Chapitre 38

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-Mme Scapelloni laissez moi vous dire que je suis l'homme le plus heureux. avouait Silas en portant sa femme dans ses bras. Le mariage avait été rapide, simple et majestueux. Josepha avait joué son rôle de témoin à la perfection, mais Loeizia voyait en elle la présence que sa mère ne pouvait pas jouer. Rosario avait pleuré lors de leurs vœux, Julio lui avait observé fièrement l'union des deux personnes face à lui. 

    Silas ouvrait la porte du bateau qui allait les accueillir durant les trois prochains jours. Il glissaient leurs corps jusqu'à la suite qui les attendaient au fond du couloir. Elle souriait de voir son homme nerveux. Je vais la trouver cette putain de porte, scandait le mafieux en la trouvant enfin. Il déposait sa douce sur le bord du matelas. Elle portait une robe blanche, d'une simplicité alarmante, ses cheveux avaient étés tressés d'une natte où jonchait des petites fleurs. Elle ressemblait à une jeune vierge, attendant de se faire déflorer. L'homme approchait de sa proie le regard brillant d'un désir gourmand. Il roulait des épaules en retirant sa veste qu'il envoyait au loin, sa cravate suivait le même chemin. Loeizia reluquait chaque mouvement de son mari. Il s'arrêtait à quelques centimètres d'elle pour détailler l'anatomie de sa compagne, ses orbes qui caressait d'un regard brûlant le corps de Loeizia attisait le feu qui brûlait dans ses pores.

  Il déposait d'une poigne ardente ses mains sur les épaules de sa partenaire, il glissait deux doigts sous le tissu qu'il empoignait férocement avant de le déchirer sauvagement pour lui offrir une vue des plus exquise.

-Bordel, crachait il en découvrant le corps de femme entièrement dépourvus de sous-vêtements. Tu veux ma mort! demandait il en se pressant de dégager ses chaussures et de terminer de se déshabiller. Loeizia, je pense qu'à partir d'aujourd'hui, je vais t'interdire de sortir en robe. Déclarait il sous le sourire intimidé de sa belle. Il renversait le corps de sa femme sur le lit, il observait sa peau frissonner, la marque arrondie sur son ventre, il caressait sa jambe avant de la plier pour qu'elle se pose sur le matelas, il reproduisait le même scénario sur l'autre. Il se glissait entre les cuisses de sa douce, qui se cambrait dès que la langue de Silas rentrait en contact avec son jardin secret. Il la goûtait découvrant un gout qu'il ne lui connaissait pas, savourait ce miel  qui perlait pour lui. Il remontait pour la voir tout en jouant de son doigt sur son clitoris, qu'elle était réceptive sa femme. Il jouait encore et encore avec son mont de vénus, la rendant dingue de folie, d'un désir qu'elle extirpait de sa gorge, hurlant d'un bonheur sans nom. Il rentrait en elle comme la première fois, restant ainsi quelques instants pour sceller son regard à celui de sa femme. Loeizia conduisait ses mains autours du cou de son mari pour l'attirer contre ses lèvres. Il appuyait son entrée dans son sexe, levant les fesses de sa douce avec ses mains, sa prise sur sa partenaire était profonde, intense, il butait plus ardemment en elle. Loeizia n'était qu'une poupée de chiffon entre ses bras, les sensations qu'il lui offrait lui était totalement inconnus, rien n'était comparable, elle gesticulait d'un désir sans retour, abandonnant ses idées de le satisfaire lui aussi, Loeizia était conduite dans un endroit irréel, surréaliste, elle était à mille lieux sous les râles de plaisir qu'il lui offrait. Elle était au paradis de la jouissance. Silas écartait plus en grand les cuisses de sa belle tout en levant son bassin, il voulait être en elle jusqu'à la garde, chose qu'il obtenait à travers cette position. L'ultime coup de rein sonnait, sa femme jouissait, tremblante, le souffle court. il maintenait sa femme ainsi avant de se vider tout en elle contre sa matrice. Lui offrant ses derniers coups de reins pour expulser toute sa semence. Éreinté, il s'allongeait à ses côtés en la prenant dans ses bras avant de s'endormir l'un contre l'autre.

   Il portait son regard sur la route qui défilait à travers sa vitre, il pensait à sa lune de miel, rapide mais intense avec sa belle. En ce moment, il rejoignait le lieux de pénitence de Dylan et d'Edouard. Il devait en finir avec ses deux là. Paolo se garait devant le container perdu au milieu d'un terrain vague loin de toutes civilisations. 

Le mafieuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant