Djamilatou: Blessure sucrée

Chapitre 41 : Le bon moment

Hey!!!
Pour ceux qui auront probablement oublié la suite des événements vous pouvez lire les 2 derniers chapitres pour essayer de vous remémorer.

Dédié spécialement à passience, Goodmood221 ( 😭 qui ont préféré des menaces de mort à mon égard) et à toutes ces personnes qui n'ont cessé de me suivre depuis le début malgré la très longue attente et la frustration.
J'essaierai au mieux de m'organiser. Je vois vos messages et commentaires j'y répondrai à tous sans exception. Merci encore ♥️

Sooo enjoy it!
😊❤

6303 mots (le chapitre le plus long de ce roman pour le moment)

Bisous ❤

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Djamilatou

Déjà une semaine que j'étais restée clouée au lit, je faisais le moins d'efforts possible. Une semaine qu'il me rendait visite tous les jours, qu'il était attentionné, qu'il était aux petits soins avec moi. Et ce n'était pas pour me déplaire.

J'avais fini par m'habituer à sa présence à mes côtés. Je me sentais bien, je me sentais rassurée et protégée.

Cependant j'allais beaucoup mieux, j'avais moins mal à la poitrine. Je regardais l'horloge murale il n'était que midi. Il ne devrait pas tarder à venir. Depuis,il passait toutes ces pauses en ma compagnie chez moi. L'attention me touchait particulièrement. Je me laissais de plus en plus aller quand il était là. Je n'étais peut-être pas sûre de ce que je pouvais ressentir pour lui mais quelque part il y avait une sorte d'attirance,une sorte d'attraction. Il était loin de me laisser indifférente. Quelque chose qui me poussait à toujours le vouloir à mes cotés. Je savais pertinemment que je m'attachais à lui un peu plus chaque jour. J'osais espérer que cela ne se retournerait pas contre moi. Je ne savais si je supporterai une déception de plus.

J'avais eu droit à quelques messages de la part du personnel y compris du directeur, ça faisait toujours plaisir. Je ne m'étais pas sentie aussi épanouie depuis que j'avais commencé mon boulot, tout comme je rendais compte de la chance que j'avais. La chance d'avoir des collègues chaleureux et plutôt avenants.

Je me redressais et quittais mon lit en entendant la sonnerie de la maison retentir. Depuis que j'allais de mieux en mieux, ma mère avait repris ses activités et elle savait de toute manière que je ne restais pas seule.

J'ouvrais la porte et me décalais avant de le laisser passer. Je mentirais si je disais que je n'avais pas eu envie de me retrouver enroulée dans ses bras. Je chassais cette idée de ma tête et refermais la porte derrière nous.

- Comment tu te sens aujourd'hui ? Dit-il en me souriant.

- Beaucoup mieux, je m'essouffle assez rapidement mais moins qu'avant donc ça va.

- Jaime mieux ça.

- Et c'était comment au boulot ?