Le lendemain vous furent réveillés par les soudains rayons de soleil qui pénètrent par les fenêtres et les cris incessants de Sanzu.
- Allez allez on se réveiller ! Gronda Sanzu en écartant davantage les rideaux.
Ce à quoi Kokonoi ne fit que serrer davantage tes hanches et terrer son visage dans ton dos afin que le soleil ne l'atteigne plus.
- Mais lâche là ! S'ecria Sanzu en tirant sur les cheveux de Kokonoi.
- Putain, t'es insupportable, c'est mon jour de congé je te rappelle. Répliqua Kokonoi en se grattant les yeux.
- Oui, mais ton jour de congé, ça sera sans ma (Y/n).
Kokonoi se rendormi aussi vite pendant que tu saisissait les cheveux de Sanzu afin de le trimballer hors de la chambre.
- Sanzu il est seulement 7h. Te plains-tu en le lâchant.
- Oui mais je voulais te voir. Dit-il en te prenant dans ses bras.
Après un long silence malaisant où Sanzu se contentait de te prendre dans ses bras il finit finalement par te soulever et te faire sortir en direction de sa voiture.
- Tu ne changera donc jamais... Murmures-tu alors qu'il te susurrait un simple non.
Plus tard dans la nuit les lumières polychromes des discothèques s'emportant la foule dans une ivresse sans limite illuminait maigrement le visage taciturne de Rindo.
Il était actuellement en boîte, dans ses bras de nombreuses femmes se pavanaient autour de lui en lui exposant leurs décolletés et Rindo semblait se délecté de la vision indécente.
Alors qu'il saisit une nouvelle bouteille d'alcool que lui tentai l'une des femmes il vit son frère, Ran ressortir de l'une des portes en compagnie d'une femme qui semblait être mal au point.
Rindo sourit à la vue comprenant instinctivement ce qui avait dû se passer dans cette pièce. Même lui avait finalement céder à sa promesse et comme à l'ancienne c'était remis à enchaîner les conquêtes se dit-il.
- Rappel moi. Dit-elle désespérée en s'accrochant à lui.
- Oui bien sûr chérie. Lui répond-il avant de rapidement changer d'expression quand il tourna le visage.
Il s'est rapproche ensuite de son frère et viens s'assoir en face de lui.
- Permettez nous quelques instants en privé les filles. Ordonne-il en usant d'un sourire charmeur.
Les filles après quelques hésitations finirent par prendre leurs affaires et partir tout en se retournant constamment attendant que Rindo les rappelle.
- Je viens d'obtenir cette clé USB. Dit-il en la montrant à son cadet.
- Et ?
- Elle va nous permettre de retracer (Y/n) via les caméras de surveillance de la soirée de l'autre fois où tu l'avais vu. Explique-il alors que Rindo recrachait sa boisson.
- Tu viens de coucher avec cette femme uniquement pour ça ?! S'indigna-il.
- Bah oui.
- T'es pas sérieux ? Et puis concernant (Y/n) annule tes recherches, y'a Mickey de son côté tu risques ta vie là. Dit-il en fumant une cigarette.
- Je m'en fou. Moi tout ce que je veux c'est récupérer ma femme peu importe qui y'a en face. Dit Ran sur un ton menaçant.
- Ta femme ? Demande confusément Rindo.
- Ma nièce pardon. Finit par déclarer Ran avant de se lever.
- Tu sais bien que (Y/n) est morte Ran ? Tu le sais ça !? Demande subitement Rindo en le saisissant par le col.
- Lâche moi bordel ! Évidemment que je le sais ! Et c'est pour ça que je veux m'occuper de ma fille vu que t'es incapable de le faire, père indigne ! Crache-il au visage de Rindo qui demeure comme figé par les paroles brutale de Ran.
Ran saisit sa veste avant de partir rapidement de cette endroit salace et indécent. Tandis que Rindo se rallonge sur son canapé alors qu'il saisissait douloureusement son crâne.
- Je suis un mauvais père (Y/n) ? Murmure-il maladivement.
- Monsieur vous allez bien ? Demande l'une des précédentes femmes.
- Est-ce que je suis un mauvais père ?! Crie-il subitement sur la femme à moitié dénudé en face de lui.
Un sourire pervers se dessine alors sur les traits de cette femme.
- Tu me demande si t'es mauvais, daddy ? Demande-elle d'une voix mielleuse.
Rindo demeure confus par ses paroles encore sous l'emprise de l'alcool et elle finit finalement par le saisir par le col et le pousser dans l'une des chambres.
- Ne réfléchi plus, juste laisse moi faire. Susurre-elle à ses lèvres avant de finalement venir langoureusement l'embrasser et Rindo se laissa faire sans songer à l'arrêter.
Le lendemain en se réveillant dans le lit de cette femme Rindo fut pris d'affreux maux de tête il se rhabille rapidement avant de partir en trombe. Il se sentait oppressé dans cette atmosphère morbide et obscène.
Encore pris de vertige il prend le premier taxis qui le ramène hâtivement chez lui. En tentant de sortir ses clés de sa poche elle retombait toujours sur le sol mais après de nombreuses tentatives il finit par les glisser dans la serrure et ouvrir la porte.
En entrant dans sa fastidieuse demeures il fut surpris par son reflet sur le miroir. Son cou était marqué par de nombreuses marques, sa chemises était largement ouverte laissant indécemment voir son torse accompagné de son tatouage, ses cheveux était en bataille et une trace rouge à lèvres figurait sur ses lèvres.
Il passe un coup de langue sur ses lèvres pour retirer le résidu de rouge à lèvres cependant il vit bientôt une nouvelle trace rouge sur son col. Cette voulait définitivement qu'il est des problèmes avec sa femme...
Il enlève discrètement ses chaussures afin de ne pas éveillé de soupçon mais il entend rapidement sa femme et sa fille se battre dans le salon. Cependant cette fois-ci il ne s'agissait pas d'une simple dispute, car il pouvait entendre des coups s'accompagner au cris.
Il entre en trombe pour découvrir sa fille tentant d'arracher un papier à sa femme. Mais elles se figèrent instinctivement en le voyant au seuil de la porte.
Rindo eu honte en voyant sa fille le reluquer avec un visage emplit de dégoût. Ran avait raison, il n'était pas un bon père...
- Rindo, je veux divorcer.
Pourquoi Sophia prenait-elle cette décision ? Qu'est-ce que Ran avait en tête ? Comment Rindo allait-t-il reprendre sa vie en main ? Qu'allais-tu faire ?
À suivre...
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𝓓𝓻𝓮𝓪𝓶 𝓸𝓻 𝓝𝓲𝓰𝓱𝓽𝓶𝓪𝓻𝓮𝓼 [ 𝔁 𝓬𝓱𝓾𝓫𝓫𝔂 𝓻𝓮𝓪𝓭𝓮𝓻 ]
Fanfiction[ Yandere Ran x Rindo x chubby Reader x Sanzu ] Cela faisait désormais sept ans que vous étiez enfermé avec eux. Cela faisait sept que tu ne pouvais plus sortir librement. Sept que tu ne pouvais voir personne si ce n'est eux. Les frères Haïtani et S...