Le mafieux

Chapitre 21

trois mois qu'ils étaient un couple, ils partageaient le même lit et chaque soirs, il la marquait de son amour. Josepha n'avait pas apprécié le rapprochement de Patricia et Silas. Comme elle avait déclarée à son patron, cette enfant a besoin d'une vie normale, elle n'a pas a être prise dans la mafia. SIlas en avait parlé à Patricia qui avait su avec ses mots rassurer Mlle Léonie.

La jeune femme dû à son oubli pilule avait effectué un test de grossesse qui c'était révélé négatif pour son plus grand soulagement. Elle voyait souvent Rosario, Silas trouvait ses visites trop répétitives. Il était allongé à côté de sa douce, elle s'était endormie apaisée après l'amour qu'il lui avait alloué, il ne se rassasiait pas de Patricia, il en voulait toujours plus, il aimait être avec elle, il se sentait à sa place. Il glissait une main sous son oreiller et attirait le corps de sa douce contre lui, elle grognait légèrement mais ne se réveillait pas. Il caressait son visage avec délicatesse quand une boule de poil venait s'immiscer entre lui et PAtricia. Il soulevait un sourcil en portant son regard sur la bête avant de la dégager férocement du lit tout en réveillant Patricia qui s'écroulait au sol par la panique de l'instant.

-Putain, ton chat à une souris dans la gueule! crachait il en attrapant la proie décédé du minou qui ronronnait. Il est sérieux là? demandait il en balançant le cadavre par la fenêtre.

-Il te l'apportes car il t'aimes c'est tout. précisait elle en attrapant son chat. Auguste faut arrêter tes conneries! crachait elle tout en baillant avant de lui déposant un baiser sur le front. Faut laisser papa et maman se reposer!

-Papa et maman? rigolait SIlas. Si tu veux un gosse, dis le. ironisait il en soulevant sa lèvre supérieur.

-Déjà ce n'est pas un gosse que je veux mais un enfant. Ce chat est un gosse surtout envers toi! expliquait elle en se replaçant dans les draps. Et s'il-te-plait la prochaine fois évite de me mettre au sol, déclarait elle en se rendormant rapidement alors que Silas était toujours debout.

-A peine couché, à peine endormit. Tu sais quoi Auguste je te déteste boule de poils puante! scandait il en plaçant un jogging sur ses jambes. Il savait qu'il ne pourrait pas dormir, il préférait se rendre à son bureau pour travailler sur les infos d'une cargaison remplis de drogue qui devait être livrer dans les jours suivants. Il devait contrer cette livraison, la drogue, il ne tolérait pas qu'elle circule dans les rues de sa ville, mais quelque fois, il était obligé de fermer les yeux, profitant des bénéfices qu'il engendrait. Il avait  durant deux longues heures détaillés avec minutie tous les coins de la rue, celle où il posterait des hommes pour tendre un piège à Pedro, qui trafiquait dans son dos. Il savait que cette rencontre allait encore finir en bain de sang. ll s emettait à penser à Patricia, sa queue réagissait immédiatement, quand il sed écidait à se lever pour la réveiller à sa façon, il distinguait une boite posé sur la table basse de son bureau. Il ouvrait pour découvrir son continu. Quand il prenait le tube qui y étais place, son désir de faire l'amour à la jeune femme s'évaporait sur le champs. Mais la colère qui s'immisçait en lui, elle ne disparaissait pas. Telle une furie il grimpait les marches avant de s'engouffrer furieusement dans leur chambre. Il réveillait la jeune femme  sans douceur. Elle se levait d'un bond les cheveux emmêles sur sa tête.

-Qu'est-ce qui se passe? demandait elle, paniquée par son réveil.

-Ça c'est quoi! demandait il en balançant le test de grossesse sur le matelas devant elle. Tu n'as rien à me dire?

-Non Silas, ce test n'est pas à moi si c'est ce que tu veux savoir. avouait elle en croisant les bras devant sa poitrine. Peut-être est-ce celui d'une de tes maîtresses! crachait elle nerveusement. Elle se sentait blessé de voir le peu de confiance qu'il avait en elle. Si tu ne me crois pas, je peux te faire un test tout de suite, j'en trois ou quatre dans ma sacoche. Et tu verras que je suis négative comparé au tiens qui est positif! scandait elle les larmes aux yeux en allant s'enfermer dans la salle de bain. Tu me déçois énormément. lançait elle en fermant la porte à clés. 

-Patricia, ne fuis pas! crachait il. il restait ainsi devant la porte à attendre qu'elle sorte de sa cachette.

 Quand la porte s'ouvrait de nouveau, il reçu en plein torse un tube qui ressemblait exactement à celui qu'il avait balancé sur le lit. Patricia lui lançait un regard noir, remplie de rancune.

-Vérifie par toi même! commandait elle la voix brisée. Je serais toi, je ne perdrais pas de temps pour connaître l'identité de la mère. annonçait elle en passant elle aussi un jogging sur ses jambes.  D'après toi, qui est-ce, Solène, Lina ou même Jamila? crachait elle en tentant de sortir de la chambre. La main de Silas la retenait, elle posait son regard sur ses doigts qui tenait son bras avant de remonter son visage sur celui de l'homme. Ne me touche pas Silas, je suis fatiguée de ton manque de confiance en moi, fatiguée d'entendre dire que tu es partie rejoindre ces filles alors que toi tu me dis que tu es en réunion. Moi j'ai confiance en toi car je dois avoir confiance, tu es un partie que beaucoup d'homme désir pour leurs filles. Je sais que tu en côtoie énormément lors de tes réunions mais moi je ne suppose rien car je crois en nous. Alors maintenant laisse moi sortir avant que je ne perde mon sang-froid! scandait elle sous l'approche de Paolo qui semblait gêné d'être témoin de leur dispute. Bonjour Paolo, lançait elle amicalement.

-Patricia, appelait Silas.

-Vas te faire foutre! criait elle sous le souffle enragé de Silas qui ne comprenait rien à la scène qui venait de se dérouler.

-Que veux-tu Paolo, quémandait son ami.

-En fait, je venais récupérer la boite que j'ai oublié dans ton bureau hier soir. marmonnait il faiblement en se frottant l'arrière de la tête. C'est Isabella, elle m'a fait parvenir un petit colis ici, continuait il en ne sachant comment rattraper son erreur.

-Tu viens me dire que le test de grossesse que je croyais appartenir à Patricia n'est en fait que celui d'Isabella? Paolo décontenancé , affirmait de la tête. Dégage Paolo avant que je te tue! ordonnait l'homme en prenant le chemin de la cuisine où il savait qu'il trouverait la jeune femme. A son arrivée, il constatait que Josepha était déjà présente ainsi que sa cuisinière. Il se penchait pour embrasser Patricia mais celle ci se levait précipitamment pour s'extraire de la pièce suivi de près par Silas. La main de L'homme se posait sur l'épaule de la jeune femme, il tirait son corps dans le salon, prenant soin de fermer la porte à clés. Il plaquait sans prévenir le dos de cette dernière contre le mur. Elle ne quittait pas son regard, ses orbes étaient obscure.

-Laisse moi tranquille Scapelloni! crachait elle en essayant de se libérer. Va retrouver tes putes! scandait elle sous le rictus de son homme.

-Jalouse ? questionnait il en déposant un baiser langoureux sur la joue de la jeune femme qui tournait son visage pour faire cesser ce contact. Le test était à Isabella, concluait il en descendant dans le cou de Patricia. Ta réaction m'a énormément déçu Mlle Moruaty, jamais je n'aurais cru que vous aviez un aussi sale caractère.

-Tu es sérieux? tu m'accuses de te cacher une grossesse qui n'est même pas réelle.

-C'est fort dommage, car qui te dis que je n'ai pas changé ta pilule par d'autres médicaments pour justement qu'ici, lance t'il en déposant sa main sur le ventre de sa compagne l'obligeant à se raidir,  notre enfant soit en train de grandir.

-Mais tu es complètement malade, criait elle en le poussant d'elle. Je ne suis pas le style de femme à faire un enfant dans le dos de mon conjoint! Et si jamais tu as osé faire cela, tu le regretteras Silas Scapelloni! Scandait elle en se sauvant de la pièce sous le rire de Silas. Il venait de la tester, d'une façon perverse mais maintenant il était sur qu'elle ne lui ferais pas un enfant sans que lui le désir aussi. Un enfant qui ne viendrais jamais car Silas s'est toujours promis qu'un enfant serait qu'une source de faiblesse!