Chapitre12. Le désir ça fait mal.Serviette à la taille, torse nu et goutte tombant de la chevelure, Adrian sillonnait la chambre les yeux fixés à son écran, je me demande si il n'a vraiment pas remarquer que je suis littéralement en train de le dévorer des yeux, il commence une conversation en une langue qui m'est inconnu, Italien espagnol ?
-O madre
Oui mére
-Sono fuori città
Je suis en déplacement
-Non sono solo io te lo concedo
Je ne suis pas seul je te l'accorde
Il s'éloigne vers le balcon en souriant, quand il termine son appel, j'ai reporté mes vêtements de la veille, il me fixe le plus sérieusement du monde puis il sourit, intriguée je lui dis :
-Qu'est ce qu'il y'a ?
-Rien juste que, tu y es réellement arrivée.
Je m'approche de lui à pas de loup un sourire de conquérant à la clé:
-Je ne vois absolument pas de quoi tu parles.
A peine un millimètre nous sépare, si je m'approche encore plus, je serais mouillée, et pas qu'à cause des gouttes qui coulent de son torse pour se confondre avec le coton de sa serviette.
Notre échange de regards est absorbant mais je ne peux pas m'empêcher de baisser les yeux, vers son torse, bronzé par le soleil avide des Bahamas, ses abdos sculptés par l'artiste le plus talentueux de l'Espagne ? Du portugal ? Je ne sais pas d'où il vient. Et il ne me parle pas souvent de lui, pourtant je suis si proche de lui en ce moment en tout cas.
Je relève mes yeux vers lui, et lui me sourit à son tour, murmure un :
-Voyeuse...
Avant de m'embrasser, il veut me quitter, mais je l'arrête le tire vers moi puis l'embrasse encore plus fort, essaie de tirer sur sa serviette, et la fait tomber, son premier réflexe, marcher vers la porte pour la fermer, je me mets à rire.
Il se pince la lèvre inférieure avec les dents, hausse un sourcil, le sourcil droit, et enfin s'approche de moi, l'air furieux, je n'aurais peut-être pas dû rire.
Il m'attrape par les cheveux et me tire vers lui, je laisse échapper un cri de surprise, et merde, je suis dos à lui sa serviette est au sol et je suis dos à lui, donc disons que je vais décéder pour cause d'excès d'excitation.
Mon cœur bat tellement fort merde je suis sûr d'être toute rouge, je donnerais n'importe quoi pour un peu d'espace...
Laisse encore une fois échapper un soupir étouffé, comme une sorte de respiration qui me permet de garder, une sorte de control sur moi-même.
Un control qui s'envole en éclat à l'instant où il lâche mes cheveux, glisse ses doigts de mon cou à mes hanches, sent son ... faire acte de présence. De plus en plus dur...
J'halète encore une fois, lorsqu'il embrasse mon cou, que ces mains compressent mes hanches contre les siennes m'obligent à ne pas bouger, à rester coller à lui, ce n'est pas que je n'en ai pas envie c'est juste que, je ne sais pas avec lui je perds tous mes moyens je ne comprends pas pourquoi, mais ces caresses à lui ne me laisse pas indifférente, et aussi pourquoi il fait aussi chaud ici.
Au moment où il baisse les manches de ma robe je panique et je hurle :
-De quel pays tu viens exactement ?
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L'homme parfait Tome 1 ( en réécriture)
Romance« la grandeur d'un homme ne se mesure pas à son physique ou son matériel, mais plutôt à la manière dont il traite la femme qu'il aime. » Cette phrase a été créée pour définir Adrian Foster. Il est le stéréotype de l'homme parfai...