Spider-man : Alone in New york by Breezebane

Chapitre 15

Message de l'auteur originelle/ anglaise : 

AAAHHHH 10 000 VUES !!! C'EST INCROYABLE !!! Je n'aurai jamais pensé que j'aurais autant de lecteurs ! Merci, à vous tous, pour vos commentaires, vos votes et pour le fait que vous lisez cet histoire. Vous êtes géniaux ! 

Profitez bien de ce chapitre, 

Breezebane

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Un rocher vola au-dessus de ma tête et s'écrasa contre le bâtiment juste derrière avant de retomber au sol.

- C'était quoi ça? demanda Ned dans mon oreillette, en entendant tout le bruit.

Je jetai un coup d'œil aux morceaux de pierres brisées qui jonchaient le sol.

- Juste un rocher.

- Un quoi ? cria Ned dna mon oreille

- Spider-man, j'avais hâte de te rencontrer, dit une voix rauque, et je me retournai.

Devant moi se tenait un homme monstrueusement grand et musclé qui tenait un rocher dans son autre main.

Il était vêtu d'une tenu de camouflage avec un masque noir couvrant son visage.

- Tu es une nuisance pour mes employés et mes clients.

Ses employés et ses clients...?

- Vous êtes Zenon ? dis-je en penchant la tête vers lui. Mais les méchants hommes d'affaires ne sont pas censés porter des smokings et pas des tenus de camouflages ? Et aussi, ne pas avoir de super force ?

- Zenon est là ? me demanda Ned, mais je n'ai pas pu lui répondre, trop concentré sur l'homme qui se trouvait devant moi.

- Je suppose que je suis unique dans mon genre.

Puis il me jeta l'autre rocher à la figure. Je l'esquiva facilement et je me suis aussi assuré qu'aucune personne innocente ne serait écrasée par les moreaux de pierre qui dégringolaient du bâtiment.

En me retournant, j'ai alors plaisanté ,

- Je dois dire que pour quelqu'un qui avait hâte de me rencontrer, tu n'agis vraiment pas comme on s'y attendais.

J'avais à peine eu le temps de finir ma phrase qu'il courait vers moi, levant le poing bien haut. Envoyant une toile sur le bâtiment d'en face, je m'écarta et le poing de Zenon ne rencontra que du vide. Mes pieds poussèrent sur la façade du bâtiment, pour que je revienne sur le toit où nous nous battions. Dès que j'atterris, j'envoya une toile sur ses mains, essayant de restreindre les mouvements de ses bras. À ma grande surprise, il les déchira facilement et recommença à courir vers moi. J'avais passé des semaines à concevoir la formule parfaite – une formule qui serait difficile à reproduire ou à détruire – et il les a juste, juste, juste déchirées, comme s'il s'agissait d'un simple morceau de papier. Comment c'était possible?

Posant mes mains sur le sol, je me propulsai dans les airs. Avec un salto, j'atterris derrière lui en m'accroupissant, envoyant une toile à son bras et en le tirant en arrière. Le but était de lui faire perdre l'équilibre, mais un grognement s'échappa de ma gorge lorsqu'il ne bougea même pas d'un pouce.

Au lieu de cela, il tira qu'un coup violent sur la toile, m'envoyant voler dans le bâtiment à côté.

Je vola à travers une vitre et roula sur le sol, le verre jonchait tout autour de moi. Un "wouah" agacé m'échappa et quelqu'un se mit à crier en sortant du petit bureau. La pièce me rappelait mon ancien bureau de la Tour Stark.