Hedera. Tome 4 // Terminée

~ 27 ~

~ Nausica ~

Misha les as tous réveiller un par un, moi, je me fais toute petite dans mon coin mais pour le moment ils ne se souviennent d'absolument rien, c'est un bon point pour moi.

Mon frère prend tout en main, il donne les ordres, chacun s'exécute et sans discuter, malgré leur attitude animal qui surgissent en premier de la reprise de conscience. Ce n'est pas la même chose avec moi, si je donne des ordres, à ma façon, c'est une dictature, ça façon a lui, c'est un chef, un bon chef. J'en suis un peu jalouse.

Il arrive à mettre tout le monde dans sa poche d'une manière simple et gentil, il est charismatique, beau et talentueux, il a tout pour plaire. Ces ordres son net et précis et tout le mondes les suis sans dire un mot. Moi même je suis sous son charme, il me dit de faire si, je le fais, il me dit de faire ça, je le fais et sans me plaindre ni contester son autorité. Je m'exécute.

Une fois sur que tout le monde est bien réveiller, et assez apte à marcher pour remonter à la surface, nous nous suivons les uns derrière les autres jusqu'à la cage d'ascenseur et nous mentons tranquillement entre les gravats en faisant attention de ne pas déplacer un rocher qui risque de crée un éboulement sur nos tête.

Au bout d'un interminable temps, Misha nous fais passer par une ouverture ou les portes d'ascenseur son rester à moitié ouverte, il se retourne vers nous et nous fais signe d'attacher nos morceau de tissus, qu'il nous avais demander d'avoir dans le bunker, sur notre nez. On s'exécute tous en nous regardant les uns et les autres. Nous ressemblons à une bande de jeune délinquants cagouler.

- gardé les biens sur votre nez car comme je l'ai dit toute à l'heure, l'air est mauvais.

On acciestes tous et nous le suivons encore une fois dans les décombres. Il me jette régulièrement des coups d'œil comme s'il avait peur que je face une bêtise ou que je disparaisse. Moi aussi je lui jette des coups d'œil, mais pas pour la même raison, je l'envie c'est un homme bon, gentil, tout mon contraire. On se ressemble mais en même temps on est très différent, comme si on faisais partie d'une même pièce de monnaie, mais que chacun est d'un côté, il est du côté face, je suis du côté pile. C'est mon yang et je suis son Yin.

Je sais maintenant que quoi qu'il arrive, nous nous quitterons plus. Nous avons besoin l'un et de l'autre. Je pense et j'en suis certaine, que nous nous complétons.

Il est gentil, je suis méchante. Tout le monde l'aime, moi, tout le monde me craint. C'est comme ça, il faut que je l'accepte.

Les murs autour de nous son bancal, toute les fenêtres on été soufflé, tout les meubles son éparpillés, les fils électrique pendent des plafonds et de la poussière obscurci l'atmosphère autour de nous. Je comprend mieux le morceau de tissus sur mon nez.

Quand nous réussissons à sortir des décombres, le monde n'est plus se qu'il était. Je ne reconnais plus rien. Je dois cligner plusieurs fois les yeux à cause de la lumière du soleil qui me brûle malgré les nuages gris qui le recouvre.

Les immeubles sont effondré, les voitures retourné, la poussière recouvre tout les sols et crée un brouillard autour de nous. Il n'y a plus âme qui vie, cette image apocalyptique me désole. Je suis pas une sainte mais jamais je n'aurais voulu une tel chose. Je grogne, et je sens mes griffes et mes cros se detracter dans ma bouche. J'ai hâte de retrouver le créateur et de le faire souffrir, cette homme inhumain ne mérite que ça.