Sanzu après qu'elle eu passer une agréable journée en sa compagnie ainsi que celle de Kokonoi et Kakucho, la ramène aussitôt devant son collège afin que Ran ne se doute de rien.
- Merci beaucoup Sanzu de toujours venir m'aider. Déclare (Y/n) avec mélancolie.
- Ne me remercie enfin ! Tu es mon héritière après tout ! Lui répond-il avec humour.
- Arrête de me parler de ça, tu veux ? Je veux pas que tu meurs.
- Si c'est ma princesse qui me le demande alors j'affronterais même la mort ! Dit-il sur un ton solennel avec exagération en se penchant pour un baiser de la part de sa douce.
Cependant, au lieu de l'embrasser sur la joue comme d'habitude, celle-ci se comptante de laisser un chaste baiser sur ses lèvres charnues.
Aussitôt l'avait-elle fait que Sanzu porte rapidement ses mains sur sa bouche en état de choque.
- Mais pourquoi ta fait ça ?! Crie-il en faisant mine de s'essuyer la bouche négligemment.
- Parce que t'es pas un pervers. Et en plus c'était pour rigoler ! Lui répond-elle en riant tout en lui faisant signe de la main avant de partir.
Sanzu la regarde s'éloigner au loin tout en caressant du bout des doigts ses lèvres. Son regard rêveur s'attardant longuement sur ses cheveux semblables aux tiens. Dieu qu'elle te ressemblait semblait-il se dire.
- Tu es tellement cruelle (Y/n) de me faire espérer ainsi. Murmure-il en songeant au baiser.
Pendant ce temps Hélène regarde méprisamant sa demi-sœur entrer dans la voiture de son oncle Ran. Elle comptait bien rapporter, ce soir, ton absence à son père en espérant qu'il te châtie sévèrement.
- Alors comment c'est passé ta journée ? Demande Ran jovialement.
- Bien ! Lui répond-elle en tentant de cacher sa part de culpabilité en ayant séché les cours.
- Tant mieux dans ce cas ! Dit-il en démarrant la voiture.
Pendant que Ran conduisait, (Y/n) regardait le paysage défiler derrière sa vitre. Elle aurait tellement aimé vivre avec Sanzu pour toujours.
Peut-être avait-elle développé pour lui une dépendance affective ? Se demande-elle. Ran, son oncle, lui avait également témoigné beaucoup d'amour pourtant il n'était en rien comparable à celui de Sanzu.
Lorsqu'elle faisait face à un problème, Ran n'accourait pas comme Sanzu. Ran penserai probablement qu'il s'agit uniquement de problème de petite fille sans importance. Tandis que Sanzu écoutait avec soin chacun de ses problèmes comme s'il s'agissait d'un secret d'un importance capitale. Dieu qu'elle aimait Sanzu... Il était comme le père, le frère que chaque fille aurait aimé avoir dans sa vie.
Ran regarde le regard rêveur de sa nièce avant qu'il regard et un sourire malicieux ne vienne se dessiner sur son visage calculateur.
- À quoi penses-tu ? Lui demande-il d'une voix mielleuse.
- À rien. Répond-elle laconiquement en sortant de sa transe.
- Tu es certaine qu'il ne s'est rien passé à l'école ? Demande-il en prenant un air faussement inquiet.
- Si je te le dit.
- Si ce n'est rien alors c'est bien. Finit-il par déclarer.
En attendant de regagner la maison elle reçoit une notification inattendue de sa belle-mère lui disant de ne passer sous aucun prétexte à la maison. Son sang ne fit qu'un tour en lisant le message. Pourquoi ne devait-elle pas rentrer ? Rindo allait-il une nouvelle fois s'en prendre à elle ? Elle éteint son portable avant de venir le ranger dans son cartable.
- Est-ce qu'on peu juste rentrer à la maison s'il te plaît ? Demande-t-elle d'une voix chevrotante.
- Et notre soirée pizza alors ? Demande-il soudainement.
- Je n'ai plus envie. Déclare-elle simplement.
- Bon. Finit par céder celui-ci.
En rentrant, (Y/n) ne voulait qu'une chose. Dormir. Elle s'effondre sans attendre sur son lit. Ran lui indique qu'il part travailler et que par conséquent il rentrerait à la maison relativement tard.
Quelques part, (Y/n) se sentait mal d'avoir ruiné la soirée, mais après le message de sa belle-mère, elle n'avait plus envie de rien si ce n'est d'oublier son cauchemar.
Mais après avoir longuement somnolé elle fut gagné par la faim et l'ennui. Elle part donc se préparer quelque chose dans la cuisine et de gagner le bureau de son oncle. Elle aimait à s'imaginer homme d'affaire dernière son gigantesque bureau.
En admirant son fastidieux bureau elle remarque soudainement une porte légèrement entre ouverte. Mais elle s'interdit malgré elle de la pousser sachant pertinemment que la curiosité était un affreux défaut.
Cependant en se penchant elle remarque que sur l'uns des documents qui jonchait le bureau une feuille où se trouvait sa photo mais en la saisissant elle remarque que ce n'étais pas ses yeux mais belle et bien ceux de sa défunte mère. Qu'elle aurait aimé la rencontrer...
C'était étrange que son oncle possédait une photo de sa mère, en lisant le document elle voit qu'il s'agit en réalité d'un contrat de mariage. Le reliant lui, son frère et un autre homme à sa mère. Elle parut choquer et relie une dizaine de fois le document et remarque qu'il ne s'agit aucunement d'une erreur.
Comment cela se faisait-il ?! Se demande-elle, surprise.
En regardant autour d'elle, elle fut étrangement attirée par cette porte mystérieuse. Combien d'autres secrets renfermaient cette maison ? Pensa-elle.
Elle entre ouvre légèrement la porte mais voyant qu'il n'y voyait rien elle finit par s'y aventurer afin d'allumer la lumière. Mais à peine la lumière c'était allumer qu'elle tomba à même le sol en vue de l'affreuse vision qui s'offrait à elle.
Une multitude de sculptures de ta mère s'offrait à toi sous tout les angles. Une multitude de tableau de son visage y était également placardée sur chaque murs. De nombreuses caisses contenant toutes sortes d'objet, qui, manifestement t'appartenais, jonchaient le sol marbré.
Soudain un bruit retentit derrière elle. Avec un regard effarée elle voit son oncle Ran s'avancer dans sa direction avec un regard suffisant et un sourire maladif.
- Je ne pensais pas que tu tomberais sur cette endroit aussi tôt.
Que se passera-t-il avec Ran ? Était-il devenu un danger ? Pourquoi avait-il une salle aussi glauque dans son appartement ?
À suivre...
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𝓓𝓻𝓮𝓪𝓶 𝓸𝓻 𝓝𝓲𝓰𝓱𝓽𝓶𝓪𝓻𝓮𝓼 [ 𝔁 𝓬𝓱𝓾𝓫𝓫𝔂 𝓻𝓮𝓪𝓭𝓮𝓻 ]
Fanfiction[ Yandere Ran x Rindo x chubby Reader x Sanzu ] Cela faisait désormais sept ans que vous étiez enfermé avec eux. Cela faisait sept que tu ne pouvais plus sortir librement. Sept que tu ne pouvais voir personne si ce n'est eux. Les frères Haïtani et S...