Un aperçu du bonheur

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Chapitre10: un aperçu du bonheur

Une limousine , du champagne qui coulait à flo son corps qui peu à peu se dénudait, mes mains qui étaient impatientes, touchaient tout ce qu'elles pouvaient , les manches de ma robe qui glissent le long de mon corps, ma poitrine nue exposée dans la limousine, ses yeux qui me déshabillent du regard ses mains qui froissent le tissu, en palpant cherchant, de la douceur de la chaleur de l'affection surement, entre mes jambes.

Mes jambes qui ne pouvaient pas se détacher de sa taille, ma langue ne pouvant pas se faire plus impatiente encore, se laissant faire par la sienne, ma respiration et la sienne en symbiose totale, je le veux lui et il me veut moi. Mon dos qui heurte la vitre en plexiglass feutrée, mes doigts qui encadrent son visage.

   Je veux me rappeler de cet instant toute ma vie. Une respiration, notre respiration qui se fait plus forte, plus dure, l'air est tellement surchargé, par cet aura, cette tension, de sexe, de plaisir, cette boule qui se forme dans le bas de mon ventre, qui me déstabilise me montre à quelle point cette envie me contrôle, cette envie d'assouvir cette pulsion primaire, cette pulsion qui se nomme « plaisir » qui nous rend égale à la bête.

   Ses mains qui encadrent ma poitrine, et ses yeux qui la contemple, je baisse les yeux quand il murmure à mon oreille:

-Tu es magnifique.

Je l'embrasse aucune autre réaction ne pourrait suffire pour montrer à quel point je l'aime à cet instant précis.

Mes talons qui avaient résistés jusqu'à maintenant retrouvent le sol. Ses jambes étaient entre les miennes, m'obligeant à supporter sa présence terriblement sexy, je gémis quand il passe un doigt sur ma jugulaire, glisse tout doucement le long de mon côté droit passe par mon téton, s'y arrête, glisse sa langue Je gémis quand il lâche mon sein, pour mes côtés, il glisse sensuellement ses doigts tout le long de mon corps , enlève le reste de ma robe.
 
   J'essaie de maintenir une certaine distance entre lui et moi, en utilisant ma petite main si frêle face à un si grand plaisir.

    Puis il arrive à mes cuisses, enlève ma culotte avec ses dents. Je gémis quand je sens sa joue me chatouiller les cuisses, je mords ma lèvre quand je sens sa barbe de trois jours me picoter l'intérieur des cuisses.Je suis à présent en culotte sur une banquette arrière de limousine de location.

Ma main essuie la buée sur la vitre,on est dans les embouteillages, et il pleut. J'ai froid, il augmente le chauffage, en appuyant sur un simple bouton quand il remarque qu'il pleut.

Il est adorable, il est juste irréel. Je me laisse glisser le long du siège en cuir qui diffuse une douce et agréable chaleur le long de mon corps, je suis couchée, quand il est sur moi, enlève sa chemise.

Ses yeux gris détaillent la scène, je me mords la lèvre inférieure , hésite à le tirer vers moi.

  Déboutonne, l'unique bouton de son pantalon, tire sur sa fermeture, ses yeux me fixent, croisent les miens en une seconde, avant que je ne les replonge sur son boxeur, je l'enlève de mes mains. Découvre son membre, je souris, puis je dis :

-Pas mal équipé, Adrian.

-Pas mal ?

Je n'ai pas le temps de comprendre ce qui m'arrive, mes mains agrippent le dossier du siège arrière, je suis face à lui, mes genoux touchent son torse, mes cuisses agrippées par ses mains,  je sens la force des ses biceps durs, taillés dans la roche, ma poitrine collée à son torse, sa sueur se mélangeant à la mienne, glisse le long de ma poitrine et finit son parcours entre mes jambes.

Sa langue entrelace la mienne, ne me laisse pas le temps de respirer, ni même de comprendre, tout ce que je peux faire c'est apprécier, apprécier cette intimité partagée.

L'homme parfait Tome 1 ( en réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant