Alive

Chapitre 40

Neÿal
Je tremblais. Je n'arrivais pas à croire qu'il est pu rentrer dans ma maison. Comment les gardes n'avait-il pas pu le voir entré ? Ma maison n'avait pas plusieurs entrée alors, comment ? Personne n'était venu ici à part Steven, mes parents et moi. Je ne comprenais vraiment pas comment il avait pu rentrer. J'ai alors mis le papier dans ma poche et suis retourné dans ma chambre, rejoindre mon copain qui était allongé sur mon lit, avec son téléphone dans ses mains. Je devais avoir une mine affreuse, car quand le brun à levé les yeux vers moi, il avait froncé les sourcils et m'avait demandé si quelque chose n'allait pas.

    « Steven... J'ai trouvé ça dans ma salle de bain... Avais-je dit, en sortant le papier de ma poche.
    - Qu'est-ce que c'est ? M'avait-il demandé. »

    Il prit le papier et se mit à lire. Au fur et à mesure qu'il lisait, je pouvais voir qu'il était énervé. Au fur et à mesure qu'il lisait, je pouvais voir qu'il était énervé. Lui non plus ne comprenait pas comment le faux Lawrence avait pu rentrer chez moi. J'étais resté debout, le temps que Steven lise le mot et je faisais les cent pas. J'essayais vraiment de réfléchir et savoir qui il pouvait être et comment avait-il pu poser ce foutu mot dans ma salle de bain. Je n'arrêtais pas de tourner en rond, me ronger les ongles et de réfléchir. Pourquoi ? Pourquoi il voulait venger Lawrence ? Qui était-il ?

    « Neÿal ! Arrête toi ! M'avait imploré Steven.
    - Pourquoi ? Qu'est-ce qu'il me veut ? M'étais-je emporté. Je ne comprends pas ! Comment il a fait pour rentrer ? Avais-je dit, complètement perdu. Je suis parti de la fac parce que je n'étais pas en sécurité, mais maintenant même chez moi, je ne suis pas en sécurité ? Comment est-ce possible ? Avais-je continué, toujours en marchant en rond dans ma chambre.
    - Neÿal, il faut que tu respires, ok ? Avait dit Steven, en me prenant mes mains. Calme toi et vient t'asseoir !
    - Pourquoi faire ? Comment veux-tu que je me calme ? Avais-je dit, en me dégageant de son emprise pour me remettre à marcher.
    - En t'asseyant et en respirant !
    - Il faut faire quelque chose, je ne peux pas rester dans la peur toute ma vie ! Il faut que je donne ce papier à la police ! Ils vont sûrement reconnaître l'écriture ! Avais-je dit, décidé.
    - Neÿal, ce mec est un fou furieux, il a sûrement écrit avec une écriture autre que la sienne ! Il est trop intelligent pour se faire prendre à cause d'une écriture ! Avait dit Steven, qui s'était mis a devant moi pour m'arrêter de marcher.
    - Je sais, mais tu veux qu'on fasse quoi ? Avais-je demandé, en m'arrêtant une bonne fois pour toute. Qu'on reste les bras croisé alors qu'il peut rentrer dans ma maison sans que personne ne s'en aperçoive ? Avais-je continué de m'emporter. Je vais donner ce foutu papier et ils vont sûrement trouver quelque chose !
    - D'accord ! Mais calme toi d'abord ! Et ensuite, on ira le donner ! Avait finalement capitulé, le brun.»

    Je l'avais regardé droit dans les yeux et m'étais assise sur le lit. J'en avais marre. Je l'avais regardé droit dans les yeux et m'étais assise sur le lit. Il était vrai que j'étais vraiment énervé. Cette ordure me retournait le cerveau et arrivait à me rendre dingue. Je faisais ce que Steven m'avait demandé. J'essayais de me calmer, c'était une fois assise que je me suis rendu compte que j'étais essoufflé et si je ne me calmais pas tout de suite, j'allais refaire une crise d'angoisse. C'était aussi pour cela que Steven n'arrêtait pas de me dire de me calmer. Une fois mon souffle repris, je m'étais callé contre Steven qui m'avait pris tout de suite dans ses bras. J'étais contente qu'il soit là. Une fois mon souffle repris, je m'étais callé contre Steven qui m'avait pris tout de suite dans ses bras. On aurait tout les deux paniqué et aucune décision n'auraient été prise. J'étais donc vraiment contente qu'il soit là pour moi. Il m'embrassa le front et prit son téléphone pour contacter la police.

    Étant donné que nous n'étions plus en Oregon, notre dossier à été envoyé à la police de Seattle. Ils ont tout fait pour que nous ayons des officiers très sérieux et très professionnel qui pourront arrêter une bonne fois pour toute cette ordure. Steven était un retissant étant donné que la dernière fois qu'il avait fait appel à la police d'ici Nyla n'avait pas survécu. Mais il a finalement cédé, car les officiers d'Oregon nous prouver que les policiers qu'ils avaient choisis, étaient très compétents. Ces derniers allaient arriver d'une minute à l'autre pour récupérer le mot du faux Lawrence. L'officier de police, Freddy Denton était déjà l'homme qui nous avait aider lors de mon enlèvement. Il était très compétent et très déterminer à retrouver mon kidnappeur et dorénavant, l'ordure qui continue à me détruire la vie.

    « Bonjour officier Denton ! Merci d'être venu aussi vite ! Avait dit mon père Esteban, qui avait fini par être mis au courant, dès que nous avions appelé la police.
    - C'est normal. Je ne comprends vraiment pas comment il a pu venir ici. Avait dit le policier, surpris. Nous avons des agents de sécurité tout autour de votre maison. Des agents dans des voitures qui regarde qui rentre dans votre maison ! Je ne comprends vraiment pas ! Nous allons tout faire pour trouver comment et qui ! Avait-il expliqué.
    - Merci beaucoup officier ! Je sais que vous faites de votre mieux pour trouver au plus vite qui est cet homme ! Avait continué mon père.
    - Exactement. Par ailleurs, a-t-il essayé de vous recontacter par message ? Nous avait-il demandé.
    - Non du tout. Avais-je répondu.
    - Tant mieux ! Bon, je vais retourner à mon bureau pour examiner tout ça ! Merci beaucoup d'avoir appelé et je vous tiens au courant dès que possible ! Avait fini par dire le policier.»

    Une fois le policier reparti, mon père alla dans la cuisine pour ruminer dans son coin et aussi appelé mon père Harry. Je savais que ce dernier allait rappliquer en folie à la maison même s'il avait encore du travail à faire. C'est juste qu'il s'inquiétait beaucoup et ça se comprend. Un psychopathe était rentré chez nous, il n'y avait strictement rien de rassurant là-dedans. Steven et moi étions retournés dans ma chambre. Nous ne parlions pas. Nous essayons de comprendre comment il avait pu rentrer sans que personne n'ait pu le voir.

    « Bon, on va arrêter de penser à lui ! Si on se voit, c'est pour passer du temps ensemble, pas pour penser à ce trou du cul ! Avais-je dit, en soupirant. »

    Steven avait rit puis avait approuvé mon commentaire et m'avait ensuite pris dans ses bras. Nous essayons de comprendre comment il avait pu rentrer sans que personne n'ait pu le voir. Avais-je dit, en soupirant. Nous regardions un film sur mon ordinateur et tout le long nous nous sommes pas lâcher les mains. J'étais contente qu'il soit là, j'étais contente de cette journée, malgré l'incident avec le faux Lawrence. J'avais eu un peu de mal à me concentrer sur le film à cause de Steven qui n'arrêtait pas de me chercher. Il n'arrêtait pas de m'embrasser dans le cou, de me faire des caresses dans mes cheveux ou sur mes hanches, j'avais clairement du mal à rester concentrer sur l'histoire du film. Je ne me rappel même plus du titre. Il y avait clairement une tension palpable entre nous deux. Mais nous n'avions rien fait. Mon père était en bas et mon frère faisait toujours la sieste. Nous ne pouvions donc rien faire.

    Steven était reparti chez lui après le dîner et avait promis de revenir demain. Et alors que j'allais dans ma chambre pour me coucher, je m'étais mise à repenser à cette lettre. Un détail, qui m'avait échapper plus tôt, me revenait en pleine figure pendant que je me mettais en pyjama.

    La signature. Il ne signait plus avec le nom de Lawrence, mais avec une lettre. M.