~ 22 ~

82 9 0
                                    

~ Nausica ~

La situation ma dépasser. Je suis par terre, à genou dans une marre de sang. Je regarde mes mains rouge de sang, et pause mes yeux sur mes griffes longue et fine. J'essuie une larme qui me coule sur la joue en laissant à tout les coups une traîner rouge sur mon visage.

Ce sang n'est pas le mien, ce sang appartient aux expériences qui gisent à terre, mort, autour de moi.

J'ai ouvert la trappe plus tôt que prévu car la situation devenais incontrôlable. Je ne sais pas si l'air était toxique ou pas je n'ai pas sentie de différence, le scientifique m'a seulement mis en garde et de ne surtout pas sortir encore du sous sol.

Mais j'étais obliger d'ouvrir la trappe, il nous manquer trop de provisions et entre l'agressivité, la soif et la faim des expériences, se n'étais plus possible. J'ai décidé de cryogeniser les plus incontrôlables avec l'aide du scientifique. C'était un secret, car, qui veux retourner dans ces cercueils glacé en verre ?

Malgré tout, je n'avais pas le choix, et j'ai menacer les expériences que les perdants pendant les combats serais enfermer dans des cellules. Il y en a eu beaucoup, plus de la moitié y est passer, que nous avons réussi à  cryogeniser. Seulement, le doute c'est installer, et ça à encore plus déraper.

Tout le monde c'est méfier des uns et des autres et la nourriture restante y est passer rapidement.

Au final et malgré l'interdiction à l'étage de la cryogenisation, les expériences restante sont venu en masse et ont découvert le supterflug, ils ont abattue le scientifique puis se sont retourner contre moi.

Je ne voulais pas les tués, se n'étais pas le but. Je ne contrôle simplement pas mon pouvoir d'alien à cent pour cent et dans la panique et le surnombre, entre mes coups de griffes, mes morsures, mes coups de poing bien placer et mon pouvoir, je les ai tous tués. Ils ne méritaient pas ça.

La situation ma dépasser. Je me prend le visage à deux mains et reste un moment accroupi au sol. Je suis un monstre, pire que le créateur. Je n'étais déjà pas fière de cryogeniser tout le monde mais maintenant je me sent tellement nul. Je suis mauvaise, je ne mérite pas de vivre.

Je m'attrape les cheveux qui nage dans le sang au sol et les releves en chignon malgré qu'ils soient imbibé. Je soupir renifle et me remet debout. Je suis seule maintenant, il n'y a plus personne avec moi. Ils sont tous cryogeniser ou mort. Je ne sais même pas si l'air est respirable mais maintenant, je m'en fou. Que je meurt ou pas, je m'en fou.

Je me dirige vers la porte des escaliers pour remonter à la surface d'un air absent. J'irais dehors et je prendrais une décision pour ceux qui son cryogeniser, en fonction de l'air et l'état des lieux.

Je pousse la porte en me tenant une côte. Je doit en avoir une de casser mais je suis trop fatiguer et trop pleine d'émotion pour qu'elle se régénère complètement. Je m'en fou.

Je grimpe les marches difficilement en boitant et en me tenant au mur. Je suis presser de revoir la lumière du jour et de respirer l'air frais mais je suis trop mal en point pour en profiter un maximum. Je bouillonne intérieurement, de haine, de tristesse, et je me sent déborder. J'ai envie de tout laisser tomber mais je monte quand même les marches. Il faut que je vois le soleil pour me remettre les idées en place et réfléchir.

Je ne sais même plus depuis combien de temps je suis enfermer dans se bunker avec ces fous.

Je monte encore, en slalomant entre les morceaux de pierre tomber et des murs en morceau quand soudain je suis bloqué. Bloquer par un tas de pierre devant moi, un tas de ciment, de ferail et de mur en morceau. Je pose une main sur une pierre que je fais rouler vers moi mais un glissement de roche s'écroule encore plus en face de moi.

Je grimpe essaye de creuser et de trouver une issue, un rayon de lumière mais c'est une cause perdu, je suis enterrer vivante. Il ne manquer plus que ça. Tout est fichue.

Je m'assoie sur une marche et me prend une fois encore la tête entre les mains. La question de décryogeniser est régler.

Mais sortir vivante d'ici deviens une complication. Je regarde dans la cage d'ascenseur mais c'est pareil, il y a tout un éboulement à l'intérieur. Je redescend jusqu'au bunker et me dirige au douche pour y nettoyait tout le sang qui colle à ma peau. Je reste plus d'une heure sous le pommeau d'eau chaude assise les jambes replier vers moi. Je suis désemparé, rien ne vas, tout est fichue, je ne sais pas quoi faire.

Je tremble encore sous mes émotions quand je me dirige d'un pas traînant jusqu'au cuisine ou je me met à chercher un dernier truc à manger. Je déniche un paquet de biscuit entamer et me pose à table.

Je croque un morceau de biscuit moue et rassis en cherchant une solution à tout mes problèmes. Une solution qui ne viens pas. Rien n'y fais, j'arrive pas à réfléchir. C'est un enfer.

Finalement, au bout de quelques heures qui me paraissent des années, des idées se presse dans mon esprit, des idées noir. J'ai perdu, perdu l'homme que j'aime, perdu ma sœur de cœur, perdu ma liberté et certainement toute les personnes qui m'étais cher on disparu. Il n'y a plus rien à manger, je suis seule, je suis un monstre, je ne mérite même pas de vivre. Peut-être que je suis encore en vie pour vivre un enfer et devenir folle ici bas. Une punition que l'on a préparer rien que pour moi.

Je me dirige vers l'infermerie en traînant les pieds et j'ouvre la pharmacie pour attraper plusieurs boîte de médicament. Il ne reste plus que ça à faire pour arrêter se calvaire. Je balance le tout sur la table et les regardes sans rien faire.

Et si... Et si malgré les éboulements l'air été respirable ? Et si... Et si Eugène et Misha étaient toujours en vie et ont besoin de moi ? Et si... Et si tout le monde a réussi à survivre ? Et si... Et si j'arrivais a mettre la main sur le créateur. Le responsable de tout ça...

Je balance tout au sol d'un coup de main rapide. Je ne veux pas mourir. Se n'est pas l'heure, ni l'endroit et j'ai encore des choses à accomplir mais malgré tout je suis bloquer. J'ai besoin d'aide et je suis seule. Je ne sais pas, je ne sais plus, toute mes idées opposer s'entrechoquent. En finir ou pas en finir. J'en ai marre, j'en peux plus. Je suis fatiguer de réfléchir, fatiguer que mon cerveau s'arrête jamais. Trop de questions, trop de pression. Je veux oublier un instant, me reposer, ne plus penser, me sentir bien un court instant, ne plus ressentir se trou dans ma poitrine.

Alors j'ai une idée, je cherche dans les affaire du scientifique et tombe sur son carnet de note.

Je ne peux rien faire pour le moment, la solution serais de réveiller quelques experiences pour dégager une ouverture mais d'après les calculs du scientifique l'air n'est pas encore respirable, elle le sera à coup sur à quatre-vingt pour cent dans quelque semaines.

Je réfléchie mais je connais la réponse.

Il n'y a plus rien à manger dans le bunker, plus rien à y faire, je sais donc se qu'il me reste à faire.

Me cryogeniser à mon tour pour quelques semaines.

~ NDA ~

Petit clin d'œil à Octavia
De the 100
Pour les scènes de combats dans le bunker ;)
Vive Octavia !
LONGUE VIE À LA REINE ROUGE !
😂😂😂

OK, j'arrête ^^
J'aime un peu trop
les supers women psychopathe...
Ça me monte à la tête.

J'espère que tout le monde connais Octavia ici...
sinon je vous conseilles de vivement  regarder The 100 😜

Mordouille de moi à vous !
@vivillie

Hedera. Tome 4 // TerminéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant