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Après avoir pris le bus, nous sommes arrivé dans le train, j'étais assise à regarder le paysage défiler sous mes yeux.
Cette voiture, qui a faillit me rentrer dedans, je suis sur et certaine de l'avoir déjà vu, elle me dit quelque chose. Si seulement je me rappelais.
Selena :Qu'est-ce que t'as?
Je relève les yeux vers Selena, puis me décide à parler.
Moi : Selena, la voiture qui a faillit me rentrer dedans...
Selena : Ouais.
Moi : T'as pas l'impression de l'avoir déjà vu?
Selena tourne la tête vers le paysage et hausse les épaules : J'crois pas.

Je détourne les yeux vers la vitre, me forçant à me rappeler, mais rien.
-------DANS LA PEAU DE LUIS-------


Daniel : Mueve! (Bouge toi!)
Je regarde le cadran, je roulais à 120km/h, j'appuie sur l'accélérateur et monte à 140km/h, l'autoroute était vide, j'étais étonné.
Moi : O lo es? (Ou c'est?)
Daniel baisse la tête vers son téléphone, compose un numéro, et porte l'appareil à son oreille.
Daniel : O esto? (Ou ça?)
.... : .....
Daniel : Si.
..... : ......
Daniel : Ok...
Daniel raccroche, me regarde, me donne l'adresse, j'eu une poussée d'adrénaline et monte à 160km/h, puis 170...

Daniel : Luis, suavemente! (Doucement!)
Je ne l'écoute pas, mais je descend quand même à 160, d'un coup, une sirène de police résonne derrière nous.

Miguel, qui était derrière : Felicidades, Luis! (Félicitation, Luis!)
Moi : Cierra la boca. (Tais-toi.)

Je ne comptais pas m'arrêter, j'accélère de plus en plus, derrière, j'entend la voix d'un des policier hurler :
-Garer vous sur le bas côté!
Je regarde le cadran, 150...160...170...180...km/h...
------RETOUR DANS LA PEAU DE LILOU-----
Alleluia, après des heures de trajet, nous sommes enfin arrivé, Selena a pris un bus, elle est rentré chez elle, nous reprenons les cours demain. Je me dirige vers chez moi, mon sac sur le dos, bagage en main, puis rentre chez moi, ma mère était là, dés qu'elle me vit, son visage s'illumina.
Je lâche mon bagage au sol et court vers elle.
Maman : Tu m'as manqué!
Moi : Toi aussi!
Maman :C'était bien?
Moi : Ouais, tranquille!
Elle me lâche, je dépose mes affaires dans la chambre et m'affale sur mon lit, j'étais épuisé!
------DANS LA PEAU DE LUIS-----
Daniel était paniqué : Luis, detener! (Stop!)
Moi : Tienes miedo? (Tu as peur?)
Daniel se redresse fièrement, je voyais malgré ça, des grosses goûtes de sueurs sur son front : No.
J'hoche la tête, puis accélère, tandis que les voitures de flics se multipliaient derrière nous. Je monte à 220, puis ralentis au bout d'un moment, j'arrivais à un rond point, je fais le tour, puis d'un coup, tourne à droite, et re-fonce, monte à 160, ralentis, tourne encore une fois, et répète ce mouvement plusieurs fois, jusqu'à ce que les voitures disparaissent derrière moi.
J'entre dans une ruelle sombre et étroite, vérifie que les flics sont plus là, et arrête la voiture, penche ma tête en arrière en rigolant, puis me rend compte que la voiture est silencieuse, tourne ma tête vers Daniel, puis Miguel, ils tremblaient!
J'explose de rire : Usted tiene miedo! (Vous avez peur!)
Daniel secoue la tête de gauche à droite : Luis es loco? (Luis est fou?)
Puis il tourne la tête vers Miguel, celui-ci acquiesce : Luis es loco. (Luis est fou)
Moi : Si vous avez peur, descendez.
Daniel regarde droit devant lui : No, allez, démarre.
Je secoue la tête puis redémarre la voiture, et roule à fond jusqu'à l'endroit prévu, ou le mec c'est planqué, ou le mec est en sécurité... Pas pour longtemps!
Arrivé devant l'hôtel ou réside l'escroc, Daniel, Miguel et moi entrons dedans, l'hôtel était très grand, lumineux, basique, mais des centaines de personnes devaient être là, j'épiais la foule du regard, puis d'un coup, Daniel me tape l'épaule, et d'un coup de tête, m'indique le haut des escaliers, je suis son regard, notre client, qui s'appelle Kevin, est en haut des escaliers, se tenant debout, scrutant la foule, sans se soucier de nous, bien sur, il ne nous a jamais vu, seul les hommes qui sont au bas de l'échelle font du bizness en main propre, donc il est évident qu'il ne me connait pas.
Je m'approche des escaliers, soulève mon tee-shirt discrètement et pose ma main sur mon arme, qui est coincé dans mon pantalon, puis Miguel me fait les gros yeux, s'approche de moi, me dit : Nos no está en Mexico! (Nous ne sommes pas au mexique!)
Je me rappelle alors que le port d'arme n'est pas interdit au Mexique, mais en France, il l'est, je lâche alors l'arme, et m'approche de la première marche, et les montes, suivis de loin de Daniel et Miguel.
Je m'approche de Kevin, il me regarde paniqué, puis détourne le regard vers la porte, je m'approche de lui, et pose mes coudes sur les remparts du haut des escaliers.
Moi : T'attend quelqu'un?
Kevin me regarde brièvement puis détourne le regard : Non.
Je sens la présence de Daniel et Miguel derrière.
Je jette un coup d'oeil en arrière, Daniel passe sa main sur la bouche de Kevin, je vérifie que l'escalier est bien vide, puis Kevin essaie de se débattre.
Daniel : Dommage!
Daniel emmène Kevin en arrière, puis se dirige vers la cage des escaliers, et le pousse sur les marches, suivis de Miguel et moi.
Cette fois, Daniel et Miguel s'écarte, laissant Kevin face à moi. Je m'approche de lui, soulève mon tee-shirt pour récupérer mon arme, l'a pointe sur sa tempe.
Moi : Tu pars sans payer?
Kevin transpirait : Non...Je...J'ai....J'ai pas...
Moi : OU EST LE FRIC?!
Kevin baisse la tête, c'est ça, baisse les yeux!
Kevin : Je l'ai pas...
Je baisse mon arme en souriant : Quel dommage! Et je fais comment moi?
Kevin : S'il te plait...Je te le donnerais...Promis....S'ilte plait... S'il te....
J'en ai assez d'entendre ses mensonges, je m'approche de lui et lui donne un coup de poing, sa tête bascule en arrière.
Moi : Je le veux maintenant!
Kevin : Je..Peux pas...
Je lève les yeux vers Daniel, puis Miguel.
Il peut pas? Il se fou de ma gueule là non?
Moi : Sois tu me donnes l'argent demain....
A présent, Daniel et Miguel m'épiait du regard.
Moi : Sois...je passerais chercher ta fille à la sortie des cours...
Daniel secouait la tête, comme pour me dire 'Non fait pas ça'.
Je me recule, range mon arme dans ma ceinture, Daniel et Miguel s'éloigne de Kevin, pendant que l'on sort Kevin hurlait.
Kevin : NAN!!! PAS MA FILLE! J'AURAI L'ARGENT!! PAS MA FILLE!
En ouvrant la porte, je dit : Demain, à 12 piles, ici.
Je sors de la cage des escaliers, Kevin était allongé sur les marches des escaliers, arrivé devant l'hôtel, Daniel m'arrête.
Daniel : T'y est allé un peu fort.
Moi : Non.
Miguel : Il a raison, sa fille quand même...
Moi : Si vous êtes pas content, cassez vous!
Si ils ouvrent encore leurs bouches, je crois que j'vais faire un meurtre. Heureusement pour eux, personne ne parle jusqu'à l'hôtel ou nous allons dormir jusqu'à ce que cet enculé nous donne le fric.
D'accord, je suis un monstre, mais je n'ai pas besoin des gens pour me le rappeler.
-------DANS LA PEAU DE LILOU------
Je me relève de mon lit, j'ai du m'endormir! Je regarde l'heure, il est deux heures du matin! Mon ventre me fait trop mal, ah oui, j'ai pas mangée! J'me lève puis me diriger vers la cuisine, ma mère dormait, je me prépare un sandwich, puis allume mon ordinateur, je regarde mes messages, il y'avait celui d'Adrian, celui que je n'avait pas envie de lire, je le lis quand même : A la rentrée, ont parlent.
Bah bien sur! J'ai que ça à foutre!
Je parcourt Facebook, puis finis par éteindre mon ordinateur, et me dirige vers mon lit, allume la télé, mon chat s'allonge à mes côté, puis vers les 3heures du matin, je suis prise de fatigue, et finis par m'endormir, la télé allumé.
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Je suis seul, dans le noir, la lueur faible de réverbères se reflètent sur ma peau, des pas résonnent derrière moi, les goûtes de sueur se multiplièrent sur ma nuque, une voix rauque et diabolique résonne derrière moi, mimant une comptine d'enfant.
...... : 1 2 3 Fait gaffe à toi...
Je prend mon courage à deux main, me retourne d'un coup, une ombre noir s'affichait devant moi, elle avance d'un pas en continuant sa comptine : 4 5 6 Je fais la justice...
Il avance encore d'un pas : 7 8 9 Avec mon couteau neuf...
L'ombre s'avance devant moi, son visage était caché par un large chapeau, il avait la tête baissé.
L'ombre poursuit, en s'arrêtant quelque secondes entre chaque nombres : 10 11 12 Ca m'fera du flouze...
L'ombre relève la tête, je suis pétrifié d'horreur, et dés que son regard froid et glacial croise le mien, dés qu'il sourit de toute ses dents, affichant des dents non alignées, il explose d'un rire diabolique, d'un rire qui vous donne envie de rentrer sous terre.
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Je me réveille, horrifié, assise sur mon lit, dans le noir, peur de me rendormir par peur de refaire ce cauchemar, peur de bouger, par peur de le découvrir derrière ma porte de chambre, peur de respirer, par peur qu'il ne m'entende, je me rallonge, les yeux ouvert en grand, horrifié de la comptine sadique, horrifié de l'identité de l'ombre.
C'était Aziz.
Le lendemain, je me réveille et m'étonne moi même de m'être ré-endormis après cette nuit agité, j'allume mon téléphone, il est 7h30, je me lève en vitesse, pars me doucher, me coiffe et m'habille, je met un slim noir, un tee-shirt blanc basique avec une doudoune noir puis des vans, prend mon sac et sort chez moi, il est environ 8h20.
Arrivé devant le lycée, j'essaye à tout pris d'éviter Adrian, malgré que l'ont soit dans la même classe!
J'arrive en retard donc me dirige automatiquement vers ma classe, toque puis entre, tout le monde me scruter du regard, dont Adrian, Selena et Stacy! Je lance un sourire aux filles, puis pars m'asseoir entre Selena et Stacy, tout en ignorant Adrian, il n'arrêtait pas de me regarder.
---------DANS LA PEAU DE LUIS--------
Il est 11h50, nous sommes, Daniel, Miguel et moi, dans la cage d'escalier, au même endroit qu'hier, si il n'est pas la dans 10 minutes, je me casse devant l'école de sa gosse, d'après un des mecs du gang, elle a 15 ans, Sarah, son collège est sur Paris.
Heureusement pour lui, à 11h58, il arrive, un sac plastique noir dans les mains, il nous salut de la tête, tout tremblant, me tend le sac.
L'arme que j'avais dans les mains, je le confie à Miguel, puis j'ouvre le sac, sors les liasses de billet, 12.000 le compte est bon, j'hoche la tête, m'avance vers Kevin,celui-ci recule, l'attrape par la nuque : J'espère que ce sera la dernière fois.
Kevin hoche la tête, je le lâche, il nous regarde une dernière fois puis descend les escaliers.
Miguel me rend mon arme, je la range, puis nous descendons la cage d'escalier jusqu'au sous sol, arrivé devant la voiture, pour ne pas prendre de risque, je cache l'argent dans une planque secrète que Carlos a fait, elle se cache en dessous du siège arrière droit.
Après avoir rangé l'argent, je démarre, puis nous roulons jusqu'à un carrefour, je m'arrête au feu rouge, Daniel et Miguel parlaient ensemble du dernier match de foot, d'un coup, une sirène de police se fait entendre derrière nous, je m'apprête à rouler, sans chercher à savoir pourquoi il y'a la police, mais me rend compte qu'il y'a deux autres voitures juste en face de nous, je tape le volant.
Moi : PUTAIN!
Les policiers sortent de leurs voitures, pendant qu'un nous oblige à sortir de la voiture.
J'enlève les clefs du contact, obliger de sortir, Miguel nous dit : On fait les touristes?
Je prend même pas la peine de répondre et sort de la voiture, si tout se passe bien, ils ne seront pas obligé de faire quoi que ce soit. Ils ne sont pas censé fouiller ma voiture.
Nous sommes sortis, cinq policiers se ruent sur nous, nous plaque contre la voiture et nous fouilles, je déteste les fouilles, on dirait le mec il te touche et tout!
Il commence à descendre vers mon pantalon, je le pousse.
Policer : Monsieur, je dois vous fouiller.
Moi : On a dit fouiller, pas en profiter.
J'suis sur il est gay, rien qu'à sa tête et ses manières là, j'ai envie d'le niquer!
Il me pousse contre la voiture et continue sa fouille, dés qu'il eut finis, j'le pousse de moi et le toise.
Policier : Ouvrez la voiture, Monsieur.
Moi : Pourquoi?
Policier : Nous faisons juste une fouille.
Moi : Allez l'a faire ailleurs.
Je tourne la tête vers Miguel, j'avais envie d'le niquer, il parlait en espagnol.
Policer : Avez-vous vos papiers?
Miguel : Qué? Papiers? Qué es? (Quoi? C'est quoi?)
Le policier se tourne vers celui qui se tiens devant moi : Mais c'est quoi ce bordel.
Miguel : Soy un turista! (Je suis un touriste!)
Policier : Il se fou de notre gueule.
Miguel : Qué? (Quoi?)
Moi : Arrête, c'est bon.
Je regarde Daniel, il avait envie de rire. Rappelez moi de ne plus jamais partir faire des affaires avec ces deux gros cons.
Miguel me regarde, puis hausse les épaules.
Policier : Monsieur, ouvrez votre voiture.
Moi : Pourquoi je ferais ça?
Policier : On a des vidéos de vous...
Dios mio, ça s'annonce mal cette putain d'affaire.
Policier : Ou on vous voit (en me parlant), cacher une armes dans votre pantalon.
Moi : J'en ai pas.
Policier : Monsieur, soulevez votre tee-shirt!
J'hausse les épaules et soulève mon tee-shirt, l'autre pd arrêtait pas de scruter mon ventre (mes abdos eh ouais!).
J'avais jeté l'arme à la sortie de l'hôtel, je savais que les flics était de gros emmerdeurs et que si on me trouvait avec, j'aurais eu de sérieux problème.
Je rebaisse mon tee-shirt.
Policier : Monsieur, je suis obligé de fouiller votre voiture, de plus, votre plaque correspond à celle qui a été flashé à plusieurs reprises hier.
Je le fusille du regard, puis Miguel hoche la tête et me dit d'ouvrir la voiture, je l'ouvre finalement, pendant que trois policiers fouilles, je reste devant la voiture.
Les policiers s'éloignent de la voiture, ne trouvant rien, puis un autre viens vers moi.
Policier : Monsieur, je suis obligé de vous emmené au post la vidéo ne se trompe pas, on vous voit bien ranger votre arme.
Il s'avance vers moi pour me passer les menottes, mais je déteste les menottes, dieu sait pourquoi! Il va pour m'attraper les mains, mais je le pousse, il me regarde droit dans les yeux puis finis par les baisser, puis se ré-avance vers moi, je le repousse encore une fois, un autre policier s'approche et me plaque sur le capot de la voiture, tandis que l'autre essaye de me mettre les menottes, mais je me défendais trop, je me retourne d'un coup, et pousse le policier contre l'autre, ils tombent.
Quatre autres policiers arrivent, saute sur moi, essayant de me stabiliser, mais je bouillonne de rage, d'un coup, Daniel et Miguel saute sur les policiers, mais un autre arrive, avec un taser et m'attaque dans le dos, je l'ai sentis passé la douleur! Je tombe au sol, tandis que les flics sautent sur moi, puis sur Daniel et Miguel, me passe les menottes. Qué verguenza. (Quelle honte.)
------DANS LA PEAU DE LILOU------
Il est 17h30, la sonnerie vient de retentir, j'ai réussis à ignorer Adrian toute la journée, allez, je peux encore tenir jusqu'à chez moi!
Devant l'entrée du lycée, j'avais dit au revoir à Selena et Stacy, je me dirige vers mon chemin, quand quelqu'un m'appelle, je me retourne et c'est Adrian!
------DANS LA PEAU DE LUIS------
Après qu'il m'eut passé les menottes, ils m'ont emmené au post, j'étais obligé d'appeler Carlos, il a payé mon amende, j'avais tellement honte! Il n'a pas ouvert la bouche, il ne me regardait même pas dans les yeux ! Ce faire attraper par les flics, c'est être faible, c'est comme ça, chez nous.
Carlos m'a uniquement dit qu'il passé chercher son petit fils, qu'après, il allait partir sur Paris, dans un de ses hôtel, et qu'il rentre au Mexique dans une semaine, je suis donc obligé de rester avec lui, Daniel et Miguel avait la tête baissé, derrière.
Nous sommes garé devant le lycée de son petit fils, je regarde l'heure, il est 17h40! A peine arrivé, Carlos dit : Mais avec qui il s'embrouille!
Un tronc d'arbre barré la vue à Carlos, je me penche et vois le petit fils de Carlos, s'embrouillait avec une fille, de dos.
Ca y'est! Je me rappelle de son petit fils! Adrian! Si! Je m'en souviens maintenant!
Moi : Il s'appelle Adrian?
Carlos : Comment tu le sais?
Moi : Je viens de m'en rappeler.
Il hoche la tête puis fouille sur son téléphone. Je me penche vers Adrian, il ne broncher pas, je voyais juste la fille, de dos, qui faisait des petits gestes avec ses bras.
Puis la fille se retourne et pars vers un chemin, son visage je l'ai déjà vu putain! C'est Lilou! J'ai faillit lui rentrer dedans en voiture, la fille de ma vision, la fille dont José me parlait!
Adrian reste sur place, tandis que je regarde Lilou partir, mon coeur battait vite, je ne sais pas pourquoi elle est la seul à me procurer cette sensation. Je l'a regarde toujours, elle marche très vite, les sourcils froncés, tandis qu'Adrian se dirige vers la voiture de Carlos, dés qu'il rentre, il s'assoit derrière avec Daniel et Miguel.
Ma fenêtre était ouverte, je me penche une dernière fois pour l'a voir partir à l'horizon, et à ce moment là, elle se retourne dans ma direction, d'un coup, son visage se décompose, elle ralentis le mouvement, puis Carlos démarre la voiture, son visage s'éloigne, de plus en plus, jusqu'à disparaître, disparaître de ma vue, mais pas de mes pensées.
Lilou, sortiras-tu de ma tête, un jour?
------RETOUR DANS LA PEAU DE LILOU------
Ma conscience m'incitait à me retourner, mon coeur me disait que j'allais le regretter, je n'aurais jamais du me retourner, comment se fait-il que je le croise toujours? Je me rappelai de ses traits, de ses moindre détail, de ses moindres défauts, quand je me suis retourner, je me sentais observer, mon coeur battais à tout rompre, comment se fait-il que quand il soit dans les parages, mon coeur bat à une vitesse phénoménal?

Kidnappée par un LatinoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant