De la vraie vie aux gangs

Un jour comme les autres...

Je me suis réveillée à 7h comme d'hab, je suis descendu petit déjeuner mais j'aurais bien voulu dormir plus.

Après m'être habillé je sortie de chez moi et retrouva Léa, on était pas très motivé pour aller au collège parce qu'on avait sport et qu ça fatigue.
On allait en forêt faire de la course d'orientation et j'aime bien ça mais le problème c'est que la forêt est à 25 min à pied et en montée, je ne vous racontes pas la galère.
Je suis déjà fatigué rien qu'à l'idée d'y penser.

                                   *

Enfin arrivés en forêt la prof nous mis en équipe de deux, je me retrouvis avec une fille que je considère comme populaire.

On était à la bourre et on se mit à courir super vite mais comme les nuages étaient gris on ne voyait pas grand chose dans la forêt, c'était sombre.

Il y avait plein de gadoue partout. Puis on dû descendre une pente raide mais nous ne l'avions pas vu et donc nous avons couru et nous avons dévalé la pente en faisant des roulades (mais pas des roulades de gymnaste).

Après avoir retrouvé nos esprits je me rendis compte que j'avais vraiment mal au genou !

Et je n'étais pas la seule à avoir mal , ma partenaire c'était tordue la cheville.

Nous n'étions vraiment pas doué, plaignez nous s'il vous plaît, ayez un peu de pitié.

Au final, on a réussi à retrouver les autres, un peu en boitant.

Tout le monde nous demanda ce qu'il nous était arrivée. Après leur avoir tout expliqué Yann et Léa m'aidèrent à marcher en m'appuyant sur leurs épaules.

Je vis ma partenaire se faire carrément porté sur le dos d'un de ses amis.

Moi : Vous avez vu, ils en font légèrement trop ...

Léa : Grave t'a trop raison. Elle a cas faire comme nous.

Yann: C'est clair ! Elle n'est même pas tombé sur la tête, elle s'est juste tordu la cheville.

Moi : J'imagine pas ce qu'ils feront si elle se casse le bras.

Léa : Sûrement qu'ils la porteront dans leur bras en mode princesse alors qu'elle n'est autre qu'un crapaud.

Moi : mdr le respect.

On se mit tous à rigoler parce qu'on est cons.

Franchement, les populaires veulent trop se faire remarquer c'est abusé.