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~ Nausica ~

On me parle mais je n'entend rien. Les scientifiques m'examine et je me laisse faire. A quoi bon. A quoi bon continuer à me battre. J'en peux plus. Je suis fatiguer. J'en ai marre. J'ai l'impression de passer ma vie à faire la guerre pour rien. Ça me fatigue mais pas d'une fatigue physique comme la plupart du temps, mais d'une fatigue moral. Cette fatigue qui s'enracine dans le cerveau et qui bloque tout les systèmes qui te permet de survivre. Quand ma tête me dit de me bouger, ma conscience me dit à quoi bon. Laisse toi aller. Ça ne sert à rien. Je n'en peux plus. Je suis déçu, déçu de la vie, de se qu'elle m'a offert depuis que je suis née. Tout n'a été qu'ombre, trahison, course et guerre. Le seul petit rayon de lumière m'a été enlever tel un souffle sur la flamme d'une bougie.

Pourquoi continuer quant tout semble être contre soi. Pourquoi lutter ? Quoi que je face, je reviens automatiquement à la case départ et j'en ai ras le bol. Je n'ai plus la force d'avancer. Que l'on face se que l'on veut de moi. Je m'en fou. Faite. Amusez vous. Profités en. Je ne ferais rien pour vous en empêchez.

Je suis seule. Je n'ai personne. Et je crois que c'est bien fais pour moi. Peut-être est ce ma punition pour avoir été mauvaise. Car oui je le suis. J'ai tué de sang froid et sa ne m'a fais ni chaud ni froid. J'aime la force et le pouvoir qui est en moi mais pas pour faire le bien autour de moi. Non, je suis mauvaise. J'aime mon pouvoir pour contrôler et être crainte à ce qui m'entoure donc oui je suis mauvaise. J'aime le pouvoir, j'aime trop le pouvoir et se qui m'arrive est le fruit de mon résultat.

Je le mérite. Perdre les personnes que j'aime le plus à été ma punition. Être seule pour toujours est sans doute mon purgatoire. Je dois vivre avec. Seule avec mes souvenirs douloureux et tout se que j'ai fais de mal dans ma vie qui me reviens en pleine face. C'est comme ça je l'accepte.

Je me laisse escorter jusqu'à ma cellule. Une copie conforme à celle où je me suis réveiller il y a quelques année de cela.

Je m'adosse au mur blanc et je me recroqueville dans un coin. Les journées passe lentement et je les comptes au nombre de plateau repas que l'on me dépose par la trappe. Je ne mange absolument rien car c'est la même pâte jaune pleine de phylobates que l'on nous passer à l'époque.

Je préfère mourir les idées clair plutôt qu'avec l'organisme empoisonner et la tête dans les vappes. Je préfère ressentir ma douleur plutôt que de vivre dans un songe.

Cela fais peut-être trois jours, ou peut-être quatre, quand Elsa fais soudain son apparition dans ma cellule. Elle congédie les hommes en noir qui l'escorte ainsi que ceux qui surveille ma cellule. Puis regarde de chaque côté de ces épaules avant de se poser sur l'encadrement de ma porte.

- tu as mauvaise mine.

Je relève à peine les yeux pour la regarder.

- tu es pathétique. Ou est passé la Nausica que je connais ?

- morte. Je répond d'une voix enrouer de ne plus avoir parler depuis des jours.

- mais regarde toi. Je ne te reconnais pas, secoue toi. Tu ne veux pas te venger de Hedera ?

Le simple nom prononcer a voix haute me fais froncer les sourcils.

- voilà j'aime mieux ça ! Dit-elle. Si tu n'arrive plus à te relever à cause de l'amour, relève toi grâce à la haine. Tu sais que j'ai raison ! Tu as toujours fonctionner comme ça. Tu as toujours été la plus forte grâce à la haine.

- je n'ai plus envie. Dis-je en baissant les yeux.

Elsa explose de rire.

- mais oui bien sur. Rappel toi seulement se que ça fais d'être forte, de ne ressentir ni amour, ni tristesse, de te sentir vivante sans humanité. Tu n'as pas envie de revenir sans humanité soite... J'ai compris... Reste avec un sentiment. Reste avec la haine, relève toi et venge toi de tout ceux qui ton fais du mal... Ou alors reste ici et crève, comme tu veux... Mais le créateur, lui, vivra sa meilleure vie.

Hedera. Tome 4 // TerminéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant