressifs mais pas assez pour nous atteindre et nous faire du mal.

Ils reculent en crachant dans notre direction, certain prenne la fuite, d'autre, les plus téméraires, ne lâche pas l'affaire mais entre Misha qui leur envoie des mots en télépathie et moi qui leur envoie de la télékinésie dans les pattes, ils prennent peur.

Je saute sur une étagère d'un rayon avec légèreté et me met à courir à côté d'un dernier alien qui prend la fuite, je m'arrête une fois arrivé au bout de l'étagère puis le regarde sans aller en reprenant mon souffle.

Je me retourne et constate les dégâts. Étagère renverser, conserve éventré, je crois qu'il y a des coéquipiers de Tana avec des blessures grave, je ne sais pas s'il y a des morts, seul point positif, le brouillard de poussière c'est un peu dissiper à cause du remu ménage. Les quelques expériences qui nous on suivis, reste en groupe dans un coin de la pièce après avoir combatu ensemble.

Je saute de mon étagère et je suis tout à coup happé par une Maya hyperactive. Elle enlève son masque puis ne me lâche plus.

- Ont savaient que tu étais vivantes !

Elle me sert fort, si fort que j'ai l'impression que mes os vont craquer, elle est bientôt rejoins pas Clarisse pleine d'humanité qui me sert à son tour et Pati qui me fait une accolade pour se retenir de me casser les os qui me reste.

- toi claqué ? Jamais. Me Dit-elle en rigolant.

Ma mère arrive après avoir embrassé Misha et m'embrasse à mon tour les larmes aux yeux, puis mon père viens à son tour, en enlevant son masque à gaz doucement, l'air de rien. J'attends des escuses, je veux qu'il me dise que j'avais raison depuis le début. Chose qu'il ne fais pas. Il me tapote l'épaule et me dit simplement "bravo à toi".

C'est ridicule. J'hausse les épaules et me tourne dos à lui. Je croise le regard de Tana assise contre un mur en train de se faire soigné l'arcade sourcilière, ses coéquipiers blesser à côté d'elle, ou en train de se faire enmener dans les voitures.

- comment vous nous avez trouvé ? Me demande t'elle.

- c'est Misha, il a entendu les... Ils vous a entendus crié et les coups de feu.

Cette réponse semble lui convenir car elle ne dit rien d'autre, se laisse soigner et se redresse.

- ne trainons pas ici, ils risquent de revenir. Prenons vite se qu'on a besoin et soignons nos blesser dans les véhicules. Dit-elle d'un ton autoritaire.

Les hommes autour d'elle s'exécute tandis que Pati, Maya et Clarisse me traîne jusqu'à une voiture. Je vois mon père et ma mère aller dans un véhicule à l'arrière, puis les expériences qu'on a ramener dans le dernier véhicule de la file, tandis que Pitt et Misha font coulisser la porte du notre. Je m'assoie confortablement sur un des sièges en cuire tandis que tout le monde prend place, enlève leurs masque et enclenche la climatisation. Tana claque la porte de devant côté passager puis se retourne vers moi.

- Pati trouve lui un masque... et des vêtements, pour Misha aussi. Dit-elle en regardant mon états crasseux.

Il est vrai que je n'ai pas vraiment pris de douche dernièrement. Pati se glisse à l'arrière et j'en fais de même tandis que Pitt prend ma place au milieu. La voiture se met en route quand je commence à enlever mes vêtements à l'arrière du véhicule avec Misha.

C'est un bonheur de changer de vêtement, j'étais vraiment dans un états sale et crade, et rien que l'odeur que je devais me trimballer devais être insupportable au nez des autres quand ils ont enlever leurs masque à gaz.

Elle me tend une combinaison noir, la même que tout le monde porte et je me glisse dedans avec bonheur. L'odeur propre de lessive emplie mon nez. Elle cherche ensuite des chaussures dans des cartons et me lance au bouts d'un moment une paire de rangers montante avec coque. Je me les lasses avec plaisir quand elle me donne ensuite une arme blanche à mettre à la ceinture. Je ne me fais pas prier.

C'est seulement quand elle me tend le masque à gaz que je tire la gueule.

- y a vraiment besoin de ça ?

- quand même oui. Dit-elle en haussant les épaules.

Je le prend avec retissance et me le glisse au bras pour le moment. Je suis rassurer de voir que Misha tire la même tête que moi pour le masque mais il ne fais aucune objection.

On se glisse tout les trois dans les fauteuil du fond et je me laisse aller contre la portière. Je vais enfin pouvoir dormir un peu, d'un sommeil profond et réparateur. Avant de tomber dans les bras de morphee, je me retourne vers Pati.

- on fais bien route vers la ville de Hedera ?

- oui, mais à chaque ville nous nous arrêtons pour chercher des survivants.

Misha doit sentir ma nervosité car il me parle soudain en télépathie.

Ne t'en fais pas Nausica, on y arrivera bien à un moment où à un autre.

J'essaye de faire travailler mon muscle et de lui répondre à mon tour mais je n'y arrive pas. Je penche ma tête en arrière et lui fais non de la tête en levant les yeux au ciel. Je tapote mon poignet pour lui montrer qu'on a pas de temps à perdre.

Nausica, sois résonnable, ils faut sauvé le plus de monde possible, je sais que tu veux retrouver Eugène le plus tôt possible, mais comme je te l'ai dit, il ne risque rien.

Je grogne discrètement et me laisse tombé contre la portière. En attendant, je vais dormir.

Hedera. Tome 4 // TerminéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant