Chapitre 24

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-Mr Scapelloni, vous avez un rendez-vous des plus inattendus. Conférait Josepha devant le bureau de son patron qui relevait son regard du dossier qu'il lisait.

-J'avais pourtant notifié de ne pas me déranger. notifiait il d'une voix contrariée.

-Je sais mais je me devais de vous avertir. Cette personne insiste vraiment. tentait elle de dire sous le retrait des lunettes de son patron qu'il portait à son étui.

-Faites la entrer que je m'en débarrasse moi-même Mlle Léonie! précisait il en posant son dos confortablement sur son dossier. Il patientait quand à sa porte deux léger coups signalant que la personne était présente retentissaient. Entrez, scandait Silas sans bouger de son bureau. J'espere pour vous que votre intrusion m'obligeant à cesser du travail important est d'une haute importance! Crachait il en relevant son regard sur la femme qui le laissait stoïque.

-Mr Scapelloni, murmurait elle sans poser une seule fois ses yeux sur lui, tenant fermement une enveloppe. Je voudrais et seulement si vous cherchez une personne sans expérience, enfin un peu. bégayait elle sans bouger de la porte. Vous proposer ma candidature. Silas observait la femme devant lui, elle portait un tailleur sombre comme sa chevelure qu'elle avait relevé dans un chignon stricte. il déviait son regard à sa poitrine qui n'était caché que par la veste de son tailleur, il déglutissait en desserrant sa cravate.

-Approchez voulez-vous! ordonnait il en observant la marche sensuelle qu'elle lui offrait, donnez moi votre enveloppe. lançait il en tendant la main, elle déposait sa précieuse entre ses doigts, il rigolait intérieurement de voir une femme aussi gênée qu'elle venir proposer de travailler pour la mafia. Il ouvrait de son coupe papier l'enveloppe, il en extrait deux feuilles qu'il se mettait à lire avec concentration, mais avant il lui indiquait la chaise qu'elle attrapait aussitôt pour s'asseoir en tirant sur les pans de sa jupe. Je reconnais que votre C.V est plus qu'alléchant. Vous voulez travailler pour moi?

-OUi Mr Scapelloni murmurait elle toujours le regard ancré au sol.

-Pouvez-vous me regarder Mlle!, si vous n'y arrivez pas, la porte est là-bas! précisait il froidement. Elle relevait les yeux, son visage était d'une rougeur amusante. Il pouvait lire en elle, la gêne d'être face à lui. Il se levait de son siège se rendant à sa porte qu'il fermait à clés. La jeune femme serrait ses jambes, elle croisait ses mains sur ses cuisses quand il venait prendre appuis sur son bureau près d'elle. Il glissait un doigt sous son menton qu'il relevait pour l'observer. Les pupilles de sa postulante étaient dilatées, ses mains étaient moites, elle était envahit par une nervosité qui amusait Silas. Si je vous prends dans mon entreprise, je serais amené à vous contacter jour et nuit, vous devrez toujours répondre oui et jamais ne divulguer se que vous verrez où entendrez sous peine de représailles.

-Oui Mr Scapelloni! Je sais que mon silence est ma garantie de vivre.

-Vous apprenez vite! déclarait il en glissant sa main le long du cou de la jeune femme qui frissonnait à ce contact. Il descendait à sa poitrine qu'il caressait chaleureusement, il sentait sous son touché ses tétons durcirent. Il aidait la femme à se dresser pour qu'elle soit face à lui. Il ne se faisait pas prier pour déchirer la veste de son tailleur, lui offrant la vue qu'il avait désiré depuis qu'il avait posé ses yeux sur elle. JE reconnais que vous avoir dans mon équipe serait un avantage tout à mon honneur. Déclarait il d'une voix rauque en l'embrassant fougueusement tout en la conduisant sur le canapé au fond de son bureau. Il trouvait de ses doigts la fermeture de sa jupe qu'il descendait rapidement. Elle s'étalait en corolle au sol, sensuellement, la jeune femme levait à tour de rôle ses jambes qu'elle laissait posées dans ses talons. Il déposait sa partenaire sur le canapé jambes écartées, il s'agenouillait face à elle et enfouissait son visage entre ses cuisses, s'abreuvant de l'excitation qui baignait en elle. Il savait qu'il n'avait guère de temps pour assouvir de la prendre, il retirait à son tour son pantalon libérant son membre ou il enfilait un préservatif et sans attendre, il s'enfouissait en elle, la faisant gémir. Elle couinait de plaisir sous les coups de reins de l'homme, elle sentait défaillir par le fourmillement qui l'embrassait d'un orgasme foudroyant. En peu de temps, Silas rejoignait sa partenaire en se vidant dans la capote. Il se redressait chacun leurs tour pour se revêtir . Il allait ouvrir les fenêtres dans le but d'enlever l'odeur de sexe qui baignait ce lieu. Il claquait de sa main la fesse de sa future employée. Elle sursautait à ce contact tout en rougissant. 

 Il reprenait la place qu'il occupait avant l'intrusion de cette personne. Elle ne savait pas se qu'elle devait faire quand Silas lui ordonnait de reprendre place sur sa chaise.

-Je reconnais que vous avez des atouts qui ont penchés à votre faveur. Déclarait il, mais je vous interdis de vous rendre sur le terrain seule, vous serez toujours accompagné par un de mes hommes ou par moi-même, est ce bien clair?

-Oui Mr Scapelloni. soufflait elle en tentant de boutonner sa veste qui n'avait plus de bouton. Sans prendre conscience que son patron la regardait avec un désir puisant, elle retirait sa pince de ses cheveux qu'elle secouait pour relier les pans de sa veste entre eux sous les crocs de sa pince. Voilà, lançait elle sous le rictus amusé de Silas.

-Dans ce cas, je suis heureux de vous accueillir en qualité de médecin Mlle Moruaty Patricia! exprimait il sous le sourire de sa compagne.

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un petit chapitre tout simple,

Le mafieuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant