Il éclate de rire.
Quoi je lui aie juste dit une phrase qui ressembles à une demande en mariage rien de plus .
Je penche légèrement ma tête sur le côté. Il se défait de moi, doucement mais surement. Je l'embrasse une dernière fois et ma porte se referme cette fois pour de bon.
j'expire un bon coup, Il est loin de moi, mais ce lien, cette chose qui s'est produite , ce n'était pas de l'attirance c'était plus profond c'est indéniablement irrésistible.
Alex hurle depuis ma chambre :
-Tu as un appel de Mélichouchou !
J'avance lentement vers ma chambre toujours un peu perdue, toujours perplexe. Il a dû me refiler un virus c'est pas possible d'être aussi accro.
Je prends mon téléphone des mains d'Alex qui était en train de raconter sa vie à Mélissa.
Je lui lances un banal :
-Allô ?
-Va te faire foutre Ma chérie.
-Mais ça va, tu ne vas pas t'énerver pour ça, je ne t'ai pas oublier, je voulais prendre ma clé de voiture pour te rejoindre.
-Je ne parles pas de ça, j'ai reçu ton mail, je peux abandonner les démarches pour qu'on devienne colocataires.
Il n'a pas osé je pensais pouvoir négocier ça avec lui, mais j'ai plus l'impression que je suis prise au piège.
Ma vision se trouble, je respire mal, je ne me sens pas bien, je sens qu'il va se passer un truc bizarre.
On sonne à ma porte. Mon appel se coupe. Je n'avais pas raccroché. Le signal du wifi ne donne plus, il a coupé le réseau.
Je regarde Alex sans sourciller un seul instant je lui dis :
-Ne sort de cette pièce sous aucun prétexte.
il me demande surpris :
-Qu'est ce qui t'arrive ?
On sonne à ma porte pour la deuxième fois, la troisième fois il va briser ma porte. Il l'a déjà fait, il va péter un plomb.
-Je n'ai pas le temps pour argumenter avec toi Alex fait juste ce que je te dis.
J'accours vers ma porte, l'ouvre en avec empressement, je suis essoufflée quand il me demande tout sourire :
-Comment vas tu Elina ?
Je fais bien attention à ne pas croiser son regard quand je lui réponds :
-Je vais bien.
-Bien ! s'exclame-t'il avant de s'asseoir sur mon canapé.
Mon canapé, donne pleine vue sur le parking, le parking où était Adrian. Il l'a vu.
Il m'ordonne :
-Vient t'asseoir sur mes genoux.
Je déglutis, aspire autant d'air qu'il me faut pour arriver à me placer devant lui, et à m'asseoir sur ses genoux.
Soigneusement, il caresse l'intérieure de ma jambe, mes cuises tremblent malgré elles sous ses doigts.
Il se lève ses yeux vers moi l'air sérieux, me dit par l'intonation de voix la plus posée qu'il soit :
-Tu viens de t'envoyer en l'air.
Il passe ma main, sur ma partie sensible, celle qu'il adore, celle qu'il a torturé temps de fois, le bas de mon dos.
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L'homme parfait Tome 1 ( en réécriture)
Roman d'amour« la grandeur d'un homme ne se mesure pas à son physique ou son matériel, mais plutôt à la manière dont il traite la femme qu'il aime. » Cette phrase a été créée pour définir Adrian Foster. Il est le stéréotype de l'homme parfai...