-Silas pourrais-tu cesser de faire l'enfant! déclarait Patricia en tentant de changer le pansement de son homme. Ce dernier ne cessait de gigoter. Mais enfin tu n'as pas dix ans! reprenait elle. Il fallait reconnaître que la position n'était pas digne d'un médecin envers son patient. Patricia était assise sur les jambes de Silas qui lui avait pris position semi allongé sur le lit.
-Rassure moi, tu n'ausculte pas tes patients ainsi vêtu? questionnait il en observant la chemise qui laissait percevoir son soutien gorge.
-Bien sur que non ironisait elle, je suis totalement nue en dessous ma blouse! dévoilât elle sous le regard meurtrier de Silas. Tu m'épuises Scapelloni! soufflait elle victorieuse de voir sa jalousie se dessiner sur son visage. Je porte une tenue bleue, un pantalon et une veste que je cache en dessous une blouse blanche que je protège par un tablier en cuir et tout cela agrémenté d'une charlotte, d'une visière et de sur chaussure! ma tenue te convient elle? demandait elle en plaçant le sparadrap. C'est bon Mr Scapelloni, votre pansement est propre, aucune infection en vue. Je pense que je peux valider votre retour à votre travail! s'amusait elle à déclarer sous un petit cri qu'elle laissait jaillir quand son amant la retournait pour se positionner au-dessus d'elle entre ses cuisses. Silas, ta blessure.
-Au diable ma blessure, j'en ai une autre qui a besoin d'être guérit et la seule qui peut me guérir est là, car j'ai bien compris que me sonder était un plaisir que tu t'es offert! expliquait il en glissant un doigt en elle. Patricia s'abandonnait entre les bras de son amant. Ils n'avaient pas parler du coup de feux, elle ne voulait pas , elle désirait qu'il le fasse en premier. En peu de temps, il s'introduisait en elle, savourant ce contact qui lui avait manqué, ses touchers, sa chaleur tout de lui s'ancrait dans le spores de la jeune femme. Silas je n'ai pas de pilule, crachait elle en serrant ses cuisses contre lui.
-Fais moi confiance, soufflait il en reprenant ses va et vient en elle, la faisant gémir d'une puissance sans nom. Il se retirait branlant son membre au-dessus du ventre de sa douce, elle admirait l'image de l'homme dans toute sa virilité, il faisait basculer sa tête en arrière sous le jet de son sperme qui s'étalait sur la peau de Patricia. Il déposait un tendre baiser sur les lèvres de sa douce. Va prendre une douche, tu en a partout précisait il souriant contre les lipps de sa compagne.
-Et si je veux garder ta descendance ici sur mon ventre, rétorquait elle le regard plein de malice, mais la réaction de Silas n'était pas celle qu'elle avait espéré.
-Tu veux vraiment parler d'enfants? je vais être clair sur ce sujet. Des enfants ou un enfant, je n'en veux pas! crachait il sous son corps qui se levait du matelas. Ton passé, mon enfance, tout cela réunit devrais te retirer le désir de devenir mère. Tu as souffert en étant enfant de mafieux tout comme moi, j'ai souffert de ne pas avoir une vie normale, de devoir toujours surveiller mes arrières à cause du rang de mon père! expliquait il en passant sa chemise sur son torse. J'ai jalousé mes amis normaux, eux qui pouvaient sortir sans craindre d'être kidnappé ou tué! argumentait il en se retournant pour la regarder. Alors non Patricia, ne compte pas sur moi pour t'offrir une grossesse que je ne désirerais pas! scandait il en sortant de la chambre laissant la femme seule. Elle s'allongeait sur le matelas, le corps recroquevillé, elle venait de prendre une claque en pleine figure. Elle savait qu'il avait raison mais elle ne pouvait pas s'empêcher de penser qu'il était égoïste. Oui elle voulait des enfants quand elle se sentirait prête, elle avait espéré que Silas soit lui aussi de son point de vue mais hélas, son désir le plus secret venait d'exploser dans un nuage de fumée, laissant derrière lui, une jeune femme attristée aux orbes azur inondés du liquide salé qui s'écoulait sans qu'elle ne réalise qu'il s'enfuyait de ses yeux pour venir s'écraser à l'endroit même où il y a peu, Silas lui faisait l'amour.
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Le mafieux
RandomElle promenait sa personne dans les ruines de selinunte, espérant être seule. elle portait son regard par ci par là, finissant son ascension sur des hommes qui maintenait un des leurs . Elle savait qu'elle devait fuir mais la peur la tétanisait, l'o...