J'étais à la cantine avec d'autres agents entrain de ,bien sûr faire ce qu'on fait d'habitude dans les cantines. C'est-à-dire, manger. On discutait de tout et de rien surtout sur les artilleries, techniques de combat d'autres cultures et compétence informatique.
Je vidai ma bouteille d'eau de mélisse lorsque, tout près de mon oreille par derrière......: Téa, bonjour !
Moi(me retournant, étonnée): Hector? Euh bonjour.
Hector: J'peux m'asseoir?
Moi: A moins que tu ne te sentes plus à l'aise debout.
Hector: Yo les gars ! Ils lui répondirent en général et ils échangèrent les conversations pendant que moi je grignotai faiblement ma barre de céréale non glucosée. Alors, toi ça va?
Moi: Aucune raison d'aller mal. Et toi? Je pensais que tu m'en voudrais après tout ce que je t'avais dit l'autre jour.
Hector: C'est vrai que tu m'avais blessé au plus profond de moi.
Moi: Mais t'es pas un gars rancunier, c'est ça?
Hector: Il n'y a pas de raison de l'être. C'est ta décision. Oufffff. Mais, Téa?
Moi: Oui ?
Hector: On peut sortir pour discuter un peu?
Moi; Euh écoute, j'avoue que j'ai jamais aimé les trucs qu'on nous oblige à manger ici mais là je suis à table. Comment veux-tu que j'abandonne mon breakfast là comme ça??
Hector: En compensation, je pourrais t'offrir un lunch de rêve demain. T'en dis quoi?
Moi: T'as intérêt ! Il sourit. Allons-y ! A toute, les gars!On se tchequa brièvement avant qu'Hector et moi ne quittions la salle. On emprunta alors le couloir.
Hector: Écoute euh Téa. Comme je l'ai dit toute à l'heure, tu m'as blessé l'autre jour. Je dirai même brisé le coeur totalement. Mais je préfère ça que de continuer à me faire croire le faux, à me laisser me noyer dans l'illusion. Il expire. Je ne t'en veux pas. T'es une fille fantastique et c'est une chance de t'avoir dans ma vie.
Moi: Arrête, tu vas me faire pleurer. On rit.
Hector: Non mais en vrai, pour rien au monde je ne voudrai qu'on soit en froid. Après tout, on forme un trio avec l'autre conne et toutes les deux, sans vous, en chuchotant, cette agence se noirait. On rit. Alors, on fait la paix?
Moi(large sourire): Sans faute. Je lui tendis ma main mais...
Hector : J'aime pas les méthodes traditionnelles. Il me prit dans ses bras et notre câlin dura plusieurs secondes. Pas toi?
Moi(m'esclaffant): Un connard changera jamais ! On rit encoreUn agent vint vers nous.
L'agent: Téa, Hector, Bruce veut vous voir dans le hall.
Sans mot dire, on le suivit jusqu'au hall où Bruce étaient là ainsi que toute l'équipe des juniors.
Bruce: Agent T, nous venons de recevoir la confirmation de l'arrivée saine et sauve du président à Paris. Il a même été logé dans une résidence discrète et secrète pour plus de sécurité. Maintenant, nous avons besoin de l'adresse de Shratov pour débarquer et le choper.
Moi: Au Palace City mais je ne pense pas qu'il y soit à l'heure actuelle.
Jeremy: Vous donnez l'adresse que vous avez entendu hier et vous en doutez encore?
Moi: Je ne doute jamais de rien Jeremy, je suis clairement entrain de vous dire que cet enfoiré a certainement déjà quitté l'hôtel.
Bruce: Division A1, embarquez au complet pour me ramener ce crétin à l'adresse qu'a dit l'agent.
Le chef de la division: Entendu chef! Et ils se retirèrent.
Moi: Bruce, comment vous pouvez remettre en cause ce que je vous dis?
Bruce: Agent T, même s'il n'y est plus, je ne vois pas ce que nous perdons à aller jeter un coup d'oeil dans cet hôtel.
Moi: Du temps. Beaucoup de temps. Leur coup était prévu pour 9h. Jusqu'à 10h, aucun mouvement dans la presse ayant confirmé l'accomplissement du plan. Ce gars n'est pas bête et il a clairement compris qu'il y a un problème. Ça se trouve, il a même déjà été informé par ses réseaux que Nacker a été assassiné. Vous pensez sincèrement qu'il va rester sur place?? Bruce secoua juste la tête et tourna les talons. Enfin...
Hector: Eh, du calme Téa. S'ils ne le trouvent pas comme tu le soupçonnes, ils nous feront signe certainement.
Moi: Ça sera peut-être trop tard déjà.
Hector: Orhhh tu stresses pour rien...
Moi: C'est pas du stress Hector. C'est même si simple à comprendre. Tilt. Un instant. Euh, tu saurais où se trouve Karla?
Hector: Au département informatique, pourquoi ?
Moi: Je reviens.