Chapitre 36

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-Bordel silas, tu ne peux pas épouser ma petite fille sans qu'elle ne sois au courant de qui je suis pour elle: scandait le vieil homme d'une voix brisée, il regardait son invité avec tristesse. De toute sa vie l'homme avait entendu diverses sottise mais celle de Silas était irréelle.

-Dans ce cas, je vais arranger cela! rétorquait le futur marié contrarié par le refus catégorique de son aine. Vous et Nino , je vous convie à partager notre repas ce soir. Et de ce fait, précisait il tout en se levant, je souhaiterais que vous parliez à ma femme! je lui ais promis de l'épouser demain sur la plage, alors ne me faites pas passer pour un menteur à ses yeux! concluait Silas d'une voix aigrie en se dirigeant vers la sortie. 

-Pourquoi les as tu invités? nerveuse à l'idée de revoir son vrai père, Loeizia ne cessait de frotter le tissu de son pantalon en lin. Silas, je panique, avouait elle sous le rire sardonique que son amant.

-Je le vois mon amour. Il observait la noirceur de sa chevelure qui contrastait avec la pâleur de sa peau, des éclats brillaient à l'intérieur dès qu'elle effectuait un mouvement. Il aimait l'anatomie de sa douce, sa taille creusée accentuait le galbe de ses hanches. Tout chez elle était un délice à toucher. Il détournait le regard de sa compagne pour observer ses hommes à travers la fenêtre de leur chambre mener le matériel nécessaire pour leur union qui sera célébré demain. Loeizia, t'ais-je déjà avouer, demandait il en attirant son regard sur lui, que je t'aime comme un taré! elle souriait en déposant sa main sur sa joue en scellant ses orbes à ceux de son amant. Le sentiment que je croyais protecteur quand tu étais enfant, continuait il en retirant sa chemise sous le regard gourmand de la jeune femme, n'était que le début de mon amour envers toi, il retirait son pantalon en obligeant la jeune femme à s'étendre sur lel it, Son membre s'étendait devant elle, elle le voulait en elle, elle retirait à son tour tous les vêtements superflus qu'elle trouvait inutile. Sans appel, il la plaçait à genoux devant lui, il glissait ses mains sur les rondeurs de ses hanches et s'introduisait en elle d'un coup de rein. Il appréciait la vue que lui offrait cette position, lentement il caressait son dos en remontant vers son cou, il empoignait ses cheveux en tirant, elle relevait son crâne pour le plus grand plaisir de Silas. De sa main libre, il claquait le fessier de Loeizia qui gémissait d'une façon qui faisait vibrer l'homme. Tout en maintenant sa chevelure, il percutait sauvagement la jeune femme qui en demandait encore plus. Dans un râle, il se vidait en elle, elle s'écroulait sur le matelas, Silas déposait un baiser sur ses fesses avant de s'allonger à ses côtés.Promets moi de toujours m'aimer quoi qu'il se passe.

-Silas, après tout ce que nous avons vécus, tu crois que je pourrais ne plus t'aimer? lançait la jeune femme en se mettant à califourchon sur lui. Crois moi Scapelloni , le premier qui n'aimera plus l'autre, c'est toi! et si l'envie t'en prend, ajoutait elle tout en s'approchant de ses oreilles, je te couperai les couilles! soufflait elle tout en explosant d'un fou rire communicatif sous les chatouilles enfantines que Silas lui offraient sans savoir que ces hommes entendaient les rires du couples.

 Loeizia pour l'occasion avait revêtu une robe noire fendue offrant son dos à l'air libre.L'échancrure à sa poitrine rendait fou Silas, le V que ce décolleté lui offrait s'étendait jusqu'au nombril. Sa chevelure était tirés dans un chignon strict, des mèches ondulaient à partir de la base pour venir grignoter l'épiderme de ses épaules.Quand il avait posé ses yeux sur elle à son entrée dans la salle, il devenait fou de voir tous les regards se porter sur sa promise. Segnore Léoné avait convié au repas, sept de ses collaborateurs ainsi que leurs épouses pour présenter sa petite fille au clan. Pour cela, Rosario était venu plus tôt que les autres, troublant le programme que les jeunes amoureux avaient prévus avant la soirée. Il avait demandé à voir Loeizia en privé. Elle était arrivée les cheveux libres comme l'air, vêtu d'une chemise de Silas et d'un leggings.

-Prends place mon enfant! nous devons parler toi et moi. le vieil homme avait prit place sur le fauteuil de Silas, ce dernier par politesse et respect envers l'ancien, avait préféré qu'ils conversent dans son bureau, au calme. Tu sais Loeizia, avait susurré Rosario sous les pas qu'elle lui offrait en se rendant devant la baie vitrée, sa démarche était féline, elle avançait d'un pas assuré avant de se retourner pour lui face, lui offrant un affront qui obligeait le vieil homme à plisser les yeux.

-Je sais qui vous êtes Ségnore Léoné. lâchait elle en croisant ses mains devant elle, comme une petite fille gênée. Mon père n'est que Nino Léoné qui est votre fils. la jeune femme se sentant plus détendue approchait pour prendre place sur le canapé.L'homme qui a été mon père durant quatorze ans sous le nom de Joseph Moruaty était mon vrai père, un homme que vous avez renié suite à sa demande envers vous! déblatérait elle sans s'arrêter un seul instant. Je ne vous en veut pas, si vous êtes venue chercher le pardon auprès de moi, je vous l'octroie. Durant plus de quatorze ans j'ai vécue dans le mensonge, je devais toujours faire attention, nouer aucune amitié avec qui que se soit. expliquait elle le regard nostalgique. Alors je n'ai pas envie de perdre une seconde de plus pour apprendre à vous connaître plus intimement vous ou mon père que je connais déjà.

-Puis-je apprendre comment tu as su pour moi? interrogeait il en jouant avec sa canne.

-C'est simple, je suis retourné au cimetière, je suis entrée dans le caveau et j'ai ouvert le bloc de dessin, dedans se trouvait tous mes dessins, ainsi que des photos de moi quand j'étais enfant. détaillait elle sereinement. La raison qui m'a réellement fait connaître la vérité, commençait elle à dire en se levant sous l'entrée de son père. C'est la nuit de ma fuite, Quand Jeseto m'a réveillé mes souvenirs, tout m'est revenue. Gino qui expliquait à ma mère que Nino serait avec nous et qu'il était temps que nous soyons réunis tous les trois, je n'irai pas plus loin dans les explications. crachait elle en se retournant pour éviter le regard des deux hommes. Mais surtout, je vous ais entendue converser avec silas ici même. Sans le savoir, vous avez confirmé les preuves que j'avais trouvés. reprenait elle en portant son regard sur son homme qui marchait à l'extérieur. Il levait son visage pour la regarder à son tour ,il lui souriait en lui envoyant un baiser de la main. J'aime Silas d'une façon que je ne pourrais vous expliquer, il est celui que j'ai toujours désiré comme amant, comme mari et si nous en avons encore le droit, comme père de mes enfants. Pour lui, je pourrais tuer! avouait elle sous le claquement de canne du vieil homme qui l'obligeait à se retourner.

-C'est tout ce que je voulais entendre. Déclarait il en approchant de la jeune femme, il l'embrassait sur le front, fermant les yeux, elle appréciait l'étreinte que son grand-père venait de lui offrir. J'aimerais si cela te convient, que ce soir, tu en mettes pleins la vue à tous mes collaborateurs! 

  Loeizia avancait à l'encontre de Silas, elle roulait des hanches sans le quitter du regard, un sourire au coins de ses lèvres, elle se sentait puissante quand il glissait une main sur ses reins l'attirant à lui.

-Crois moi que cette robe, tu la porte pour la première et dernière fois ce soir! lui jurait il tout contre son oreille en observant les convives qui les épiaient. Elle jouait un rôle ce soir, un rôle qu'elle appréciait plus qu'elle ne l'aurait désirée. Elle glissait une main dans le cou de son amant et à son tour elle divulgua tout en murmurant à l'oreille de Silas qui se raidissait,

-PEut-être préférerais tu me l'arracher pour voir si je porte quelque chose en dessous? mais méfie toi Scapelloni, je n'aime guère les hommes qui ont tendances à parler plus qu'ils n'agissent.... SIlas sentait son désir s'envoler pour laisser place à la jalousie qui le rendait méfiant envers tous les regards posés sur Loeizia, elle se retournait pour l'épier, elle lui adressait un clin d'œil sensuel tout en se passant la langue sur les lèvres, et d'un geste elle approchait de Julio à qui elle fit une accolade qui mettait les nerfs à rude épreuves de son futur mari.

Le mafieuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant