Silas de toute sa hauteur, épiait sa famille se promener dans le jardin. Il repensait à toutes les années qui ont suivie la naissance de leurs premiers fils, leandro , il est fier de l'avoir mis au monde mais surtout il est fier de la femme qui marche à ses côtés, sa femme.
Il ferme les yeux pour chasser le douloureux souvenir qui l'empoissonne encore et encore, deux ans après la naissance de son aîné, Loeizia a mis au monde une petite fille morte née, étranglé par le cordon.De longs mois se sont écoulés avant qu'elle ne s'en remette vraiment, lui ne s'en ai jamais réellement remis.
-Padre, hurle Léandro en l'encontre de son père attirant son regard sur le jeune adolescent qui lui fais face. Mama ne cesse de me dire que je n'ai pas le droit d'aller jouer avec Rosero et carmina. stipulait le jeune homme de douze ans, sous l'approche de sa femme, les sourcils légèrement relevés. Silas observe les deux petits êtres qui couraient autour de leur mère. Ses faux jumeaux du haut de leurs huit ans étaient des piles sur pattes. Il étire ses lèvres dans un sourire a damner un saint à l'encontre de sa douce. Elle approchait de lui glissant une main dans son dos, Silas attentif à son épouse posait à son tour une main sur son ventre arrondis, il déposait un chaste baiser, ce geste arrêtait la course effrénés de deux paires d'yeux qui se posaient sur eux, les jumeaux admiraient leurs parents. Léandro geignait de voir ses parents s'embrasser. malgré que son fils et sa fille n'étaient pas de vrais jumeaux, ils avaient une ressemblance énorme.
-Comment vont mes bébés? murmurait Silas contre l'oreille de Loeizia. Elle fermait les yeux car oui elle portait de nouveau des jumeaux. Le gynécologue avait précisé que cela arrivait rarement et Loeizia avait fondus en larme car sa dernière grossesse, ne l'avait pas épargné de souffrance durant huit longs mois. Elle lui soufflait qu'ils allaient bien et que pour une fois, ils avaient décidés de ne pas entamer une partie de foot, qu'ils devaient surement être en mi-temps. Silas obligeait sa femme a prendre position sur la chaise longue. Léandro, appelait il sous le regard observateur de sa femme. Les jumeaux avait décidés de jouer avec Auguste, et oui, cette boule de poil malgré sa vieillesse était toujours présent avec eux. le frère et la sœur avaient érigés un amour inconditionnel envers cet animal qui leur rendait la pareil. Ta mère ne t'empêche pas d'aller chez Paolo, signalait il, car ce sont eux qui viennent à la maison, ainsi que tes deux grands-pères, précisait il sous le sourire charmeur que son fils lui offrait. Paolo et Isabella étaient devenus le parrain et la marraine de Léandro, le couple avait eut une dernière fille quatre ans après la naissance de Léandro. Il pensait à Rosario qui se reposait à l'étage, et qui n'était qu'un enfant quand ses arrières petits-enfants étaient dans les parages. Julio qui vivait un amour passionné avec Ariana l'assistante de Loeizia. Edouard avait été tué lors d'un accident de la route soulageant Silas de toujours être sur le qui-vive à cause de cet homme. Après l'explications de son père, Léandro offrait un visage des plus heureux. Il avait même emmené les jumeaux avec lui, laissant le couple tranquille.
-Scapelloni, avouait Loeizia en se plaçant entre les cuisses de son mari. Merci de m'avoir offert une famille! lançait elle en sentant les larmes monter à ses orbes. Mais une chose est sur Silas, les chats ne font pas des chiens. murmurait elle sous les caresses douces et sensuelles que lui offrait les mains de son mari sur son ventre qui se mettait à bouger.
-Ils sont nerveux, faisait constater Silas.
-Comme a chaque fois que ton fils aîné parle de Carmina. déclarait elle d'une voix sincère avant de se dresser pour le regarder. Léandro est amoureux de cette petite, c'est étrange il me rappel quelqu'un que j'ai connu il y a longtemps! ironisait elle sous le roulement d'épaule de Silas qui lui faisait face. Il l'enlaçait contre lui malgré l'imposante rondeur de son bidon. J'ai peur Silas, avouait elle. Et si ils vivaient la même chose que nous?
-Ils ne sont pas nous mon amour, et rien ne pourrait entacher, si tu dis vrai, précisait il, ce lien qu'ils ont. Laisse les croire à une amitié, laisse les affronter la vie. continuait il à divulguer pour soulager les tensions qui vivait dans sa femme. J'ai tout fait pour que ma famille ne craigne plus le monde extérieur, j'ai fais en sorte que toutes les menaces soient éliminés. Plus rien mon amour, ne peut nous arriver sans que je sois prévenus avant même que la personne ne mette ses menaces à exécution! rassurait le mafieux.
-Silas nous ne pouvons pas prévoir de quoi demain sera fait!
-Détrompes toi mon amour, je sais de quoi demain sera fait, soufflait il, d'amour, de désir et de vie. Car chaque jour depuis ton retour , je remercie le ciel de t'avoir ramené à mes côtés, je le remercie de m'avoir offert une famille que j'aurais regretté de ne pas avoir. Mais surtout Loeizia Scapelloni, déclarait il en plongeant son regard dans le sien, je le remercie de m'avoir permis de poser mes yeux sur toi, car tu es celle que j'avais toujours attendus, celle qui m'a offert le règne sur la silice, mais surtout celle qui a chassé le mafieux sans cœur et sans compassion que j'étais. Je suis un homme heureux grâce à toi, car tu es ma vie, tu es le désir qui m'aide à me lever chaque matin, qui m'aide à réfléchir avant de décider du sort de mes ennemis, de réfléchir quel impact aura mon geste pour la vie de ma famille. Tu dois comprendre que Le mafieux ce n'est pas moi mon amour, le mafieux c'est toi! déclarait il sans jamais n'avoir baissé les yeux des prunelles de son épouse. Je t'aime Madame Scapelloni et ça, n'en doute jamais!
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Le mafieux est terminé, merci d'avoir été là tout le long de cet écrit, Je vais peut-être faire un épilogue sur le point de vue de Léandro des années après. Je ne sais pas encore, qu'en pensez-vous? mille merci pour votre présence, pour vos messages.
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Le mafieux
RandomElle promenait sa personne dans les ruines de selinunte, espérant être seule. elle portait son regard par ci par là, finissant son ascension sur des hommes qui maintenait un des leurs . Elle savait qu'elle devait fuir mais la peur la tétanisait, l'o...