Aux noms des siens - PNL

Partie VIII : Destins liés - Chapitre 1 : Jusqu'au bout

Chères lectrices et chers lecteurs,
3000 lectures... Comme tous les autres, sachez ce palier représente une surprise incroyable, un coup au cœur chaud et bien sûr une joie immense dont je suis ravie de vous partager ce jour, le 14 octobre 2020. Ainsi, cela est la raison pour laquelle je vous offre ce chapitre qui vous est dédié avec un plaisir qui je l'espère sera partagé, une gratitude inépuisable et naturellement un remerciement infini.
Sachez que votre présence, qu'elle soit invisible ou visible dans les commentaires et les votes, me provoque un réconfort inépuisable avec cette sensation et saveurs uniques que cette aventure ne fait que débuter...
De plus, avant de vous retrouver, je voulais remercier mes amies et écrivaines de talent SaphiraBlueShark (auteure de Ademo ou Tarik – Ces mots dans ma tête), Mlle_Aliice (auteure d'Imparfait), et nivanapnl (Auteure avec Sam de Nos démons) pour leur amitié, fidélité et loyauté. Merci également à juliettelacacahuete (Auteure de Deux), Madame_Poipoi (Auteure de NANAnère) et Stjeanlapuenta pour votre présence hebdomadaire depuis le commencement. Si par mégarde, j'avais omis l'une ou l'un d'entre vous, n'hésitez pas à m'en informer gentiment :) Sinon, je vous aime <3 Marianne

C'était la fin du voyage en Grèce. Enfin, Ken n'avait toujours pas récupéré son sac dans le carrousel à bagages de l'aéroport, ce qui permettait à elle et Tarik de réellement profiter des derniers instants de leurs vacances, plus précisément dans l'une des bijouteries présente dans la galerie commerçante.

« Heu, je devrais rester dehors car si je rentre, je me transformerai en pie... J'adore les bijoux et tout ce qui brille... ». Elle fut interrompue par son homme lorsqu'il lui indiqua gentiment l'entrée du magasin.

Naturellement, Tarik se dirigea en premier lieu vers le rayon homme. Puis, quand il tourna la tête pour savoir où elle se trouvait et qu'il la vit à l'autre bout du magasin, il bénit son indépendance. Heureusement, dans le parcours indiqué, aucun vendeur ne vint lui casser les... pieds. Enfin, il finit par se retrouver en toute logique devant les bijoux dédiés aux femmes. Colliers, bracelets, boucles d'oreilles... jusqu'à ce que ses propres yeux apprécièrent la beauté de l'une des bagues exposées. Petite, brillante mais remarquable.

« Punaise, mais comment t'as deviné que j'adorais les émeraudes ? ». Elle s'était s'approchée silencieusement, et Tarik manqua ainsi de sursauter. Il détestait lorsqu'il se sentait surpris.

« Parce que ta couleur fétiche, c'est le vert. La plupart de tes sapes sont aussi de tinte émeraude. ». Tarik s'étonna lui-même par ce qu'il venait de lui déclarer. Cette information avait dû être enregistrée automatiquement par son cerveau, même s'il prêtait une intention particulière à chacun de ses gestes.

Face à l'ambiance qui régnait, c'était le moment ou jamais de poser les questions dont seul, Tarik ne pouvait deviner les réponses : « Or, argent ou bronze ? ».

Honnêtement, Tarik ne s'attendait pas à recevoir une réponse aussi rapide de la part de sa femme : « Argent. La couleur or ne convient que sur une peau comme la tienne, c'est-à-dire bronzée. Et rien à voir mais l'argent est utile à guérir les infections et soigner les plaies parce qu'il a des caractéristiques antimicrobiennes et antibactériennes. ». Tarik ne pouvait que la croire.

Alors, certain qu'elle allait lui rendre réponse, Tarik continua : « Bohème ou conte de fée ? », bien qu'il pensait déjà connaître la réponse sur les formes des robes qu'elle appréciait.