Spider-man : Alone in New york by Breezebane

Chapitre 18

Dans l'ascenseur, M. Stark me donna les deux fruits que j'accepta à contrecœur. Plus pour éviter que mon estomac ne gargouille pas devant lui. Je n'avais toujours pas pu régler le problème concernant l'argent de la cantine à cause de mes problèmes d'argent. En plus, il fallait que je trouve une excuse pour expliquer pourquoi Tante May ne le faisait plus.

Avec de la musique en fond, nous avons continué à travailler sur le prototype.

Malgré la chaleur étouffante, je tentais d'ignorer la transpiration qui coulait le long de mon dos, ne voulant à avoir retirer ma chemise à manches longues.

Au bout d'une heure, il me proposa que je commence à faire mes devoirs.

Je griffonnais les réponses à mes devoirs de mathématiques pendant que M. Stark fredonnait une chance d'ADCD tout en travaillant sur l'arme. Même moi, je ne pouvais pas m'empêcher d'hocher la tête et de taper du pied au rythme de la chanson.

- C'est une bonne chanson, non ? » me demanda-t-il, me jetant un bref coup d'œil avant de se concentrer à nouveau sur l'objet devant lui.

Mes joues rougirent, pensant qu'il m'avait peut-être vu taper du pied.

- Euh, ouais.

- Tout s'est bien passé aujourd'hui?

- Comme d'habitude, tout s'est bien passé. lui répondis-je alors que je continuais à écrire mes réponses sur mon cahier,

- Pas de grosses bagarres ou de rumeurs intéressantes ?

Bien sûr qu'il serait intéressé par ce genre de choses. Je cachais mon sourire.

- Non. La vie étudiante n'est pas aussi palpitante que ça. Juste des cours et des controles.

- Tu dois être assez populaire au lycée vu que tu as réussi à avoir un stage ici ?

Il fouilla dans sa boîte à outils avant de sortir un tournevis. Il fronça les sourcils quand il vit que ce n'était pas le bon et chercha à nouveau.

- Pas vraiment. Personne n'est au courant, seulement mon ami.

Ses sourcils se haussèrent.

- Tu n'as rien dit ?

- Je, je euh, je ne veux pas d'attirer l'attention. Je préfère rester en retrait, répondis-je en tripotant mon crayon dans mes mains.

- Tes parents sont au courant, au moins ?

- Mes parents sont décédés il y a plusieurs années.

Je fus bref, espérant pour qu'il ne dise pas qu'il était désolé pour leurs morts. Je détestais quand les gens me disaient ça.

C'est peut-être parce que je l'avais entendu trop de fois.

D'abord pour mes parents, puis pour oncle Ben. J'en avais marre d'entendre ça.

- Oh, je suis désolé d'avoir été maladroit. J'aurais dû le savoir.

Mon front se plissait. Qu'est qu'il racontait ?

- Comment vous auriez pu le savoir ? »

- Eh bien, tu m'avais dit que tu avais dîné avec ta tante. J'aurais dû le comprendre.

- Oh, tout va bien. C'est pas grave.

J'avais trop chaud et j'avais l'impression d'étouffer, mais je n'osais pas relever mes manches. J'avais encore une grosse ecchymose violette sur mon poignet.

Avant qu'il ne puisse répondre, j'ai entendu un cliquetis et un bruit de court-circuit.

- Aïe !