Chagrin d'amour

47 6 1
                                    

En général tout part d'un seul et unique sentiment : Le manque

Dès lors que l'on se rend compte du fait que l'on a besoin de cette personne auprès de nous

Eh bien, je pense que l'on peut dire qu'on est bel et bien dans la merde.

Pourquoi " dans la merde ?"

Certainement, parce que l'amour est la plus grosse arnaque créée depuis l'apparition de l'être humain dans cette putain de planète

Et pourtant ... Autres fois, j'ai été amoureuse.

Trois fois dans ma vie pour être plus exacte.

La première fois, était une pure douceur.

Après réflexion et analyse, je dirais même que Armin est mon premier amour.

Il a réussi à me faire découvrir ce que c'est d'être avec un homme bien.

Une personne que l'on mérite
...
Une personne qui nous mérite ?

A l'époque du moins, je peux le dire : j'étais sincèrement amoureuse de lui.

La raison pour laquelle l'on s'est quitté lui et moi était bien trop évidente à mes yeux.

Je n'avais pas la maturité, pour assumer une telle overdose d'amour venant de qui que se soit.

Armin était et reste beaucoup trop impliqué, en ce qu'il s'agit d'émotions et de sentiments. Il est allé trop loin, quand il m'a proposé une chose qui me terrifie peut être encore plus que,

Celui qui a tout fait basculé

Aaron Hearts

Ou encore l'homme aux plusieurs visages.

Aaron est l'homme qui m'a le plus fasciné. Je n'étais pas du tout dans mon état normal après avoir abandonné mes amis et disparue de la circulation.

Je voulais fuir la réalité dans laquelle je me trouvais. Et quitte à ne pas rester dans la drogue, le sexe et l'alcool. J'ai suivi le chemin, de ce qui me semblait être celui de la facilité.

Aaron Hearts, la solution à tous mes problèmes.

Quand j'y repense, putain qu'est ce que je pouvais être conne !

À aucun moment, il ne m'a caché le genre d'homme qu'il était. Il n'a jamais été tendre, du moins jamais sans arrières pensées. Il m'a poussé à bout, un nombre incalculable de fois. Il me saignait à blanc, sa passion pour moi, était tel un brassier qui me consumait à petit feu.

Je me suis littéralement donner à lui.

J'étais sa chose.

Je le suis peut être même encore.

Après tout, dans un monde où l'argent appelle l'argent.

Je suis sa chose.

Mais dans le monde où je me situe, dans la réalité que j'ai choisi de vivre; un univers qui m'accorde un libre arbitre, de la dignité, une identité en tant que personne.

L'homme parfait Tome 1 ( en réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant