Hedera. Tome 4 // Terminée

~ 16 ~

Cinq heures avant les missiles

~ Nausica ~

La situation est double critique, en plus d'avoir la menace des missiles qui vont nous tomber sur la tête, nous somme encercler par la police de Sanfransisco car les expériences qui se sont évader, non rien trouver de mieux que de combrioler tout les commerces dans les environs puis de revenir dans l'immeuble Hedera avec leur trophée. Ils ont le don de faire monter ma rage à son maximum.

Certe, ils me font penser à moi, Elsa, Taylor et Ares quand nous nous sommes échappé la première fois, mais je m'en fou, se n'est vraiment pas le moment d'avoir tout ces policiers autour de nous.

Nous sommes baricader dans l'immeuble, volets fermer, qui ne laisse entrevoir que des filets de rayon du soleil dans la pénombre de l'immeuble de Hedera, et nous jetons toute les cinq minutes des petits coup d'œil dehors pour regarder l'évolution de la situation.

J'ai l'impression de me retrouver dans un de c'est film de zombie avec l'ambiance lugubre de l'immeuble à l'abandon de Hedera qui a été mis sans dessus-dessous, mais le pire dans tout ça, c'est que les zombies, la menace dans l'histoire, c'est nous.

Bon, ça change pas de d'habitude mais j'aurais au moins penser être un peu tranquille avant les missiles. Foutu flic...

Ils sont tous là, sur leur garde, cacher derrière leur voiture, pistolet face à nous, un négociateur nous appelles avec un megaphone et nous demandes de lâcher l'otage qui est avec nous. Le scientifique.

Mais oui bien sur, j'ai que ça à faire. Je grince des dents, grogne de haine à cause de cette malchance perpétuelle, je bloque ma respiration, met les paumes de mes mains vers le ciel et me concentre. Je laisse l'espace autour de moi m'envahire, mon esprit vagabonde entre les murs et les meubles éventré puis jusqu'au voiture de police. Je bloque ma respiration, un... Deux... Trois, je lâche.

Au bruit qui me parvient de dehors, je devine que j'ai réussi mon petit manège. Des cris effrayé, puis de métal qui se fracasse au sol puis la cahut. Je rigole toute seule quand je pense au tête qu'ils ont du faire quand leurs voitures se sont envolé dans le ciel sans raison apparente pour ensuite retomber au sol manquant de les écrasés aux passages.

J'arrête de rigoler quand j'entend qu'ils reprennent finalement position comme si de rien n'étais. Foutu flic encore une fois.

Je suis accroupie contre un des murs et laisse ma tête cogné dessus d'un air désespérée. Il ne manquer plus que ça, ils ne laissent pas tombé. Je jette un coup d'œil aux expérience avec moi dans la salle. Trois son en train de se bagarrer comme des bêtes. Je n'ai même pas envie d'essayer de les gérés. Ils sont sauvage, ne se contrôle pas, leur seule loi et celle du plus fort.

Je suis la plus forte, mais je n'ai vraiment pas envie de faire une démonstration de force.

Je ne sais pas vraiment quoi faire pour arranger la situation. Je me retourne, m'avance accroupie jusqu'à une fenêtre, je jette un œil entre les rayons du volet et je constate que, oui oui, ils sont toujours là.

Je me mord la lèvre inférieur énervé quand soudain une alarme stridente et répétitif se déclanche autour de moi. Je me bouche les oreilles et regarde dehors, je me rend compte alors qu'elle ne vient pas de l'immeuble mais qu'elle provient de toute la ville. Je me retourne une fois encore et regarde les policiers se donner des coups d'œil incertains.