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Et là, c'est passé vraiment trop vite. J'avais entendu personne rentré, mais yavais bien quelqu'un derrière moi..

: Insaf ?!

Là, je me suis haïs, je me suis encore plus détesté. J'avais même pas fermé la porte, mais j'avais RIEN entendu du tout.

J'ai vite essuyé mes larmes, j'avais trop honte. Je me suis retourné et j'avais encore plus honte, je voulais m'enterrer, je voulais plus existé..

Sofiane : Insaf ?!

Je l'ai regardé, j'étais entrain de mourir de honte. Je voulais pas le voir ici, encore moins qu'il me voit comme ça.

Dès que je l'ai regardé, mes larmes sont remontés. Je me retenais de toutes mes forces, je faisais tout pour résisté, j'essayais de cligné des yeux.

Sofiane : Pourquoi tu pleures ?!

J'ai baissé la tête. Je voulais parlé, mais vous connaissez quand on pleure trop, notre voix tremble..

Moi : Tu.. Tu... Peux...

J'arrivais même pas à parlé, je faisais que de bégayer c'est impossible pour moi de parlé. Vous savez même pas comment j'avais honte, j'avais peur je voulais pas qu'il me voit dans cette état là, je voulais pas. J'avais une énorme boule au ventre, ça me stressais. Je voulais lui dire de partir, de faire semblant qu'il m'a pas vu.

Sofiane : Pourquoi tu pleures Insaf ?! J'te parle là !

J'ai baissé la tête.

Mes larmes ont coulé, je pouvais plus résisté.

Il c'est approché de moi, il a prit mon menton et il m'a regardé dans les yeux.

Sofiane : Je sais, tu veux que je parte.

J'ai hoché la tête, je voulais vraiment qu'il parte, j'avais pas envie qu'il me voit comme une « victime ».

Sofiane : Mais, je pars pas tant que tu m'as pas dis.

Moi : Je.. Ja..

Il à essuyé mes larmes. C'était la première fois qu'il était aussi doux.. J'avais pas l'habitude.

Sofiane : Il se passe quoi ?

Moi : Rien..

Je savais qu'il allait pas me croire, mais j'avais trop honte. J'allais lui dire quoi ? « Je me trouve affreuse Sofiane. » Il va me dire quoi même ? Bah, rien.

Il allait parlé, sauf qu'on à entendu la porte s'ouvrir. Il c'est poussé, et il m'a regardé.

Sofiane : Ce soir, quand je t'appelle réponds. Tu vas m'expliquer.

J'ai hoché la tête.

Je redoutais ça. J'allais bien évidemment faire la morte si il m'appelais. J'avais peur, je voulais pas pleuré devant lui. C'était trop la honte pour moi. Je pleurais devant personne, j'avais tendance à pleuré toute seule, à m'apitoyer sur
mon sort.

Il est partis, c'était mon frère qui était rentré. De ce que j'ai entendu, Amine était au courant que Sofiane était là. Heureusement.

La fin d'après-midi, je l'ai passé dans ma chambre. Je regardais sans cesses les messages que ces femmes m'avaient envoyé. Elles essayaient encore de m'aidé. Après Nesrine et ma mère sont rentré ça m'avais fais du bien je détestais être toute seule ça me faisait trop penser..

Je vais pas vous faire attendre, je me suis endormis vers minuit. Pas de signe de Sofiane al Hamdulilah.

Mais, il m'a appelé vers quatre heures du matin. Dès que je me suis réveillé, j'avais eu une boule au ventre automatiquement.

Insaf - S'aimer pour pouvoir aimer.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant