Silas sirote une bière en compagnie de Paolo, ce soir lui et Patricia sont chez ce dernier. Silas d'un oeil observateur épie sa compagne parler avec Isabella. Quand il l'a retrouvé à genoux sur la plage, il a eut mal de la voir aussi dévasté.
-Qu'est-ce qui se passe Silas? demandait d'une voix curieuse son ami.
-Il se passe mon cher Paolo, que la femme qui tient une petite fille dans ses bras à côté de la tienne a refusé ma demande en mariage. déclare t'il en portant le goulot à ses lèvres.
-Patricia t'a dis non? ironisait il en imitant son ami.
-Oui, pour la simple raison que je lui refuse de porter un enfant! précisait il
-Tu fais chier Silas avec tes principes.déclarait Paolo sous le soulèvement de sourcils de son patron. Cette femme tu l'as dans la peau depuis tes quoi? quinze ans. c'était qu'une gamine mais regarde la maintenant, c'est une femme, elle a passé sa vie dans le mensonge. Tu crois pas que de faire l'égoïste comme tu le fait va la persuader que tu l'aimes! lançait il dans l'espoir de faire réfléchir Silas.
-Faire un gosse avec notre boulot relève de l'imbécillité.
-Je te remercie, j'ai des jumelles comme tu le voit, et dont tu en es le parrain et mon troisième est en route comme tu peux le constater sur le ventre d'Isabella. précisait Paolo en se redressant sur son transat. C'est ne pas faire de gosses qui relève de l'imbécillité, car tu t'empêche de vivre Silas. Et en plus, tu vas empêcher une femme qui te dévore des yeux de porter votre enfant! soufflait il avant que les jeunes femmes reviennent vers eux.
-Paolo, figure toi que Patricia s'est proposé de garder les petites si nous avions besoin! expliquait Isabella le sourire aux lèvres. Je te remercierais jamais assez. Lançait elle toute souriante.
Les deux couples prenaient place autour de la table, les jumelles couraient dans le jardin sous le regard admiratif de Patricia, Silas caché derrière ses lunettes de soleil observait le plaisir qui se lisait sur sa compagne. Elle conversait énormément sur l'arrivée du dernier qu'Isabella préparait lentement car elle ses entait plus fatiguée pour cette grossesse que pour celle des jumelles et que chaque grossesse était différente.
-Mais si, lançait la future maman à Patricia, tu verras quand tu seras enceinte, c'est merveilleux de sentir en toi ton bébé bouger. sa voix était remplis d'un plaisir que Patricia ne ressentirais jamais. Elle se levait s'excusant pour se rendre aux toilettes. Elle fermait la porte avant de fondre en larme. Elle calait ses mains devant ses yeux quand elle sentait un torse se coller à elle en l'entourant de ses bras.
-Je te demande pardon, avouait Silas en la berçant tendrement. Pardon d'être un putain d'égoïste de ne pas vouloir d'enfant. soufflait il sous les reniflements de sa compagne.
-Non Silas malheureusement tu as raison. avouait elle, je n'ai pas le droit de mettre au monde un petit être qui sera malheureux toute sa vie car il ne pourra pas connaître la réalité d'une vie tout à fait normale. Je n'en ai pas le droit! concluait elle affrontant sa triste décision.
La soirée s'écoulait dans les rires, la plénitude d'une soirée entre amis. Silas et Patricia prenait congés de leurs convives pour rentrer au domaine. Il conduisait sa partenaire sur la plage privé, il étendait une grande serviette sous le regard interrogateur de la jeune femme.
-Je t'ai fais l'amour la première fois ici, avouait il en la prenant dans ses bras. Et je vais te refaire l'amour ici ce soir. Déclarait il en agrippant la fermeture éclaire de la robe de Patricia. Le tissu glissait sur sa peau, tendrement il déposait ses lèvres sur celle de sa compagne, il dirigeait leurs corps au sol savourant chaque parcelle de l'épiderme qu'elle lui offrait. Il prenait plaisir à torturer le mental de Patricia qui ne cessait de gémir entre ses mains. Son corps se mouvait dans un plaisir ardent qui envahissait sa partenaire, elle criait d'un extase sans nom, offrant à son homme, un corps luisant du bonheur qu'il lui allouait.
Il savourait le nectar de sa douce, léchant d'une façon sensuelle ces lèvres vaginales, elle l'implorait de la prendre là sur le champs, mais il refusait de céder à sa demande préférant absorber ses cris sous ses caresses. Il remontait vers son visage tout en se plaçant entre ses jambes qu'elle écartait prête à le recevoir. D'un coup de rein puissant il rentrait en elle, butant contre sa matrice, il restait ainsi quelque seconde plongeant dans le regard de sa douce. Ses coups de reins devenait plus percutants plus profond, il l'observait ouvrir la bouche pour laisser extraire ses cris de jouissance, il pilonnait l'intérieur de Patricia qui se mouvait sous ses coups de butoir. Ils étaient en osmose, une fusion entre eux était présente. Il sentait sa délivrance arriver, il se penchait sur elle, l'obligeant à le regarder, d'un coup de rein qui faisait gémir violemment sa douce sans qu'elle ne lâche son regard il se vidait dans son intérieur,il ouvrait ses lèvres
-Je t'aime. avouait il en restant en elle durant de longues minutes sans jamais se quitter du regard. Patricia versait une larme après les dires de Silas qui se poussait pour s'allonger à ses cotés tout en l'attirant contre lui.
-Redis le, murmurait elle d'une voix douce.
-Je t'aime Patricia Moruaty, je t'aime Loeizia Campogni. déclarait il sous le souffle chaud que Patricia venait de poser sur sa joue avant de l'embrasser.
-Je t'aime aussi Silas Scapelloni et oui je veux devenir ta femme! avouait elle sous l'étreinte plus que ravie que lui offrait Silas, il laissait éclater son bonheur en la serrant dans ses bras en jurant en Italien qu'il ferait tout pour la rendre heureuse. Mais la seule chose qui la rendrait heureuse, il lui refusait, elle avalait sa tristesse voulant savourer elle aussi ce moment qu'ils partageaient sur la plage durant de longues heures où Silas prenait un plaisir à lui faire l'amour sans jamais cesser de lui jurer que plus rien ne pourrait les séparer!
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Le mafieux
RandomElle promenait sa personne dans les ruines de selinunte, espérant être seule. elle portait son regard par ci par là, finissant son ascension sur des hommes qui maintenait un des leurs . Elle savait qu'elle devait fuir mais la peur la tétanisait, l'o...