Hedera. Tome 4 // Terminée

~ 13 ~

Vingt-quatre heures avant les missiles.

~ Elsa ~

- Bordel de... Bande de... Vous servez à rien !

Je cris contre Taylor et Gregory, ils m'avaient promis de garder nos prisonnier avec le plus grand soin mais ils ont fais n'importe quoi. Je n'ai plus le temps pour courir dans toute les villes à la recherche d'une aiguille dans une botte de foin. Bientôt, les missiles tomberont. Bientôt, il y aura l'apocalypse sur terre. Il est hors de question que j'aille mettre ma vie en danger à cause de deux pauvre idiot. Maintenant, il va falloir faire profil bas. Si Hayden ou son père le créateur l'apprend...

Je m'arrache une touffe de cheveux orange.

- mais pourquoi... Pourquoi, j'ai deux nul avec moi. Dis-je en montrant d'une main Taylor et Gregory. Je devrais vous envoyez les cherchés même avec la menace des missiles !

Ne parle pas de Taylor comme ça. Me cris la voix d'Elsa dans ma tête. Il a toujours été la pour moi.

Je ricane.

- pour nous tu veux dire.

Tu as toujours préféré Gregory toi, laisse Taylor tranquille la Renarde.

Je rigole de plus belle.

Taylor avec son air abattue et Gregory avec son air malicieux, même quand je cris. Oui, il n'y a pas photo.

- tu as raison, je le préfère. Je dis en me retournant vers le miroir.

Je fixe mon reflet, sourie et hausse les épaules.

Je vois Taylor et Gregory se jeter un œil d'incompréhension. Je me retourne et les regardes un a un.

- Quoi ?

Taylor hausse à son tour les épaules. Je lève les yeux au ciel.

- vous êtes vraiment deux mec complètement incapable de rien...

Je m'arrête de parler en voyant les yeux de Gregory se dilaté.

Tu vois tu l'excite à l'engueuler... Vous êtes deux maboules.

- oh mais tais toi ! Je cris.

- j'ai rien dit. Répond Gregory.

- mais c'est pas à toi que je parle Black Panther c'est à la voix dans ma tête ! Je hurle, en claquant la porte de mon appartement derrière moi.

Je préfère m'éloigner de ces deux incapable pour me détendre avant d'aller voir le créateur. Je marche dans les rue de la ville d'Hedera d'un pas trop rapide et je m'arrête pour reprendre mon souffle. C'est pas le moment pour perdre son sang froid.

Je reprend le pas et redresse la tête pour regarder autour de moi. La ville a bien changer, des murs on été ériger autour de nous qui entour le périmètre pour nous protéger et je vois des centeine de techniciens s'activer à poser et monter du matériel dernier cris sur tout le rebord. Il est censé y avoir un dôme de protection au dessus de notre tête quand les missiles exploserons sur la  terre.